"Seule une équipe solide et bien constituée peut désormais gagner des élections au Sénégal. "Bennoo siggil Senegaal" jouit d’une telle considération aux yeux de l’opinion que l’union doit être consolidée", martèle M. Dieng.
Pour lui, "Bennoo" représente ce que le "Sopi" représentait avant 2000.
"Nous suscitons l’espoir. Au sein de cette coalition, nous allons travailler à consolider l’union et à asseoir cet idéal. Dans la mesure du possible nous allons faire de sorte qu’il y ait un consensus pour la méthode qu’on va adopter en 2012. Que ce soit une candidature unique ou une candidature plurielle, nous allons en discuter et arriver à un consensus", révèle-t-il.
Interpelant les élus de la Coalition "Bennoo Siggil Senegaal", il affirme :
"Nous devons faire en sorte de ne pas décevoir les électeurs parce que nous serons jugés pour ce que nous ferons. Le pouvoir ne fera pas de cadeau et il faudra éviter les ventes de terrain et de cantines"
Sur le défi que Karim Wade lui avait lancé, il répète : "Je ne suis pas l’égal de Karim Wade. Je ne débattrais jamais avec lui. C’est son père mon alter-ego."
"Sur mes responsabilités dans l’organisation du sommet de l’Oci de 1991, beaucoup de choses inexactes ont été dites. « En ce moment, c’est Jean Colin qui était chargé des affaires présidentielles. Je n’étais que directeur de cabinet du président Diouf. Je n’étais impliqué qu’à ce titre", fait-il remarquer.
- Par Béatrice L. - nettali
Pour lui, "Bennoo" représente ce que le "Sopi" représentait avant 2000.
"Nous suscitons l’espoir. Au sein de cette coalition, nous allons travailler à consolider l’union et à asseoir cet idéal. Dans la mesure du possible nous allons faire de sorte qu’il y ait un consensus pour la méthode qu’on va adopter en 2012. Que ce soit une candidature unique ou une candidature plurielle, nous allons en discuter et arriver à un consensus", révèle-t-il.
Interpelant les élus de la Coalition "Bennoo Siggil Senegaal", il affirme :
"Nous devons faire en sorte de ne pas décevoir les électeurs parce que nous serons jugés pour ce que nous ferons. Le pouvoir ne fera pas de cadeau et il faudra éviter les ventes de terrain et de cantines"
Sur le défi que Karim Wade lui avait lancé, il répète : "Je ne suis pas l’égal de Karim Wade. Je ne débattrais jamais avec lui. C’est son père mon alter-ego."
"Sur mes responsabilités dans l’organisation du sommet de l’Oci de 1991, beaucoup de choses inexactes ont été dites. « En ce moment, c’est Jean Colin qui était chargé des affaires présidentielles. Je n’étais que directeur de cabinet du président Diouf. Je n’étais impliqué qu’à ce titre", fait-il remarquer.
- Par Béatrice L. - nettali