Profitant de l’assouplissement des conditions de participation à cette célébration de l’Art, des individualités ont réussi à tirer profit de la double possibilité d’une participation «in» (officielle) ou «off» (officieuse) pour s’engouffrer dans la seconde option fourre-tout, pour présenter des œuvres relevant d’un prosélytisme malsain. Cette exposition «off» concerne pas moins de 270 sites, répartis sur l’ensemble du territoire national, dont 213 pour la seule région de Dakar, le reste étant essaimés dans les autres régions. Mais cette 11e édition du Dak’Art (se déroulant du 9 mai au 8 juin) aura eu le mérite d’avoir suscité l’ire de nombreuse franges de la société, particulièrement des enseignants, pères de famille et autres éducateurs sociaux, ulcérés qu’ils ont été par ce qu’ils ont découvert sur le terrain.
En effet, pour prendre l’exemple du site de la Route de Rufisque (à l’Espace Biennale Off), il est bien mentionné à l’entrée un slogan qui en dit long sur les intentions réelles des organisateurs : «Ma première expérience en tant que Lesbienne» ! Appuyé par un suggestif portrait d’une travestie, sanglée, bien en saillie au niveau de la ceinture, d’un «sextoy» en caoutchouc, prisé, comme tout le monde le sait, par les lesbiennes, pour simuler entre-elles l’organe sexuel mâle. Ou la galerie «Raw Art», sise à la Sicap rue 10, à proximité du Centre de Santé Gaspar Camara, où le visiteur est accueilli par une affichette à l’écriteau-slogan provocateur : «Pour une visibilité gay au Sénégal». Et à l’intérieur de la galerie, l’attention du visiteur ne peut manquer d’être accrochée par des photographies d’homosexuels et de travestis, dans des postures évocatrices. Pour ne citer que ces exemples. Et les commissaires ne s’en cachent d’ailleurs pas, lorsque l’un d’eux affirme publiquement et sans ambages (dans http://www.vipeoples.net/ que : «La promotion de l’homosexualité en Afrique, particulièrement au Sénégal, se fait dans une discrétion esthétique, le but étant de ne pas heurter les Sénégalais, dans un pays où la question gay est toujours un sujet sensible».
Il est donc indéniable, en dépit des multiples dénégations, dans la presse, de certains organisateurs du cette singulière édition du Dak’Art, que cette manifestation, supposée promouvoir notre culture, se révèle être un support de propagande des unions contre-nature. Lesquelles sont fermement rejetées par les religions révélées auxquelles se réclament 95% de musulmans et 3% de chrétiens sénégalais. Mais surtout condamnées par le Législateur, à travers l’article 319 du Code pénal de l’Etat du Sénégal. Il est donc incontestable que cette présente édition du Dak’Art est attentatoire à nos bonnes mœurs et nos lois.
Or, que nous rétorquent les organisateurs, notamment le directeur de la Biennale Babacar Mbaye Diop, cadre au ministère de la Culture : «Nous n’avons aucune responsabilité sur le volet ‘Off’ de l’exposition. C’est sont des exposants privés qui ont introduit ses fresques à polémiques». Ce qui ne les dédouane pas pour autant, car la responsabilité morale du ministère de tutelle est pleine et entière, en sa qualité de maître d’œuvre de la Biennale.
L’inacceptable paternalisme du journal Le Monde
Mais c’est surtout la relation tendancieuse et paternaliste qu’en a fait le respectable journal, Le Monde, qui aura outré plus d’un. Dans son édition du 13 mai 2014, le quotidien français s’est laissé aller à une titraille digne d’un journal de l’ère coloniale : «Le Dak’Art en guerre contre l’homophobie». Ainsi donc nous serions, nous Sénégalais, selon la publication parisienne, des intolérants vis-à- vis de cette déviance sexuelle ! Autrement dits de vils homophobes ! En lançant aussi péremptoirement cette «fatwa» contre la foi de millions de musulmans sénégalais, le quotidien Le Monde omet scandaleusement de se conformer à la bienséance du parallélisme des formes, relativement aux particularismes culturels respectifs des sociétés africaines et occidentales.
En effet, le paternaliste quotidien français Le Monde n’avait pipé mot lorsque le Code civile français corsait les conditions de séjour des étrangers, en adoptant, en 1993, la tristement célèbre «Loi Pasqua», qui interdit littéralement la polygamie sur le territoire français. Nous avons tous souvenance de ces multiples drames familiaux que cette loi scélérate a engendrés, lors de son entrée en vigueur, chez de nombreuses secondes épouses d’immigrés dés lors condamnées à opérer ce choix douloureux : demander le divorce ou se voir refuser le renouvellement de leurs cartes de séjour.
