
“Dès que je suis rentré dans le bureau du médecin, je lui ai dit que j’étais sourde mais que je pouvais lire sur ses lèvres et aussi communiquer par écrit, affirme cette enseignante en langage des signes. Il n’a pas voulu faire le moindre effort et j’ai eu la désagréable impression de me retrouver devant un mur. Il ne me regardait même plus et travaillait sur son ordinateur.”
Un “refus” du médecin de communiquer par écrit
Dans un message publié sur Facebook le 2 septembre, Laura Guernalec précise avoir demandé au médecin de lui poser ses questions par écrit, ce qu’“il a refusé”. L'homme a mis fin à l'entretien en déplorant une impossibilité de communication. “Ne pas pouvoir ou ne pas vouloir ?”, s'interroge la jeune femme.
“C'est lui qui refusait de trouver une solution, déplore-t-elle, sur le site de France Bleu. Moi j'étais prête à lire sur les lèvres, à écrire, à faire des efforts…”
Un nouveau rendez-vous le 23 septembre
Interrogé par Ouest France et France Bleu, le directeur adjoint de l'Etablissement français du sang en Bretagne se dit “préoccupé” par le sujet. “La réglementation est très précise et très exigeante, justifie-t-il. Le médecin doit s’assurer que le donneur a parfaitement bien compris les questions qu’on lui posait. Pour sa sécurité pendant et après le don, et aussi s’assurer qu’il n’y a pas de contre-indications.”
SOURCE FRANCETV
Un “refus” du médecin de communiquer par écrit
Dans un message publié sur Facebook le 2 septembre, Laura Guernalec précise avoir demandé au médecin de lui poser ses questions par écrit, ce qu’“il a refusé”. L'homme a mis fin à l'entretien en déplorant une impossibilité de communication. “Ne pas pouvoir ou ne pas vouloir ?”, s'interroge la jeune femme.
“C'est lui qui refusait de trouver une solution, déplore-t-elle, sur le site de France Bleu. Moi j'étais prête à lire sur les lèvres, à écrire, à faire des efforts…”
Un nouveau rendez-vous le 23 septembre
Interrogé par Ouest France et France Bleu, le directeur adjoint de l'Etablissement français du sang en Bretagne se dit “préoccupé” par le sujet. “La réglementation est très précise et très exigeante, justifie-t-il. Le médecin doit s’assurer que le donneur a parfaitement bien compris les questions qu’on lui posait. Pour sa sécurité pendant et après le don, et aussi s’assurer qu’il n’y a pas de contre-indications.”
SOURCE FRANCETV