Selon Le Grand Panel, ces derniers ont étalé le calvaire qu'ils vivent au quotidien et menacent de passer à la vitesse supérieure, si le problème des indemnités n'est pas résolu dans les meilleurs délais.
"On a commencé cette lutte depuis 2017. Toutes les communes impactées par le TER en font partie. Et depuis, 3 000 familles vivent dans le désarroi. Certaines familles dorment à la belle étoile. L'État du Sénégal nous a octroyé 40 ha au lace Rose, mais la livraison des parcelles pose problème.
On ne comprend pas l'attitude des autorités. On se demande comment un État peut-il déloger plus de 3 000 familles en un laps de temps et les recaser dans un site déjà acquis. C'est un paradoxe. Nous exigeons le paiement de vulnérabilités, entre autres. À partir d'aujourd'hui, notre combat sera radical et on utilisera tous les moyens afin d'obtenir gain de cause", martèle Macodou Fall, porte-parole du collectif.
Le journal ajoute que ces impactés ont donné un ultimatum au président de la République afin qu'il règle leur situation. Sans quoi, disent-ils, ils sont prêts à se radicaliser durant la période électorale. De plus, ils dénoncent le non-respect des engagements de l'État pris avant la démolition de leurs maisons.
"On a commencé cette lutte depuis 2017. Toutes les communes impactées par le TER en font partie. Et depuis, 3 000 familles vivent dans le désarroi. Certaines familles dorment à la belle étoile. L'État du Sénégal nous a octroyé 40 ha au lace Rose, mais la livraison des parcelles pose problème.
On ne comprend pas l'attitude des autorités. On se demande comment un État peut-il déloger plus de 3 000 familles en un laps de temps et les recaser dans un site déjà acquis. C'est un paradoxe. Nous exigeons le paiement de vulnérabilités, entre autres. À partir d'aujourd'hui, notre combat sera radical et on utilisera tous les moyens afin d'obtenir gain de cause", martèle Macodou Fall, porte-parole du collectif.
Le journal ajoute que ces impactés ont donné un ultimatum au président de la République afin qu'il règle leur situation. Sans quoi, disent-ils, ils sont prêts à se radicaliser durant la période électorale. De plus, ils dénoncent le non-respect des engagements de l'État pris avant la démolition de leurs maisons.