"Les prix à la consommation ont enregistré un repli de 0,8%, en variation trimestrielle, consécutif à la baisse des prix des produits alimentaires et boissons non alcoolisées (-2,2%)", Informe-t-on. En moyenne, sur le premier semestre 2013, souligne le document, "l’inflation est ressortie à 0,5%. En termes d’origine, l’indice des prix des produits locaux a enregistré une baisse de 1,6%, au deuxième trimestre, contre une hausse de 0,9% pour celui des produits importés".
Au chapitre des échanges extérieurs, le texte rappelle que le deuxième trimestre est marqué, comparativement au trimestre précédent, par un accroissement de 3,3% des exportations contre 10,1% pour les importations. En moyenne sur le premier semestre 2013, les importations ont accusé une légère baisse (-0,2 milliard), imputable aux achats à l’étranger des produits pétroliers (-65,2 milliards), des produits alimentaires (-4,2 milliards) et des "véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles" (-7,4 milliards). En revanche, les exportations ont progressé de 13,5%, en raison notamment de l’augmentation des exportations de produits alimentaires (+14,9 milliards), de produits pétroliers (+35,3 milliards) et d’or brut (+22,6 milliards).
Au titre des finances publiques, le communiqué rappelle également que "l’exécution budgétaire au cours de la période sous-revue a été caractérisée un déficit public sous contrôle, à la faveur d’une maîtrise des dépenses publiques, les recettes budgétaires s’étant inscrits en retrait. En effet, les recouvrements de recettes budgétaires se sont établis à 727,5 milliards contre 734 milliards à la même période de l’année précédente, soit un léger repli de 0,9%". Toutefois, "compte non tenu des redevances sur les appels perçus en 2012, le recouvrement des recettes budgétaires, à fin juin 2013, laisse apparaître une progression de 21,1 milliards, soit une hausse de 3%. Les dépenses totales et prêts nets ont enregistré une progression de 2,7% pour se situer à 941,6 milliards. Au total, le solde budgétaire global est ressorti déficitaire de119,3 milliards contre un déficit de 82,3 milliards au premier semestre de 2012 et un objectif à fin juin fixé à 203 milliards".
La situation provisoire des institutions monétaires à fin juin 2013, "comparativement à la même période en 2012, fait ressortir une baisse de 16,7 milliards des avoirs extérieurs nets, un renforcement du crédit intérieur de 4,9% et une progression de la masse monétaire de 1,4%. Sur la même période, les systèmes financiers décentralisés enregistrent une augmentation de leurs clients/membres (+6,6%), de l’encours des dépôts (+10,2%), de l’encours des crédits (+4,6%) et un accroissement du taux des créances en souffrance de 5,1% à 6,4%". Les transferts rapides de fonds reçus "s’établissent à 173,8 milliards au deuxième trimestre 2013, soit en hausse de 6,3 milliards ou 3,8% par rapport au trimestre précédent et de 12,7% par rapport à la même période en 2012".
Au plan social, "les données de l’enquête ménages montrent que l’eau et l’électricité sont des services accessibles pour les ménages dakarois (plus de 91%) tandis que 27,2% des ménages restent inaccessibles au service d’assainissement. Au titre de la sécurité alimentaire, la proportion des ménages assurant trois repas par jour est de 69,8% contre 29,8% qui ont accès à deux repas par jour.
Au chapitre des échanges extérieurs, le texte rappelle que le deuxième trimestre est marqué, comparativement au trimestre précédent, par un accroissement de 3,3% des exportations contre 10,1% pour les importations. En moyenne sur le premier semestre 2013, les importations ont accusé une légère baisse (-0,2 milliard), imputable aux achats à l’étranger des produits pétroliers (-65,2 milliards), des produits alimentaires (-4,2 milliards) et des "véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles" (-7,4 milliards). En revanche, les exportations ont progressé de 13,5%, en raison notamment de l’augmentation des exportations de produits alimentaires (+14,9 milliards), de produits pétroliers (+35,3 milliards) et d’or brut (+22,6 milliards).
Au titre des finances publiques, le communiqué rappelle également que "l’exécution budgétaire au cours de la période sous-revue a été caractérisée un déficit public sous contrôle, à la faveur d’une maîtrise des dépenses publiques, les recettes budgétaires s’étant inscrits en retrait. En effet, les recouvrements de recettes budgétaires se sont établis à 727,5 milliards contre 734 milliards à la même période de l’année précédente, soit un léger repli de 0,9%". Toutefois, "compte non tenu des redevances sur les appels perçus en 2012, le recouvrement des recettes budgétaires, à fin juin 2013, laisse apparaître une progression de 21,1 milliards, soit une hausse de 3%. Les dépenses totales et prêts nets ont enregistré une progression de 2,7% pour se situer à 941,6 milliards. Au total, le solde budgétaire global est ressorti déficitaire de119,3 milliards contre un déficit de 82,3 milliards au premier semestre de 2012 et un objectif à fin juin fixé à 203 milliards".
La situation provisoire des institutions monétaires à fin juin 2013, "comparativement à la même période en 2012, fait ressortir une baisse de 16,7 milliards des avoirs extérieurs nets, un renforcement du crédit intérieur de 4,9% et une progression de la masse monétaire de 1,4%. Sur la même période, les systèmes financiers décentralisés enregistrent une augmentation de leurs clients/membres (+6,6%), de l’encours des dépôts (+10,2%), de l’encours des crédits (+4,6%) et un accroissement du taux des créances en souffrance de 5,1% à 6,4%". Les transferts rapides de fonds reçus "s’établissent à 173,8 milliards au deuxième trimestre 2013, soit en hausse de 6,3 milliards ou 3,8% par rapport au trimestre précédent et de 12,7% par rapport à la même période en 2012".
Au plan social, "les données de l’enquête ménages montrent que l’eau et l’électricité sont des services accessibles pour les ménages dakarois (plus de 91%) tandis que 27,2% des ménages restent inaccessibles au service d’assainissement. Au titre de la sécurité alimentaire, la proportion des ménages assurant trois repas par jour est de 69,8% contre 29,8% qui ont accès à deux repas par jour.