Le préfet fait renaître l’espoir dans les rangs des impactés du port de Bargny-Sendou. Selon nos confrères du journal « Le Témoin », après des heures de discussion ce samedi, ils ont décidé au sortir de l’audience à la préfecture de reporter leur marche de protestation suite à la médiation du préfet.
« De manière générale nous avons été satisfait de l’audience que nous a accordée le préfet à la suite d’une demande de marche que nous devions tenir aujourd’hui suivant notre itinéraire. La rencontre a été très fructueuse et nous sortons rassurés de l’audience. Des décisions ont été prises au plus haut niveau et le chef de l’Etat a encore donné des instructions. Le ministre de la pêche a été saisi et nous avons même pris langue avec lui sur le dossier », a rapporté Issa Gueye à la mi-journée au sortir de la rencontre avec le chef de l’exécutif local.
« Nous avons bon espoir que le préfet va à l’issue des rencontres avec les autorités trouver une solution pour l’indemnisation des impactés comme promis par le chef de l’Etat. Le ministre de la pêche a contacté son homologue des Finances pour voir les modalités de paiement », a rendu compte le coordonnateur du collectif.
A Miname, point de départ de la marche, une centaine de manifestants essentiellement composés de personnes d’un âge avancé était prête à battre le macadam en dépit de l’heure et les rigueurs du climat. Une détermination qui malgré la forte présence policière sur le site du port n’a pas dissuadé les protestataires.
« Nous avons soulevé d’autres dossiers concernant l’emploi des jeunes. Toutes ces questions ont eu des réponses et nous pensons que cela va être pris en compte et va être l’objet d’un suivi. D’ici un mois si rien n’est fait nous allons remettre à exécution notre plan d’action initial et les populations vont se dresser encore jusqu’à l’épuisement des points inscrits dans le plan d’action du collectif », a fait noter M. Gueye.
Des propos certifiés par le doyen Cissé et le sieur Issa Thiombane présents à la rencontre avec le préfet.
Selon toujours le journal, d’après ces derniers, le préfet a même promis de mettre sur pied un comité qui va prendre en charge les revendications des impactés. Il s’agit de plus de 300 impactés qui attendent depuis 2017 de percevoir leur indemnisation. En effet, après avoir signé les procès-verbaux de conciliation il y a plus de deux ans, ils courent toujours derrière leur impense.
Une enveloppe qui tourne autour de 400 millions selon les membres du collectif.
« De manière générale nous avons été satisfait de l’audience que nous a accordée le préfet à la suite d’une demande de marche que nous devions tenir aujourd’hui suivant notre itinéraire. La rencontre a été très fructueuse et nous sortons rassurés de l’audience. Des décisions ont été prises au plus haut niveau et le chef de l’Etat a encore donné des instructions. Le ministre de la pêche a été saisi et nous avons même pris langue avec lui sur le dossier », a rapporté Issa Gueye à la mi-journée au sortir de la rencontre avec le chef de l’exécutif local.
« Nous avons bon espoir que le préfet va à l’issue des rencontres avec les autorités trouver une solution pour l’indemnisation des impactés comme promis par le chef de l’Etat. Le ministre de la pêche a contacté son homologue des Finances pour voir les modalités de paiement », a rendu compte le coordonnateur du collectif.
A Miname, point de départ de la marche, une centaine de manifestants essentiellement composés de personnes d’un âge avancé était prête à battre le macadam en dépit de l’heure et les rigueurs du climat. Une détermination qui malgré la forte présence policière sur le site du port n’a pas dissuadé les protestataires.
« Nous avons soulevé d’autres dossiers concernant l’emploi des jeunes. Toutes ces questions ont eu des réponses et nous pensons que cela va être pris en compte et va être l’objet d’un suivi. D’ici un mois si rien n’est fait nous allons remettre à exécution notre plan d’action initial et les populations vont se dresser encore jusqu’à l’épuisement des points inscrits dans le plan d’action du collectif », a fait noter M. Gueye.
Des propos certifiés par le doyen Cissé et le sieur Issa Thiombane présents à la rencontre avec le préfet.
Selon toujours le journal, d’après ces derniers, le préfet a même promis de mettre sur pied un comité qui va prendre en charge les revendications des impactés. Il s’agit de plus de 300 impactés qui attendent depuis 2017 de percevoir leur indemnisation. En effet, après avoir signé les procès-verbaux de conciliation il y a plus de deux ans, ils courent toujours derrière leur impense.
Une enveloppe qui tourne autour de 400 millions selon les membres du collectif.