Et pourtant – bien que nous y soyons tous fondés – personne n’a jamais qualifié cet acte d’intolérance de «polygamophobe» (qui sied parfaitement d’ailleurs !). Et qui a entendu ces fameux droits-de-l’hommistes, si prompts à crier au scandale quand les Sénégalais expriment leurs indignations face aux frasques publiques d’homosexuels ? Au contraire, ils ont tous fait – et continuent de faire – profil bas, face à ce mépris culturel que nous fait subir la puissante France.
Les tenants de ce prosélytisme malsain n’arriveront jamais à nier – pour prendre le cas du Sénégal – que la communauté homosexuelle, avec ses 22% de séropositifs posent un réel problème de santé publique. Contre-exemples pour la jeunesse d’un pays fortement ancré dans sa foi, ces actes contre-nature sont fermement rejetés, à huit reprises, par le Saint Coran (dont tous versets y afférant font pertinemment renvoi à la malédiction divine qui s’était abattue sur le peuple pervers de Loth, ravagé par les unions contre-nature) ; et à deux reprises par l’Ancien Testament (Lévitique).
Sans oublier le Code pénal sénégalais qui, en son article 319, est sans équivoque. Et pourtant ce sont ces mêmes cartels «d’intellectualisants», passés maîtres dans le terrorisme médiatique, qui crient sur tous les toits que : «La démocratie c’est la loi de la majorité» ! Alors, pourquoi persistent-ils à vouloir imposer les mœurs déviantes d’une minorité à une majorité qui les rejettent foncièrement ? De quel coté se trouvent alors les véritables «intolérants» ou «provocateurs» ?
L’Etat a heureusement réagi sans détour
Au terme d’une tournée nationale, faite auprès de toutes les familles religieuses du pays, pour les alerter sur les intentions d’un mystérieux séminaire tenu dans un célèbre hôtel, sis à la corniche-est, et auquel le journal Le Populaire du 28 mars 2013 s’était largement fait écho, en lui prêtant l’intention de concocter un avant-projet de dépénalisation destiné au Parlement, le président exécutif de Jamra, Imam Massamba Diop, a tenu un point de presse, le 7 avril 2013, pour demander au président de la République Monsieur Macky Sall d’éclairer à ce sujet la lanterne des Sénégalais. Et l’écrasante majorité de nos compatriotes s’était par la suite réjoui du communiqué du publié par le Conseil des ministres du jeudi 11 avril 2013, rejetant toute formes de dépénalisation des unions contre-nature.
Laquelle posture devait être confirmée et officialisée deux mos plus tard, le 27 juin 2013, lorsque le président de la République opposa publiquement une fin de non-recevoir à l’invite faite par le chef de la plus grande puissance économique, technologique et militaire du monde, le président Obama, à dépénaliser les unions contre-nature en terre sénégalaise. L’Organisation islamique Jamra et l’Observatoire de veille et de défense des valeurs culturelles et religieuses Mbañ Gacce, s’étaient alors fait le devoir de d’adresser leurs vives félicitations au président sénégalais, pour s’être conformer au vœu de l’écrasante majorité des croyants de ce pays.
Constants dans leur démarche, Jamra & Mbañ Gacce reformulent ces mêmes compliments patriotiques à l’Etat sénégalais, pour avoir immédiatement réagit à l’interpellation faite par les débatteurs de l’émission sociétale de Lamp-Fal-Tv, de ce samedi 31 mai, à 10 heures. En effet, exhorté par un plateau de qualité, composé de l’ancien ministre en charge des affaires religieuses Bamba Ndiaye, du photo-journaliste de Walfadjri Mamadou Gomis, du directeur de la Biennale Babacar Mbaye Diop et du vice-président de Jamra Mame Mactar Guèye, à procéder sans délai à la fermeture des sites d’exposition incriminés, le pouvoir, par le biais d’une responsable d’un démembrement de l’Etat, a fait joindre directement au téléphone – dés la fin de l’émission et en présence des invité susnommés - l’animatrice de Lamp Fall Tv, Sokhna Aminata Mbaye, pour l’informer de la «fermeture immédiate» desdits sites.
Limitant ainsi les énormes dégâts psychologiques que cette «Biennale Off» aura eu le temps causer dans de nombreux frêles esprits juvéniles, abreuvés qu’ils ont été, depuis le 9 mai dernier, de fresques malsaines, faisant ouvertement, sous couvert de l’art, la promotion de la déviance sexuelle et de la débauche, au mépris de notre ancrage dans nos valeurs ancestrales imbibées des enseignements religieux multiséculaires, que nous auront généreusement légués une longue lignée de grandes figures de l’Islam qui reposent en terre sénégalaise.
