
L’interdiction du port de voile à l’institution Sainte Jeanne d’Arc est un chapitre du règlement intérieur de l’école dans lequel l’administration décrit la tenue exigée des élèves, filles ou garçons, sans distinction.
Dans une interview accordée au journal L’Observateur, Mme Rayanna Tall, proviseur de l’Institution Sainte Jeanne d’Arc déclare: « nous avons demandé aux familles, pour lesquelles les enfants n’avaient pas une tenue conforme au règlement intérieur, qu’elles avaient signé, de bien vouloir se conformer à cette tenue exigée. Nous n’avons pas exclu de filles voilées ».
Dans cette affaire qui oppose l’Institution Sainte Jeanne d’Arc et les parents d’élèves adeptes du port de voile, les autorités ont saisi l’ancien ministre de l’Éducation nationale, André Sonko, pour offrir sa médiation, rapporte le quotidien L’As.
L’Église, qui a aussi été approchée par qui de droit pour trouver une issue heureuse à cette regrettable crise, aurait demandé à la direction de Jeanne d’Arc de permettre aux élèves voilées de terminer leur cursus.
Mais, l’État, qui joue la carte de la prudence, menace de sévir en appliquant avec fermeté la loi, si un consensus n’est pas trouvé, en motivant sa décision par le fait que l’enseignement est laïc au Sénégal.
Dans une interview accordée au journal L’Observateur, Mme Rayanna Tall, proviseur de l’Institution Sainte Jeanne d’Arc déclare: « nous avons demandé aux familles, pour lesquelles les enfants n’avaient pas une tenue conforme au règlement intérieur, qu’elles avaient signé, de bien vouloir se conformer à cette tenue exigée. Nous n’avons pas exclu de filles voilées ».
Dans cette affaire qui oppose l’Institution Sainte Jeanne d’Arc et les parents d’élèves adeptes du port de voile, les autorités ont saisi l’ancien ministre de l’Éducation nationale, André Sonko, pour offrir sa médiation, rapporte le quotidien L’As.
L’Église, qui a aussi été approchée par qui de droit pour trouver une issue heureuse à cette regrettable crise, aurait demandé à la direction de Jeanne d’Arc de permettre aux élèves voilées de terminer leur cursus.
Mais, l’État, qui joue la carte de la prudence, menace de sévir en appliquant avec fermeté la loi, si un consensus n’est pas trouvé, en motivant sa décision par le fait que l’enseignement est laïc au Sénégal.