« Moi, je n’ai pas envie de perdre du temps. Et je ne souhaite pas paraître comme un quémandeur de consensus face à l’intransigeance de la majorité. Nous devons faire un procès-verbal de carence et arrêter les frais. Ça n’avance pas après 9 mois de dialogue », a déclaré dans ce sens, Mamadou Dieng du mouvement Arc-en-ciel dans "Les Echos".
« Nous sommes divisés, la majorité du pôle de l’opposition veut un arrêt du dialogue, qui est actuellement dans l’impasse. Il y a des gens qui pensent qu’on est en train de perdre du temps. Et ils représentent la majorité de l’opposition (qui est présente au dialogue) », a-t-il ajouté.
L’organisation des élections, l’arrêté Ousmane Ngom, l’article 80 et les cas Khalifa Sall et Karim Wade, sont notamment les principaux points d’achoppement.
« Nous sommes divisés, la majorité du pôle de l’opposition veut un arrêt du dialogue, qui est actuellement dans l’impasse. Il y a des gens qui pensent qu’on est en train de perdre du temps. Et ils représentent la majorité de l’opposition (qui est présente au dialogue) », a-t-il ajouté.
L’organisation des élections, l’arrêté Ousmane Ngom, l’article 80 et les cas Khalifa Sall et Karim Wade, sont notamment les principaux points d’achoppement.