Dakar, le 31 mai 2014
Pour le Bureau exécutif de
Jamra & Mbañ Gacce
Imam Massamba Diop
ongjamra@hotmail.com
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En effet, pour prendre l’exemple du site de la Route de Rufisque (à l’Espace Biennale Off), il est bien mentionné à l’entrée un slogan qui en dit long sur les intentions réelles des organisateurs : «Ma première expérience en tant que Lesbienne» ! Appuyé par un suggestif portrait d’une travestie, sanglée, bien en saillie au niveau de la ceinture, d’un «sextoy» en caoutchouc, prisé, comme tout le monde le sait, par les lesbiennes, pour simuler entre-elles l’organe sexuel mâle. Ou la galerie «Raw Art», sise à la Sicap rue 10, à proximité du Centre de Santé Gaspar Camara, où le visiteur est accueilli par une affichette à l’écriteau-slogan provocateur : «Pour une visibilité gay au Sénégal». Et à l’intérieur de la galerie, l’attention du visiteur ne peut manquer d’être accrochée par des photographies d’homosexuels et de travestis, dans des postures évocatrices. Pour ne citer que ces exemples. Et les commissaires ne s’en cachent d’ailleurs pas, lorsque l’un d’eux affirme publiquement et sans ambages (dans http://www.vipeoples.net/ que : «La promotion de l’homosexualité en Afrique, particulièrement au Sénégal, se fait dans une discrétion esthétique, le but étant de ne pas heurter les Sénégalais, dans un pays où la question gay est toujours un sujet sensible».
Il est donc indéniable, en dépit des multiples dénégations, dans la presse, de certains organisateurs du cette singulière édition du Dak’Art, que cette manifestation, supposée promouvoir notre culture, se révèle être un support de propagande des unions contre-nature. Lesquelles sont fermement rejetées par les religions révélées auxquelles se réclament 95% de musulmans et 3% de chrétiens sénégalais. Mais surtout condamnées par le Législateur, à travers l’article 319 du Code pénal de l’Etat du Sénégal. Il est donc incontestable que cette présente édition du Dak’Art est attentatoire à nos bonnes mœurs et nos lois.
Or, que nous rétorquent les organisateurs, notamment le directeur de la Biennale Babacar Mbaye Diop, cadre au ministère de la Culture : «Nous n’avons aucune responsabilité sur le volet ‘Off’ de l’exposition. C’est sont des exposants privés qui ont introduit ses fresques à polémiques». Ce qui ne les dédouane pas pour autant, car la responsabilité morale du ministère de tutelle est pleine et entière, en sa qualité de maître d’œuvre de la Biennale.
L’inacceptable paternalisme du journal Le Monde
Mais c’est surtout la relation tendancieuse et paternaliste qu’en a fait le respectable journal, Le Monde, qui aura outré plus d’un. Dans son édition du 13 mai 2014, le quotidien français s’est laissé aller à une titraille digne d’un journal de l’ère coloniale : «Le Dak’Art en guerre contre l’homophobie». Ainsi donc nous serions, nous Sénégalais, selon la publication parisienne, des intolérants vis-à- vis de cette déviance sexuelle ! Autrement dits de vils homophobes ! En lançant aussi péremptoirement cette «fatwa» contre la foi de millions de musulmans sénégalais, le quotidien Le Monde omet scandaleusement de se conformer à la bienséance du parallélisme des formes, relativement aux particularismes culturels respectifs des sociétés africaines et occidentales.
En effet, le paternaliste quotidien français Le Monde n’avait pipé mot lorsque le Code civile français corsait les conditions de séjour des étrangers, en adoptant, en 1993, la tristement célèbre «Loi Pasqua», qui interdit littéralement la polygamie sur le territoire français. Nous avons tous souvenance de ces multiples drames familiaux que cette loi scélérate a engendrés, lors de son entrée en vigueur, chez de nombreuses secondes épouses d’immigrés dés lors condamnées à opérer ce choix douloureux : demander le divorce ou se voir refuser le renouvellement de leurs cartes de séjour.
Et pourtant – bien que nous y soyons tous fondés – personne n’a jamais qualifié cet acte d’intolérance de «polygamophobe» (qui sied parfaitement d’ailleurs !). Et qui a entendu ces fameux droits-de-l’hommistes, si prompts à crier au scandale quand les Sénégalais expriment leurs indignations face aux frasques publiques d’homosexuels ? Au contraire, ils ont tous fait – et continuent de faire – profil bas, face à ce mépris culturel que nous fait subir la puissante France.
