Je vis avec mon père et ma sœur ainée Marcelle à Yopougon-Sicogi, un quartier populaire à Abidjan. Mon père n’a pas eu le garçon qu’il désirait ardemment pour lui succéder dans ses affaires d’où son obstination à donner des noms de garçon à ses filles. Celle qui me suivait et qui est décédée il y a deux ans de cela se nommait carrément Jean. Mon père avait insisté qui fallait prononcer « Djinn » comme en anglais, mais on l’appelait simplement Jean.
Marcelle est une sœur formidable. Elle partage tout ce qu’elle a avec moi et je sais tout d’elle. Rien n’est secret entre nous et tous ceux qui nous connaissent au quartier nous envient notre complicité. Marcelle suis un cycle ingénieur en Ressources humaines dans une grande école au plateau. Un jour, elle me fit cas d’un jeune qu’elle avait rencontré sur internet et qui se nommait Aurel. Le nom me semblait plutôt ressembler à un nom de jeunes fille comparativement aux nôtres moi et ma sœur. Ma remarque à ce sujet a fait rire ma sœur jusqu’aux larmes. Elle y avait aussi pensé mais s’était bien gardé d’en parler.
Aurel était un as de la communication. Il pouvait appeler Marcelle durant des heures et des heures. D’ailleurs, elle appréciait beaucoup. Elle me confia même qu’elle commençait à tomber amoureuse de lui. La situation me semblait irréaliste d’autant plus qu’ils ne s’étaient jamais rencontrés. Mais à voir l’expression de ma sœur au téléphone avec cet inconnu, on pouvait facilement remarquer qu’elle était heureuse. Aurel voulait souvent me parler quand il était en communication avec Marcelle, mais je trouvais toujours un prétexte pour ne pas le prendre au téléphone. Un jour, il est arrivé à la maison et a fait connaissance avec nous. Il était un charmant jeune homme avec des allures distinguées. En tous cas, Marcelle avait beaucoup de chance me suis-je dis. A partir de ce jour, j’ai accepté de le prendre au téléphone. Il était comique et très gentil. Il a demandé mon numéro à ma sœur et elle le lui a donné sans m’en informer. C’est là que mon histoire commence réellement.
Un jour, mon téléphone sonna. Lorsque j’ai décroché, c’était Aurel qui était à l’autre bout du fil. J’étais surprise. Il s’est mit à rire de mon étonnement. Il causa longtemps avec moi des choses simples et d’autres, sérieuses. Il était amical, doux et très attentif. Je comprenais enfin l’angoisse de ma sœur quand Aurel ne l’appelait pas certains jours. J’aurais tout donné pour avoir un interlocuteur comme lui chaque jour au bout du fil. Je n’en ai pas dit un mot à ma sœur. On continua ainsi nos appels en catimini pendant deux semaines et il m’invita à prendre un pot avec lui pour parler de ma sœur, précisa t-il. Nous nous sommes rencontrés dans un petit restau chic aux 2 plateaux où il m’a fait déguster des plats exotiques que je n’avais jamais pensé gouter un jour. Le déjeuner a prit fin par un tête à tête intime autour d’une bouteille d’un vin de grande qualité. Ce jour là, nous avons plus parlé de moi que de ma sœur Marcelle.
Il aimait mes yeux et mon sourire. Il disait que s’il m’avait rencontrée avant Marcelle, son choix serait déjà fait, il me choisirait sans hésiter. Quant à moi, je tombais apparemment sous son charme et ses belles paroles. Il se rapprocha de moi et posa ses lèvres sur les miennes. Jai pas pu résister, nous nous sommes embrassé. Il m’invita ensuite à faire un tour chez lui. Il vivait dans un studio somptueusement meublé non loin du restaurant où nous étions. Il m’a attiré à lui lorsque nous sommes arrivés dans son studio. Nous nous sommes fougueusement embrassé. Il a ouvert la chaine de mon pantalon jeans et s’est déshabillé. J’ai vu sa tête se rapprocher de mon bas ventre. Sa langue s’est glissée subrepticement dans ma fente et a commencé à remonter et descendre. Je gémissais en serrant sa tête entre mes mains. Je me suis étendue sur son lit en écartant au maximum les jambes. Il me suçait avec une douceur merveilleuse. Je gémissais toujours en me malaxant les seins et en me mordillant les lèvres. Aurel me souleva doucement et me mis à genoux en face de lui…
La suite a été torride. J’ai couché avec le copain de ma sœur. Je ne m’en revenais pas moi-même. Lorsque je sui rentrée à la maison, Marcelle était au téléphone avec Aurel ! Lorsqu’elle m’a aperçue, elle m’a fait signe de la main : « Aurel voulait te parler, mais je lui ai dit que tu es sortie ». Puis elle ajouta :
- Aurel, Paule vient de rentrer, je te la passe.
J’ai pris le portable avec dans mains tremblantes et je l’ai collé à mon oreille : « Allo, chérie, j’espère que tu ne diras rien à ta sœur ! »…
Marcelle ne se doute de rien. J’ai commencé à fuir le téléphone comme à leur début. Aurel m’invite souvent avec Marcelle ou toute seule. Mais je décline toutes ses offres. J’ai même changé mon numéro. Tout cela ne suffit cependant pas à me consoler ; je me sens extrêmement coupable envers ma sœur qui m’aime tant et qui adore son petit ami. J’ai du mal à la regarder dans les yeux. Elle l’a remarqué mais je refuse d’en parler avec elle. Mardi dernier, elle m’a confié qu’elle me pardonnerait tout. Enfin, tout sauf… sauf l’infidélité de son mec avec moi. Je sais qu’elle l’a dit pas parce qu’elle soupçonnait quelque chose. En plus, elle était sincère. Je crois que c’est ce soir là que j’ai commencé à vomir. Et depuis je vomis. J’ai constaté l’absence de mes règles depuis plus de trois mois déjà. Ma tension est faible et je ne pense plus à rien. Ma tête est vide.
