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Karim Wade et ses présumés complices placés en garde-à-vue


Rédigé par leral.net le Lundi 15 Avril 2013 à 20:12 | | 8 commentaire(s)|

Karim Wade et ses présumés complices placés en garde-à-vue
L'information vient de tomber. Karim Wade qui a été interpellé chez lui et conduit à la Section de recherches de Colobane et ses présumés complices vont passer la nuit à la caserne Samba Dièry Diallo. Ils ont été placés en garde-à-vue pare les limiers. D'après nos informations, l'ancien ministre d'Etat et ses amis feront face demain au Procureur spécial près de la Cour de répression de l'enrichissement illicite. Leur dossier pourrait atterrir à la Chambre d'accusation et là-bas les choses risquent de se compliquer.



1.Posté par kathior ka le 15/04/2013 20:59 | Alerter
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État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
kathior, 24 novembre 2012 00:18 de nettali


Grave un recteur qui ignorait royalement l'autonomie des structures, avec une gestion tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l'Enseignement Supérieur de la Recherche, sans aucune enquête sérieuse. Les faits qui lui sont pourtant reprochés sont d'une telle gravité qu'il ne doit certainement son "salut" (c'est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l'ARP à la 25ème heure. Les "amis" avant la patrie.


Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos instituions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management ([b]mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.[/b]) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire ([b]avantages indus, intimidations, etc.[/b]), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passent ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.
----------------
DÉCLARATION SAES

La section SAES-UGB s’est réunie en AG ce jeudi 11 octobre 2012 en vue d’évaluer la situation qui prévaut en interne au sein de notre institution universitaire.
Devant le constat :
d’une situation générale de mal gouvernance,
de non fonctionnement des structures et directions démultipliées,
de non respect des textes universitaires,
de mauvaise gestion des deniers publics alloués à l’UGB,
de la dégradation des conditions de travail,
de recrutements massifs et clientélistes de personnels non prévus dans le budget en cours,
de retard dans le paiement des salaires et de retenues sur salaires non versées.
L’Assemblée Générale de Saint-Louis condamne avec la dernière énergie le mode actuel de gestion du Recteur Mary Teuw Niane....
...
L’Assemblée générale, note avec indignation, désolation et amertume que le Recteur de l’UGB n’a respecté aucun des engagements qu’il avait pris lors de ses dernières rencontres avec le bureau de la section SAES.
Ainsi, l’AG exige :
le respect des textes en vigueur sur le recrutement de personnels enseignants non titulaires,
le paiement sans délai de toutes les sommes dues :
Heures Complémentaires du second semestre,
perdiem de voyage d’études aux ayant droits restants,….
le versement effectif des prélèvements opérés sur les salaires des enseignants au profit de certaines institutions financières,
le paiement effectif des sommes dues aux institutions sanitaires,
L’AG regrette la lecture partielle ou contextuelle que le Recteur fait des textes qui nous régissent. Elle insiste sur l’urgence de la situation désastreuse dans laquelle se trouve l’UGB et interpelle les pouvoirs publics sur la nécessité d’auditer les fonds alloués.
Nous restons mobilisés pour la sauvegarde et la défense de notre institution.
Vive l’Université sénégalaise, vive le SAES.

Fait à Saint-Louis le 12 octobre 2012.
L’Assemblée Générale
-------------
SYNTUS (Syndicat des travailleurs de l’UGB de Saint louis).
Saint Louis, 22/06/2012.

APPEL A LA COMMUNAUTÉ CONTRE LES DÉRIVES D’UNE GESTION SOLITAIRE.

Depuis quelques années la gestion solitaire, le subjectivisme, le népotisme et les règlements de compte sont monnaie courante a l’UGB. Dans la vie des établissements ( UFR LSH, CCOS…) comme dans la gestion des ressources humaines (recrutement, traitement salarial, nominations) les exemples ne se comptent plus. Retraits de prérogatives, mises en quarantaine et tentatives d’humiliation sont le lot de ceux et celles qui qui refusent de marcher au pas et qui ont osé faire face.

LE SYNTUS FERA FACE COMME PAR LE PASSE.

