
Arrivé en Italie il y a 10 ans, Bouna Diop avait dans sa besace un diplôme obtenu à l'Ensut de Dakar. En Italie, il obtint un master en Coopération internationale décentralisée. C'est fort de ce bagage intellectuel et de son expérience qu'il décida de travailler pour le Sénégal en général et la diaspora en particulier. C'est là que lui est venue l'idée de créer un parti politique dont il est le président.
Diaspora 3D est, selon lui, un cadre de réflexion et d'échange mais aussi un cadre au sein duquel le Sénégal est observé dans toutes les directions et dont les membres ne seront plus des spectateurs mais des acteurs à part entière.
Interrogé sur ses ambitions politiques, M. Diop estime plus raisonnable de commencer à voler bas, c'est-à-dire essayer d'avoir le maximum de députés aux prochaines échéances électorales, assurant ainsi un maillage complet du pays avant de prétendre à autre chose.
Selon M. Diop, la particularité de son parti réside dans le fait qu’il organise des primaires pour instaurer la transparence et la démocratie au sein de ses instances.
En tout état de cause, la diaspora ne compte plus jouer les seconds rôles, elle compte apporter sa pierre dans la construction du pays. C'est désormais le moment de prendre plus au sérieux la diaspora dans sa globalité car les Sénégalais de l'extérieur ont l'intention de mettre la main à la pâte.
MALICK SAKHO (BERGAMO, ITALIE)
Diaspora 3D est, selon lui, un cadre de réflexion et d'échange mais aussi un cadre au sein duquel le Sénégal est observé dans toutes les directions et dont les membres ne seront plus des spectateurs mais des acteurs à part entière.
Interrogé sur ses ambitions politiques, M. Diop estime plus raisonnable de commencer à voler bas, c'est-à-dire essayer d'avoir le maximum de députés aux prochaines échéances électorales, assurant ainsi un maillage complet du pays avant de prétendre à autre chose.
Selon M. Diop, la particularité de son parti réside dans le fait qu’il organise des primaires pour instaurer la transparence et la démocratie au sein de ses instances.
En tout état de cause, la diaspora ne compte plus jouer les seconds rôles, elle compte apporter sa pierre dans la construction du pays. C'est désormais le moment de prendre plus au sérieux la diaspora dans sa globalité car les Sénégalais de l'extérieur ont l'intention de mettre la main à la pâte.
MALICK SAKHO (BERGAMO, ITALIE)