impudiqueconfessions
Marcelle est une sœur formidable. Elle partage tout ce qu’elle a avec moi et je sais tout d’elle. Rien n’est secret entre nous et tous ceux qui nous connaissent au quartier nous envient notre complicité. Marcelle suis un cycle ingénieur en Ressources humaines dans une grande école au plateau. Un jour, elle me fit cas d’un jeune qu’elle avait rencontré sur internet et qui se nommait Aurel. Le nom me semblait plutôt ressembler à un nom de jeunes fille comparativement aux nôtres moi et ma sœur. Ma remarque à ce sujet a fait rire ma sœur jusqu’aux larmes. Elle y avait aussi pensé mais s’était bien gardé d’en parler.
Aurel était un as de la communication. Il pouvait appeler Marcelle durant des heures et des heures. D’ailleurs, elle appréciait beaucoup. Elle me confia même qu’elle commençait à tomber amoureuse de lui. La situation me semblait irréaliste d’autant plus qu’ils ne s’étaient jamais rencontrés. Mais à voir l’expression de ma sœur au téléphone avec cet inconnu, on pouvait facilement remarquer qu’elle était heureuse. Aurel voulait souvent me parler quand il était en communication avec Marcelle, mais je trouvais toujours un prétexte pour ne pas le prendre au téléphone. Un jour, il est arrivé à la maison et a fait connaissance avec nous. Il était un charmant jeune homme avec des allures distinguées. En tous cas, Marcelle avait beaucoup de chance me suis-je dis. A partir de ce jour, j’ai accepté de le prendre au téléphone. Il était comique et très gentil. Il a demandé mon numéro à ma sœur et elle le lui a donné sans m’en informer. C’est là que mon histoire commence réellement.
Un jour, mon téléphone sonna. Lorsque j’ai décroché, c’était Aurel qui était à l’autre bout du fil. J’étais surprise. Il s’est mit à rire de mon étonnement. Il causa longtemps avec moi des choses simples et d’autres, sérieuses. Il était amical, doux et très attentif. Je comprenais enfin l’angoisse de ma sœur quand Aurel ne l’appelait pas certains jours. J’aurais tout donné pour avoir un interlocuteur comme lui chaque jour au bout du fil. Je n’en ai pas dit un mot à ma sœur. On continua ainsi nos appels en catimini pendant deux semaines et il m’invita à prendre un pot avec lui pour parler de ma sœur, précisa t-il. Nous nous sommes rencontrés dans un petit restau chic aux 2 plateaux où il m’a fait déguster des plats exotiques que je n’avais jamais pensé gouter un jour. Le déjeuner a prit fin par un tête à tête intime autour d’une bouteille d’un vin de grande qualité. Ce jour là, nous avons plus parlé de moi que de ma sœur Marcelle.
Il aimait mes yeux et mon sourire. Il disait que s’il m’avait rencontrée avant Marcelle, son choix serait déjà fait, il me choisirait sans hésiter. Quant à moi, je tombais apparemment sous son charme et ses belles paroles. Il se rapprocha de moi et posa ses lèvres sur les miennes. Jai pas pu résister, nous nous sommes embrassé. Il m’invita ensuite à faire un tour chez lui. Il vivait dans un studio somptueusement meublé non loin du restaurant où nous étions. Il m’a attiré à lui lorsque nous sommes arrivés dans son studio. Nous nous sommes fougueusement embrassé. Il a ouvert la chaine de mon pantalon jeans et s’est déshabillé. J’ai vu sa tête se rapprocher de mon bas ventre. Sa langue s’est glissée subrepticement dans ma fente et a commencé à remonter et descendre. Je gémissais en serrant sa tête entre mes mains. Je me suis étendue sur son lit en écartant au maximum les jambes. Il me suçait avec une douceur merveilleuse. Je gémissais toujours en me malaxant les seins et en me mordillant les lèvres. Aurel me souleva doucement et me mis à genoux en face de lui…
La suite a été torride. J’ai couché avec le copain de ma sœur. Je ne m’en revenais pas moi-même. Lorsque je sui rentrée à la maison, Marcelle était au téléphone avec Aurel ! Lorsqu’elle m’a aperçue, elle m’a fait signe de la main : « Aurel voulait te parler, mais je lui ai dit que tu es sortie ». Puis elle ajouta :
- Aurel, Paule vient de rentrer, je te la passe.
J’ai pris le portable avec dans mains tremblantes et je l’ai collé à mon oreille : « Allo, chérie, j’espère que tu ne diras rien à ta sœur ! »…
Marcelle ne se doute de rien. J’ai commencé à fuir le téléphone comme à leur début. Aurel m’invite souvent avec Marcelle ou toute seule. Mais je décline toutes ses offres. J’ai même changé mon numéro. Tout cela ne suffit cependant pas à me consoler ; je me sens extrêmement coupable envers ma sœur qui m’aime tant et qui adore son petit ami. J’ai du mal à la regarder dans les yeux. Elle l’a remarqué mais je refuse d’en parler avec elle. Mardi dernier, elle m’a confié qu’elle me pardonnerait tout. Enfin, tout sauf… sauf l’infidélité de son mec avec moi. Je sais qu’elle l’a dit pas parce qu’elle soupçonnait quelque chose. En plus, elle était sincère. Je crois que c’est ce soir là que j’ai commencé à vomir. Et depuis je vomis. J’ai constaté l’absence de mes règles depuis plus de trois mois déjà. Ma tension est faible et je ne pense plus à rien. Ma tête est vide.
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