Les tenants de ce prosélytisme malsain n’arriveront jamais à nier – pour prendre le cas du Sénégal – que la communauté homosexuelle, avec ses 22% de séropositifs posent un réel problème de santé publique. Contre-exemples pour la jeunesse d’un pays fortement ancré dans sa foi, ces actes contre-nature sont fermement rejetés, à huit reprises, par le Saint Coran (dont tous versets y afférant font pertinemment renvoi à la malédiction divine qui s’était abattue sur le peuple pervers de Loth, ravagé par les unions contre-nature) ; et à deux reprises par l’Ancien Testament (Lévitique).
Sans oublier le Code pénal sénégalais qui, en son article 319, est sans équivoque. Et pourtant ce sont ces mêmes cartels «d’intellectualisants», passés maîtres dans le terrorisme médiatique, qui crient sur tous les toits que : «La démocratie c’est la loi de la majorité» ! Alors, pourquoi persistent-ils à vouloir imposer les mœurs déviantes d’une minorité à une majorité qui les rejettent foncièrement ? De quel coté se trouvent alors les véritables «intolérants» ou «provocateurs» ?
L’Etat a heureusement réagi sans détour
Au terme d’une tournée nationale, faite auprès de toutes les familles religieuses du pays, pour les alerter sur les intentions d’un mystérieux séminaire tenu dans un célèbre hôtel, sis à la corniche-est, et auquel le journal Le Populaire du 28 mars 2013 s’était largement fait écho, en lui prêtant l’intention de concocter un avant-projet de dépénalisation destiné au Parlement, le président exécutif de Jamra, Imam Massamba Diop, a tenu un point de presse, le 7 avril 2013, pour demander au président de la République Monsieur Macky Sall d’éclairer à ce sujet la lanterne des Sénégalais. Et l’écrasante majorité de nos compatriotes s’était par la suite réjoui du communiqué du publié par le Conseil des ministres du jeudi 11 avril 2013, rejetant toute formes de dépénalisation des unions contre-nature.
Laquelle posture devait être confirmée et officialisée deux mos plus tard, le 27 juin 2013, lorsque le président de la République opposa publiquement une fin de non-recevoir à l’invite faite par le chef de la plus grande puissance économique, technologique et militaire du monde, le président Obama, à dépénaliser les unions contre-nature en terre sénégalaise. L’Organisation islamique Jamra et l’Observatoire de veille et de défense des valeurs culturelles et religieuses Mbañ Gacce, s’étaient alors fait le devoir de d’adresser leurs vives félicitations au président sénégalais, pour s’être conformer au vœu de l’écrasante majorité des croyants de ce pays.
Constants dans leur démarche, Jamra & Mbañ Gacce reformulent ces mêmes compliments patriotiques à l’Etat sénégalais, pour avoir immédiatement réagit à l’interpellation faite par les débatteurs de l’émission sociétale de Lamp-Fal-Tv, de ce samedi 31 mai, à 10 heures. En effet, exhorté par un plateau de qualité, composé de l’ancien ministre en charge des affaires religieuses Bamba Ndiaye, du photo-journaliste de Walfadjri Mamadou Gomis, du directeur de la Biennale Babacar Mbaye Diop et du vice-président de Jamra Mame Mactar Guèye, à procéder sans délai à la fermeture des sites d’exposition incriminés, le pouvoir, par le biais d’une responsable d’un démembrement de l’Etat, a fait joindre directement au téléphone – dés la fin de l’émission et en présence des invité susnommés - l’animatrice de Lamp Fall Tv, Sokhna Aminata Mbaye, pour l’informer de la «fermeture immédiate» desdits sites.
Limitant ainsi les énormes dégâts psychologiques que cette «Biennale Off» aura eu le temps causer dans de nombreux frêles esprits juvéniles, abreuvés qu’ils ont été, depuis le 9 mai dernier, de fresques malsaines, faisant ouvertement, sous couvert de l’art, la promotion de la déviance sexuelle et de la débauche, au mépris de notre ancrage dans nos valeurs ancestrales imbibées des enseignements religieux multiséculaires, que nous auront généreusement légués une longue lignée de grandes figures de l’Islam qui reposent en terre sénégalaise.
Dakar, le 31 mai 2014
Pour le Bureau exécutif de
Jamra & Mbañ Gacce
Imam Massamba Diop
ongjamra@hotmail.com
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