Alioune Badara Cissé explique sa visite : « je suis venu, à l’université Alioune Diop de Bambey rencontrer à sa demande, le recteur, Pr Lamine Guèye. J’ai pensé le faire fort des prérogatives que me confère la loi de veiller à ce que l’égalité de tous devant le service public soit respectée, mais également de participer à ma manière et à la mesure des moyens dont on dispose à la pacification du territoire national, dans le domaine intègre, dans les rapports entre l’administration et ses administrés. Ayant eu vent de ce qu’il y avait une formation en santé communautaire et pour laquelle, il n’y avait pas de corps au niveau de la Fonction publique, cela posait un problème de statut. Mais j’ai pensé venir à la source m’imprégner du problème. »
Me Alioune Badara Cissé est sorti de cette rencontre rassuré : « ensemble, nous avons le tour de la question, une documentation a été remise et j’ai senti un engagement très ancien de voir ce problème résolu. J’ai bien entendu et voulu joindre ma voix aux vôtres et porter l’assistance dans les moyens que la loi a mis dans ma disposition. Je ne succombe pas aux assauts de la presse. J’ai été fondamentalement bien renseigné. Une documentation m’a été remise, cela pour permettre à moi-même et à mes collaborateurs, de retour à Dakar, de se pencher sur le problème. »
Interpellé sur la visite du médiateur de la République, le recteur Pr Lamine Guèye est revenu sur le fonds de cette affaire qui effraie les étudiants diplômés en santé communautaire. Il dit : « depuis 2010, nous avons eu les premiers diplômés, au niveau licence de cette université. Et l’université fête ses 10 ans cette année. Le corps des diplômés de santé communautaire n’est pas encore créé par l’Etat du Sénégal. Ce qui amené des difficultés d’insertion de ces diplômés dans la Fonction publique ».
"En revanche, certains sont recrutés par des ONG spécialisées sur les questions humanitaires. Mais pour des raisons de justice et d’équité, nous pensons aussi que ces diplômés doivent pouvoir entrer dans la Fonction publique. Maintenant, le médiateur de la République ayant eu les informations concernant ce dossier au niveau national, est venu sur le terrain pour prendre nos avis, récupérer tous les documents que nous avons afin de travailler sur la création de ce corps des diplômés en santé communautaire. Nous le remercions parce que c’est un partenaire qui va travailler avec nous, les diplômés et l’Etat du Sénégal sur ce dossier".
Le Quotidien
Me Alioune Badara Cissé est sorti de cette rencontre rassuré : « ensemble, nous avons le tour de la question, une documentation a été remise et j’ai senti un engagement très ancien de voir ce problème résolu. J’ai bien entendu et voulu joindre ma voix aux vôtres et porter l’assistance dans les moyens que la loi a mis dans ma disposition. Je ne succombe pas aux assauts de la presse. J’ai été fondamentalement bien renseigné. Une documentation m’a été remise, cela pour permettre à moi-même et à mes collaborateurs, de retour à Dakar, de se pencher sur le problème. »
Interpellé sur la visite du médiateur de la République, le recteur Pr Lamine Guèye est revenu sur le fonds de cette affaire qui effraie les étudiants diplômés en santé communautaire. Il dit : « depuis 2010, nous avons eu les premiers diplômés, au niveau licence de cette université. Et l’université fête ses 10 ans cette année. Le corps des diplômés de santé communautaire n’est pas encore créé par l’Etat du Sénégal. Ce qui amené des difficultés d’insertion de ces diplômés dans la Fonction publique ».
"En revanche, certains sont recrutés par des ONG spécialisées sur les questions humanitaires. Mais pour des raisons de justice et d’équité, nous pensons aussi que ces diplômés doivent pouvoir entrer dans la Fonction publique. Maintenant, le médiateur de la République ayant eu les informations concernant ce dossier au niveau national, est venu sur le terrain pour prendre nos avis, récupérer tous les documents que nous avons afin de travailler sur la création de ce corps des diplômés en santé communautaire. Nous le remercions parce que c’est un partenaire qui va travailler avec nous, les diplômés et l’Etat du Sénégal sur ce dossier".
Le Quotidien