Nous avons toujours préfère le dialogue social constructif a la confrontation. C’est pourquoi depuis la tentative avortée de licenciement dont certains de nos camarades ont été victimes en 2010 et toutes les tentatives vaines de déstabiliser notre syndicat, nous avons voulu rester sereins et positifs.
Seulement la récidive dans l’irrespect et le manque de considération à l’ endroit des travailleurs y compris certains de ces collaborateurs attitres, du Recteur, mettent gravement en péril la gestion démocratique et la justice sociale.
C’est pourquoi sentinelle au service exclusif de l’institution, le SYNTUS est résolu a faire face pour réinstaller la confiance et la joie de travailler ensemble toutes composantes confondues au développement concerté de l’UGB.

VIVE LES SYNTUS, VIVE L’UGB.
L’Assemblée générale
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2.Posté par thiep de puis atlanta le 15/04/2013 21:12 | Alerter
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IL FAUT ALLER CHERCHER OUSMANE NGOM AUSSI

3.Posté par Vérité Absolue le 15/04/2013 21:40 | Alerter
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toi qui dit kon vas chercher Ousmane Ngom, aussi après l'avoir faire on vas arréter ton père fils de pute

4.Posté par ALFONSO le 15/04/2013 22:02 | Alerter
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DEPUIS L'ETRANGER NOUS SOMMES NOMBREUX ET SUIVONS DE TRES PRES LE DEROULRMENT DES CHOSES... LES NOUVELLES N'ONT QU'À SE TENIR PRETES, NOUS LE RENDRONS LE PAYS INGOUVERNABLE..C'EST UNE GRANDE HONTE POUR LE SENEGAL, C'EST INSUPPORTABLE ..
À BON ENTENDEUR SALUT.

5.Posté par aly le 15/04/2013 22:53 | Alerter
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ALFONSO , PERSONNE NE PEUT RENDRE LE PAYS INGOUVERNABLE; ; LE PEUBLE VOUS ATTEND DE PIEDS FERMES; CE QUI SE PASSE EST UNE EXIGENCE DU PEUBLE , NOUS N AVONS ELU MACKY SA.LL QUE POUR CELA

6.Posté par aly le 15/04/2013 22:53 | Alerter
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ALFONSO , PERSONNE NE PEUT RENDRE LE PAYS INGOUVERNABLE; ; LE PEUBLE VOUS ATTEND DE PIEDS FERMES; CE QUI SE PASSE EST UNE EXIGENCE DU PEUBLE , NOUS N AVONS ELU MACKY SA.LL QUE POUR CELA

7.Posté par Happy le 15/04/2013 23:10 (depuis mobile) | Alerter
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Keskon aten pr les ousmane ngom et farba senghor???

8.Posté par yoonu diakhlé le 15/04/2013 23:39 | Alerter
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Je prends à témoin l’opinion nationale et internationale car comme le disait Robespierre lors du Discours sur la liberté de la presse en mai 1791 « Dans tout État libre, chaque citoyen est une sentinelle de la liberté qui doit crier, au moindre bruit, à la moindre apparence du danger qui la menace ».

Lors de ses premières sorties, Macky Sall, fraîchement élu président de la République, s’est longuement éternisé sur l’option d’une politique dite de rupture marquée par une gestion sobre, vertueuse mais efficace des affaires de la Cité.

Cependant un an après l’accession de Macky à la Magistrature Suprême, les sénégalais semblent plus que réticents eu égard à la possibilité d’application de son programme dénommé le «Yonnu Yokkuté» (la voie de l’émergence en wolof).
Pendant que certains voient à travers ses nominations aux postes aussi stratégiques que ceux de ministre, directeur général ou de président de conseil d'administration. Une tentative plus ou moins voilée de «positionner ses hommes» pour certains, alors que d’autres semblent déjà l’accuser de nourrir ces folles ambitions vouloir s’éterniser au pouvoir. Rien que du vent, car les annonces ne suivent jamais les actions sur le terrain. L’homme que l’on a élu à défaut et par dépit, ne peut être que l’égal de lui-même. Il aura beau se dépatouiller, mais il reste tout de même empêtré dans un maquillage qui porte bien son nom.
Pendant qu’ils tirent le diable par la queue, le sorcier imaginaire élu dans des circonstances exceptionnelles, continue de recruter librement des godillots malléables, créables, crevables et corvéables convenablement confinés dans leur rôle de pantins à merci pour son renforcer son propre pouvoir et prolonger son mandat en 2017.
Le sénégalais lamda n’a pas l’impression que les choses bougent, qu’il y a une amélioration, même progressive de son sort, que quelque chose est en train de changer sa vie.
Au contraire. Sa déception qui va crescendo est telle que pointe, une fois de plus, la lueur de l’inquiétude. A part des baisses insignifiantes de prix de quelques denrées de première nécessité dont certaines avec un effet boomerang, le coût de la vie devient, de plus en plus, insupportable. Avec des hausses sur tout et rien, reconnues ou pas, l’impression que « ces gens-là » non plus ne sont à la hauteur, a fini de gagner tous les foyers. Personne n’avait élu Macky Sall pour retarder les avatars que nous vivons mais, pour en venir à bout.
Au Sénégal qui peut parler de rupture, de sobriété, de bonne gouvernance, de transparence, sans tomber dans le ridicule le plus loufoque ?

