Le candidat de la coalition «Benno Bokk Yakhar» Macky Sall qui recevait samedi dernier le mouvement des élus régionaux et ruraux victimes du découpage administratif, intitulé «Mouvement Fipu», a promis de corriger toutes ces injustices notées dans ce projet de découpage dont la seule intention nourrie par ses auteurs c'était de développer une politique politicienne. Pour lui, tous les nouveaux découpages opérés par le régime en place ne ressortaient que de l'usurpation et d'un détournement de la volonté populaire qui a été exprimée par les populations à travers la voix démocratique.
Le candidat Macky Sall estime en effet que pour remporter le scrutin du 25 mars prochain, il faut impérativement annuler ce projet. Car selon lui, «on ne peut pas rester dans son palais et prendre des décrets dont le seul objectif visait à hypothéquer la volonté des populations qui ont déjà fait leur choix sur les personnes devant les diriger au plan local». Alors que selon la loi de la décentralisation, annonce-t-il , il était seulement prévu le changement de frontière et des limites territoriales au sein même des collectivités.
Le candidat Macky Sall de poursuivre, « il reste évident que ces nombreux découpages sur la cartographie de notre pays ont été effectués sur la base d'aucune loi institutionnelle, sous prétexte que, les populations les ont demandés. Mais rien dans tout cela n'est vrai, puis que ces découpages n'ont aucun sens sinon déboulonner des citoyens démocratiquement élus pour mettre en place des délégations spéciales sans aucune raison valable ». Ainsi réagissant, après avoir accusé réception du mémorandum remis par le président du collectif des conseillers ruraux du Sénégal Aliou Diack, le challenger de Me Wade dans ce second tour de la présidentielle a pris la ferme décision de mettre fin à ces agissements.
Outre ces questions précises, le candidat de la coalition « Benno Bokk Yakhar », a aussi fait part de ses intentions sur le plan agricole, sur l'élevage et la pêche. Par rapport à l'agriculture, Macky Sall a fait comprendre que «c'est pour surtout favoriser certains importateurs d'huile manufacturée à l'étranger que le pouvoir en place s'est lancé depuis quelques années sur une perspective ininterrompue de tuer la filière agricole, car pour une filière qui absorbait chaque année pendant la campagne une enveloppe de 75 à 100 milliards de francs, a vu cette barre fortement baissé pour se limiter seulement à 10 milliards de Frs du fait d'une mauvaise politique.
Ce qui se dessine comme facteurs essentiels pour mener une bonne politique agricole, à savoir les semences de qualité exemplaire distribuées à temps normal, le renouvellement et la modernisation du matériel agricole, la distribution de produits tels que l'engrais et autres fertilisants, ne sont plus disponibles au sein des organisations de producteurs et l'on assiste aujourd'hui à la baisse progressive du rendement à tous les niveaux de spéculation. Macky Sall qui continue encore de croire à la pertinence du programme tiré des assises nationales promet de rectifier ces dysfonctionnements en mettant en place toutes les conditions pouvant garantir une agriculture beaucoup plus prospère dans notre pays.
S'agissant de la pêche, la premier constat fait avec le reste du directoire national « Benno Bokk Yakhar » est surtout la présence ces temps-ci dans nos côtes de nombreux navires de pêche étrangers venus soustraire le peu de ressources halieutiques qui nous restent. Il se persuade toutefois que ce sont les dernières tentatives de liquidation opérées dans nos eaux par le régime de Wade.
Le 25 mars pour lui sera le jour où l'ensemble des fautes de gestion commises par l'actuel gouvernement, sera corrigé et le Sénégal sera enfin en possession de sa liberté confisquée depuis plus d'une décennie.
Source:xibar.net
Le candidat Macky Sall estime en effet que pour remporter le scrutin du 25 mars prochain, il faut impérativement annuler ce projet. Car selon lui, «on ne peut pas rester dans son palais et prendre des décrets dont le seul objectif visait à hypothéquer la volonté des populations qui ont déjà fait leur choix sur les personnes devant les diriger au plan local». Alors que selon la loi de la décentralisation, annonce-t-il , il était seulement prévu le changement de frontière et des limites territoriales au sein même des collectivités.
Le candidat Macky Sall de poursuivre, « il reste évident que ces nombreux découpages sur la cartographie de notre pays ont été effectués sur la base d'aucune loi institutionnelle, sous prétexte que, les populations les ont demandés. Mais rien dans tout cela n'est vrai, puis que ces découpages n'ont aucun sens sinon déboulonner des citoyens démocratiquement élus pour mettre en place des délégations spéciales sans aucune raison valable ». Ainsi réagissant, après avoir accusé réception du mémorandum remis par le président du collectif des conseillers ruraux du Sénégal Aliou Diack, le challenger de Me Wade dans ce second tour de la présidentielle a pris la ferme décision de mettre fin à ces agissements.
Outre ces questions précises, le candidat de la coalition « Benno Bokk Yakhar », a aussi fait part de ses intentions sur le plan agricole, sur l'élevage et la pêche. Par rapport à l'agriculture, Macky Sall a fait comprendre que «c'est pour surtout favoriser certains importateurs d'huile manufacturée à l'étranger que le pouvoir en place s'est lancé depuis quelques années sur une perspective ininterrompue de tuer la filière agricole, car pour une filière qui absorbait chaque année pendant la campagne une enveloppe de 75 à 100 milliards de francs, a vu cette barre fortement baissé pour se limiter seulement à 10 milliards de Frs du fait d'une mauvaise politique.
Ce qui se dessine comme facteurs essentiels pour mener une bonne politique agricole, à savoir les semences de qualité exemplaire distribuées à temps normal, le renouvellement et la modernisation du matériel agricole, la distribution de produits tels que l'engrais et autres fertilisants, ne sont plus disponibles au sein des organisations de producteurs et l'on assiste aujourd'hui à la baisse progressive du rendement à tous les niveaux de spéculation. Macky Sall qui continue encore de croire à la pertinence du programme tiré des assises nationales promet de rectifier ces dysfonctionnements en mettant en place toutes les conditions pouvant garantir une agriculture beaucoup plus prospère dans notre pays.
S'agissant de la pêche, la premier constat fait avec le reste du directoire national « Benno Bokk Yakhar » est surtout la présence ces temps-ci dans nos côtes de nombreux navires de pêche étrangers venus soustraire le peu de ressources halieutiques qui nous restent. Il se persuade toutefois que ce sont les dernières tentatives de liquidation opérées dans nos eaux par le régime de Wade.
Le 25 mars pour lui sera le jour où l'ensemble des fautes de gestion commises par l'actuel gouvernement, sera corrigé et le Sénégal sera enfin en possession de sa liberté confisquée depuis plus d'une décennie.
Source:xibar.net
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