Le président de l’Union des magistrats du Sénégal (Ums), Souleymane Téliko, a été auditionné hier pendant 3 h par le Procureur général près de la Cour d’Appel de Ziguinchor Assane Ndiaye en charge du dossier. Cette séquence de l’affaire Téliko, à qui l’on reproche sa sortie critique contre les décisions de justice sur l’affaire Khalifa Sall, ancien maire de Dakar, était vivement attendue.
Selon "Le Témoin", pour le président de l’Ums, Khalifa Sall n’avait pas bénéficié d’un procès équitable. Annoncée une première fois pour devant se tenir à Ziguinchor, cette audition avait été reportée avant d’être finalement faite hier à Dakar, au niveau de la Cour Suprême. L’audition s’est terminée en milieu d’après-midi. Souleymane Téliko a été entendu pendant 3 heures.
À la sortie de l’audition, l’avocat du président de l’Ums, Me Ciré Clédor Ly, s’est adressé à la presse. Il s’est borné à dire ce qui suit : « Nous n’avons pas de déclaration à faire. Nous vous informons que l’audition s’est très bien passée. Elle s’est tenue correctement, dans le respect mutuel et aussi dans les règles de l’art ». « Les avocats étaient présents de même que des magistrats. Téliko avait la possibilité de se faire assister par des avocats, mais aussi des magistrats », a ajouté le conseil. L’on apprend que la Cour suprême appréciera s’il y a matière à poursuivre ou non le président de l’UMS.
Selon "Le Témoin", pour le président de l’Ums, Khalifa Sall n’avait pas bénéficié d’un procès équitable. Annoncée une première fois pour devant se tenir à Ziguinchor, cette audition avait été reportée avant d’être finalement faite hier à Dakar, au niveau de la Cour Suprême. L’audition s’est terminée en milieu d’après-midi. Souleymane Téliko a été entendu pendant 3 heures.
À la sortie de l’audition, l’avocat du président de l’Ums, Me Ciré Clédor Ly, s’est adressé à la presse. Il s’est borné à dire ce qui suit : « Nous n’avons pas de déclaration à faire. Nous vous informons que l’audition s’est très bien passée. Elle s’est tenue correctement, dans le respect mutuel et aussi dans les règles de l’art ». « Les avocats étaient présents de même que des magistrats. Téliko avait la possibilité de se faire assister par des avocats, mais aussi des magistrats », a ajouté le conseil. L’on apprend que la Cour suprême appréciera s’il y a matière à poursuivre ou non le président de l’UMS.