LE NEPOTISME DANS LA FAMILLE DYNASTIQUE DES « SALL- FAYE »

Le népotisme est la tendance de certains dirigeants, à favoriser l'ascension de leur famille ou de leur entourage dans la hiérarchie qu'ils dirigent, au détriment du mérite et de l'intérêt général.
Cependant, il convient de bien mettre en évidence le rôle prépondérant joué par la famille au sens large du terme : chaque individu est redevable envers l'ensemble de sa famille. Et sa réussite doit rejaillir sur sa famille, même si cette dernière n'est pour rien dans cette réussite. Ainsi, lorsqu'un paysan fait une bonne récolte, elle doit servir à nourrir tous les siens, même s'ils n'ont pas travaillé à cette récolte. De ce fait, et en vertu du principe de suffisance évoqué plus haut, personne n'a intérêt à développer l'agriculture et à créer une exploitation d'envergure : une telle exploitation permettrait de subvenir aux besoins de toute la famille qui, dès lors, cesserait toute forme d'activité pour se reposer sur le seul membre du clan auteur d'une telle initiative.

A une plus large échelle, ce phénomène touche l'Etat lui-même : l’individu qui parvient à s'imposer comme le chef de l'Etat est contraint, par la tradition, de redistribuer à sa famille les biens auxquels il peut accéder par sa fonction.
Enfants, frères et cousins sont dès lors nommés aux postes importants de l'administration : c'est le népotisme de facto.

Plus largement encore, cette règle s'applique à toute la tribu, à l'ethnie même, d'où est originaire le dirigeant politique : les fonctions principales étant largement monopolisées par la famille, les fonctions subalternes sont distribuées aux appartenants de l'ethnie du chef.
Et, si le dirigeant tentait de briser cette règle, il serait automatiquement mis au ban des siens et saboté par eux, eux sur qui seuls il peut compter.
Les postes octroyés, taillés sur mesure, par le président Macky SALL ne riment pas avec les exigences des compétences et des expériences. C’est une illusion que de croire à cette rhétorique, pitoyable, « la patrie avant le parti », pendant ce temps, on passe par derrière pour faire le contraire de ce l’on dit tout haut, en plaçant sa propre famille, ses collaborateurs immédiats, ses amis et parents d’alliances.
La compétence de la distribution des postes se résume exclusivement à l’aune de l’ethnisme déclaré publiquement, non-éclairé, par devers, sans discontinuer et sur commande recommandée d’en haut, comme seul fonds de commerce, royalement autorisé. C’est le seul critère pour mesurer le baromètre des expériences et les compétences farfelues taillées sur mesure.
Le Sénégal souffre de la confiscation totale de tous les leviers de l’appareil d’état par une seule famille politique, aux apparences boulimiques, pithiatiques, sans que personne n’ose lever le petit doigt pour dire, non halte, stop ! Un accaparement du pouvoir par une seule caste d’incompétents bavards, stériles et incultes que leur procure leur statut qu’on a bien voulu leur donner.
Macky sall ne respecte pas ses engagements pour le mandat pour lequel il a été élu. Il piétine et foule du pied la république qu’il agenouille pour des raisons crypto personnels. Il n’est là que pour jouir du pouvoir, en affichant un visage erroné. Ce n’est pas un homme qui inspire la confiance, ni de rupture, au contraire, il a grugé les sénégalais par les preuves. Il n’est pas à la hauteur.

