A Kédougou, certaines populations vivent un calvaire annuel. Avec la chaleur, moins ressentie à Dakar, l’eau, mais surtout la glace est devenue très prisée. Mais elle se fait tristement rare, n’offrant comme solution que de l'eau issue des puits.
Les coupures d’électricité qui durent et qui sont fréquentes, expliquent ce malaise. Selon certains témoignages reçus, chaque année, ce phénomène leur revient en cette période et presque sans aucune issue. Raison pour laquelle, exprimant leur colère, les populations exigent une solution définitive.
Selon un responsable local de la Sénélec, cette situation s’explique par un déficit de production, car leurs groupes ne peuvent plus supporter les charges qui s’accentuent en cette période de chaleur. Voilà la raison de ces délestages selon lui.
Cependant, l’espoir d’un retour à la normale est permis, car un groupe de production a été reçu cette semaine et deux autres sont attendus.
Les coupures d’électricité qui durent et qui sont fréquentes, expliquent ce malaise. Selon certains témoignages reçus, chaque année, ce phénomène leur revient en cette période et presque sans aucune issue. Raison pour laquelle, exprimant leur colère, les populations exigent une solution définitive.
Selon un responsable local de la Sénélec, cette situation s’explique par un déficit de production, car leurs groupes ne peuvent plus supporter les charges qui s’accentuent en cette période de chaleur. Voilà la raison de ces délestages selon lui.
Cependant, l’espoir d’un retour à la normale est permis, car un groupe de production a été reçu cette semaine et deux autres sont attendus.