Avec le recul, je crois que ma vie est un désastre. Mon enfance n’a pas été très heureuse. Mes grands-parents m’ont élevée, mais n’ont jamais su trouver les mots pour me soutenir et à l’école, je ne me suis pas vraiment distinguée par l’excellence de mes résultats.
En revanche, j’ai toujours désiré connaître l’amour. Sans succès. J'ai trois enfants, le père du premier n’a jamais voulu m’épouser. Pas de bonheur familial, non plus, à l’horizon pour moi. Si je récapitule, aujourd’hui, je n’ai pas la famille que j’ai toujours désirée, je suis seule, et je ne peux pas me réjouir d’être en bonne santé puisqu’un accident de voiture m’a bousillé les jambes.
Le fait que mes parents m’aient détruite psychologiquement, a beaucoup à voir avec mon incapacité à construire une vie de couple. Le père de mes deux derniers enfants ne veut pas que l’on vive ensemble et il ne faut même pas lui parler mariage. Pourtant, je considère le mariage comme le meilleur moyen d’être en sécurité, d’être sûre que quelqu’un sera toujours à mes côtés. Je l’ai ardemment désiré et ce n’est pas faute d’avoir prié. Au lieu de cela, je dois élever mes enfants avec des pensions alimentaires.
J’en suis au point où j’ai arrêté de me poser des questions. Je ne me demande plus pourquoi j’ai été si peu aimée de ma mère, ni pourquoi ma grand-mère a été si injuste avec moi. Je me contente de garder le sourire et de prendre les choses comme elles viennent. Désormais, j’ai admis que le bonheur serait pour quelqu’un d’autre.
psychologies.
En revanche, j’ai toujours désiré connaître l’amour. Sans succès. J'ai trois enfants, le père du premier n’a jamais voulu m’épouser. Pas de bonheur familial, non plus, à l’horizon pour moi. Si je récapitule, aujourd’hui, je n’ai pas la famille que j’ai toujours désirée, je suis seule, et je ne peux pas me réjouir d’être en bonne santé puisqu’un accident de voiture m’a bousillé les jambes.
Le fait que mes parents m’aient détruite psychologiquement, a beaucoup à voir avec mon incapacité à construire une vie de couple. Le père de mes deux derniers enfants ne veut pas que l’on vive ensemble et il ne faut même pas lui parler mariage. Pourtant, je considère le mariage comme le meilleur moyen d’être en sécurité, d’être sûre que quelqu’un sera toujours à mes côtés. Je l’ai ardemment désiré et ce n’est pas faute d’avoir prié. Au lieu de cela, je dois élever mes enfants avec des pensions alimentaires.
J’en suis au point où j’ai arrêté de me poser des questions. Je ne me demande plus pourquoi j’ai été si peu aimée de ma mère, ni pourquoi ma grand-mère a été si injuste avec moi. Je me contente de garder le sourire et de prendre les choses comme elles viennent. Désormais, j’ai admis que le bonheur serait pour quelqu’un d’autre.
psychologies.