AU SENEGAL ON A :

Ibrahima SALL nommé chargé de missions à la présidence (Cousin du Président Macky SALL)
Diagué SALL Pca (Cousin)
Samba SALL ministre conseiller (Cousin)
Son beau-frère Mansour FAYE dit marco polo Délégué à la solidarité nationale
Adama FAYE(beau frére) est nommé chargé de mission à la présidence
Son beau-père le vieux Abdourahmane SECK dit grand homer Pca petrosen
Son cousin Abdoulaye TIMBO Dg Fnpj
Son cousin Harona TIMBO ministre conseiller
Son oncle Djibo SALL pca
Les quatres chauffeurs du couple Sall ont signé un contrat spécial avec l’Etat sénégalais avec rang de ministre
Maréme FAYE alors qu’elle ne dispose d’aucun poste officiel dans la république, elle occupe l’ancien bureau de karim wade, sis au dixième étage de l’immeuble Tamaro, sous la couverture bidon de fondation « Servir le Sénégal », gérée par Daouada faye, responsable de la communication et des relations extérieures de la structure.
Son beau-frère Daouda FAYE dit moulaye thieuguine est nommé ministre conseiller
Sa belle tante Sira DIALLO ministre conseiller
Souleymane NDIAYE, le papa du mari de Fatou Bintou SECK, la petite soeur de Maréme FAYE, est nommé ministre conseiller
Abdourahmane Ndiaye ( cousin) nommé Conseiller spécial
Boubacar Siguiri Sy( cousin) , Conseiller spécial
Daouda Dia, petit fére d’Arouna Dia questeur à l’assemblée nationale (Arouna Dia, argentier de Macky SALL)
Farba NGOM, le griot de Macky SALL est élu député
Le frère du ministre du Budget (Abdoulaye DIALLO), monsieur Amadou Diallo a été nommé consul du Sénégal à Paris en remplacement de Léopold Faye
Macky Sall nomme Mamadou Sy, un magistrat halpulaar à la retraite au Conseil Constitutionnel (C’est bien la rupture d’une République des « halpulaars » et des nominations ethniques)
La tante de Marieme Faye est nommée il y a un mois, ambassadeur du Sénégal au Burkina Faso. Mme l'ambassadeur qui est enseignante à la veille de la retraite est l'épouse de l'oncle maternel de Marieme Faye. Ce, au moment où les diplomates de carrière sont laissés en rade,

La dame seynabou doucoure (amie de MARIEME FAYE SALL et maman de l'éphémére secretaire au cabinet de MACKY , celle qui avait remplacé Mme SENGHOR) revient avec la nomination de son actuel mari , M KHALIFA GUEYE à la présidence du comité de surveillance de la direction de la statistique,

La sœur de Aminata Tall, Khadidatou Tall Diagne, professeur d’enseignement a été «bombardée ambassadeur du Sénégal à Tunis» en remplacement d’Amadou Sow,

Au port autonome de Dakar le directeur Général Cheikh KANTE a casé son propre frère, à quelques pas de la retraite à l’embarcadère de Gorée,
Cheikh KANTE a aussi nommé son neveu, le fils de sa sœur, à la Direction financière
Aïcha Gassama Tall, fille de Macky Gassama, agent judiciaire de l’Etat en remplacement de Abdou Dianko (Macky Gassama, l’homonyme du président de la République Macky SALL)
Ndeye Binta Gassama, fille de Macky Gassama, conseillère spéciale de Macky Sall
Amadou Diop, l'époux de l’une des filles du même Macky Gassama, précédemment conseiller diplomatique du Président de la Commission de l’Uemoa, est nommé ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire auprès du Roi Albert II de Belgique, en remplacement de l’ambassadeur Paul Badji
Mamadou Gassama, nommé président du Conseil de surveillance de l’Anamo

Que l'actuel président soit redevable à celui qui a donné du travail à son père... Mais sommes-nous en République lorsque des personnes doivent leur nomination à leur nom de famille ?
Non sans oublier le limogeage de Me Alioune Badara Cissé qui serait en fait victime de sa rivalité avec Mansour Faye, le frère de Marième Faye qui est son rival politique à Saint Louis.

Eh bien, le népotisme à haut débit devient irrévocablement un mode de gouvernance absolu du maquillage. Une démocratie cliniquement clanique, ouvertement déclarée. Un parti, famille, une dynastie, des courtisans !
Les Sénégalais s'interrogent de plus en plus sur les réunions du Conseil des ministres, devenues des séances de nomination de proches du président, sans mentionner l'apérisation excessive et malheureuse des représentations diplomatiques du Sénégal à l'étranger.

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