Cette rencontre qui a pour maître d’œuvre l’Institut national Démocratique (IND), entre dans le cadre du programme « Nietti Élections » du gouvernement américain. Financé à hauteur de 10 millions de dollars américains, l’équivalent de 6 milliards de francs Cfa, ce programme comme décidé par le gouvernement américain, est synonyme d’un renforcement des valeurs démocratiques que le Sénégal et les États-Unis partagent ensemble.
Aussi, les nombreuses particularités que les deux pays ont de commun et qui fondent aujourd’hui, les bases de leurs relations bilatérales. Pour l’Ambassadeur des États-Unis, Mike Raynor, « les peuples sénégalais et américains savent à quel point nous tirons profit des institutions démocratiques fortes, que nous avons séparément mises en place et qui nous permettent de choisir nos dirigeants et nous exprimer librement. Mais nous savons aussi effectivement que ces droits-là, ne doivent pas être considérés comme des acquis. Car, même si la démocratie est fruit d’un dur labour, l’histoire nous a appris qu’elle peut aussi être facilement mise en péril ».
D’ailleurs c’est pour cette raison, ajoute-il, que « les États-Unis s’investissent dans la démocratie dans notre propre pays et ensuite, dans le monde. Et nulle part dans le monde, ce partenariat démocratique n’est plus vital qu’au Sénégal ».
Le chef de la diplomatie américaine a, par ailleurs, indiqué, que depuis 1960, son pays a toujours soutenu le Sénégal en matière d’élections et les processus politiques, par le biais de campagnes de sensibilisation des électeurs, de la formation des responsables électoraux, de l’achat de matériel et d'équipements, afin de garantir l’intégrité et l’équité du processus électoral.
En y ajoutant les programmes de renforcement de capacités en faveur des observateurs, la formation de la société civile pour la surveillance des échéances électorales et le soutien aux processus électoraux transparents et efficaces, cette démarche vise à améliorer la transparence, à réduire la corruption et à renforcer l’état de droit.
Dans la sous-région, constate-t-il, le Sénégal jouit d’une réputation bien méritée de modèle de bonne gouvernance. Cependant, tout comme les États-Unis et toutes les autres démocraties du monde, le Sénégal doit nécessairement s’efforcer à renforcer ses institutions démocratiques, afin de protéger les idéaux auxquels ses citoyens restent attachés
Aussi, les nombreuses particularités que les deux pays ont de commun et qui fondent aujourd’hui, les bases de leurs relations bilatérales. Pour l’Ambassadeur des États-Unis, Mike Raynor, « les peuples sénégalais et américains savent à quel point nous tirons profit des institutions démocratiques fortes, que nous avons séparément mises en place et qui nous permettent de choisir nos dirigeants et nous exprimer librement. Mais nous savons aussi effectivement que ces droits-là, ne doivent pas être considérés comme des acquis. Car, même si la démocratie est fruit d’un dur labour, l’histoire nous a appris qu’elle peut aussi être facilement mise en péril ».
D’ailleurs c’est pour cette raison, ajoute-il, que « les États-Unis s’investissent dans la démocratie dans notre propre pays et ensuite, dans le monde. Et nulle part dans le monde, ce partenariat démocratique n’est plus vital qu’au Sénégal ».
Le chef de la diplomatie américaine a, par ailleurs, indiqué, que depuis 1960, son pays a toujours soutenu le Sénégal en matière d’élections et les processus politiques, par le biais de campagnes de sensibilisation des électeurs, de la formation des responsables électoraux, de l’achat de matériel et d'équipements, afin de garantir l’intégrité et l’équité du processus électoral.
En y ajoutant les programmes de renforcement de capacités en faveur des observateurs, la formation de la société civile pour la surveillance des échéances électorales et le soutien aux processus électoraux transparents et efficaces, cette démarche vise à améliorer la transparence, à réduire la corruption et à renforcer l’état de droit.
Dans la sous-région, constate-t-il, le Sénégal jouit d’une réputation bien méritée de modèle de bonne gouvernance. Cependant, tout comme les États-Unis et toutes les autres démocraties du monde, le Sénégal doit nécessairement s’efforcer à renforcer ses institutions démocratiques, afin de protéger les idéaux auxquels ses citoyens restent attachés