En se rendant à Thiès, où les forces du NON « gor sa wax ja » avaient une caravane, Malick Gakou et sa suite sont tombés nez à nez avec le ministre Oumar Guèye et les siens, qui venaient en sens inverse, juste à la sortie de l’autoroute à péage, à l’entrée de Diamniadio.
Alors qu’ils attendaient le signal pour prendre la route nationale, Gakou et son cortège ont été assaillis par les nombreux gros bras qui accompagnaient le ministre de la pêche. Le président du Grand parti qui est descendu pour les raisonner, a vu ces derniers abreuver d’insultes et asperger de l’eau sur sa voiture, tout en brandissant des armes blanche et à feu. Son chargé de communication qui tentait d’immortaliser « l’agression » a été brutalisée.
Heureusement que les forces de sécurité ont pu s’interposer et régler la situation. En effet, à l’endroit précis, il y a des gendarmes qui monte la garde pour gérer la circulation. Et il a fallu qu’ils interviennent pour ramener le calme et faire partir les deux cortèges.
Songo Matar Ndiaye, un des responsables du Grand parti qui nous a joint, « déplore de tels actes dans une démocratie » et surtout « l’attitude du ministre Oumar Guèye qui est resté dans sa voiture comme si de rien n’était, alors que Gakou est descendu » pour essayer de raisonner ses assaillants ». Mais il soutient avec force que son parti ne se laissera pas intimider ou agresser sans rien faire. « Nous avons pris toutes les dispositions pour faire face. Nous resterons sur nos gardes », dit-il.
Jotay.net
Alors qu’ils attendaient le signal pour prendre la route nationale, Gakou et son cortège ont été assaillis par les nombreux gros bras qui accompagnaient le ministre de la pêche. Le président du Grand parti qui est descendu pour les raisonner, a vu ces derniers abreuver d’insultes et asperger de l’eau sur sa voiture, tout en brandissant des armes blanche et à feu. Son chargé de communication qui tentait d’immortaliser « l’agression » a été brutalisée.
Heureusement que les forces de sécurité ont pu s’interposer et régler la situation. En effet, à l’endroit précis, il y a des gendarmes qui monte la garde pour gérer la circulation. Et il a fallu qu’ils interviennent pour ramener le calme et faire partir les deux cortèges.
Songo Matar Ndiaye, un des responsables du Grand parti qui nous a joint, « déplore de tels actes dans une démocratie » et surtout « l’attitude du ministre Oumar Guèye qui est resté dans sa voiture comme si de rien n’était, alors que Gakou est descendu » pour essayer de raisonner ses assaillants ». Mais il soutient avec force que son parti ne se laissera pas intimider ou agresser sans rien faire. « Nous avons pris toutes les dispositions pour faire face. Nous resterons sur nos gardes », dit-il.
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