Giuliano Tavaroli, l'ancien chef de la sécurité de Telecom Italia, est revenu ce jeudi sur l'amende (1 million d'euros) attribuée au président de l'Inter Milan Massimo Moratti pour les écoutes téléphoniques sur son ancien attaquant Christian Vieri. Cet homme d'influence en Italie a véritablement accablé le patron du club lombard.
"C'est Moratti en personne qui m'a demandé de contrôler Vieri. Nous avons mis sur écoute d'autres joueurs de l'Inter, mais ils n'ont pas porté plainte. Il y a deux épisodes, 2001 et 2003. Le premier concernait l'Inter : il s'agissait de vérifier si certains joueurs, et pas seulement Vieri, respectaient le comportement à avoir. L'autre épisode concerne Pirelli (partenaire de l'Inter), car Vieri devait en être l'ambassadeur", a confié ce témoin important sur Radio 24.
(Par Romain Boselli)
"C'est Moratti en personne qui m'a demandé de contrôler Vieri. Nous avons mis sur écoute d'autres joueurs de l'Inter, mais ils n'ont pas porté plainte. Il y a deux épisodes, 2001 et 2003. Le premier concernait l'Inter : il s'agissait de vérifier si certains joueurs, et pas seulement Vieri, respectaient le comportement à avoir. L'autre épisode concerne Pirelli (partenaire de l'Inter), car Vieri devait en être l'ambassadeur", a confié ce témoin important sur Radio 24.
(Par Romain Boselli)