''Sur les 1.200 hectares d’emblavure en mil, les récoltes obtenues en deux jours dans les daaras de Touba Khelcom, Darou Salam et Darou Khoudoss, vont doubler par rapport à celles enregistrées l’année dernière'', a dit à la presse l'homme d'affaires Cheikh Amar, responsable des travaux champêtres.
Grâce à une forte mobilisation des fidèles, les travaux prévus pour trois jours ont été ramenés à deux jours, par des milliers de personnes venues d’horizons divers, entre vendredi et samedi.
Plusieurs dignitaires mourides se rencontrés à Darou Salam pour faire le point de la situation et remercier les talibés qui ont répondu à leur appel.
Au nom de Serigne Cheikh Saliou Mbacké, khalife de Serigne Saliou, le responsable du domaine, Serigne Saliou khelcom, a rappelé les objectifs visés dans l’exploitation du domaine.
''Tout le mil qui est produit dans le périmètre doit être distribué dans les mosquées et servir à appuyer les personnes démunies à travers tout le pays'', a-t-il ecpliqué.
Le chef des travaux, Cheikh Amar, a abondé dans le même sens, soulignant que Serigne Saliou lui avait dit que Khelcom, ''c’est un champ de Serigne Touba''.
''Il m’avait dit que tout ce qu’il cultivait à Khelcom, comme le mil, il le distribuait à la famille de Serigne Touba. Le reste, comme l’arachide, il le vendait et en garder pour ses semences. L’argent tiré de la vente des arachides, il le mettait dans le compte de Serigne Touba'', a raconté Cheikh Amar.
''Il n’a jamais touché un franc de Khelcom. Ce qui explique qu’il a laissé des milliards à la postérité. Ce n’est pas une affaire d’argent. Le marabout voulait montrer que dans la vie, il faut travailler'', a-t-il dit.
APS
Grâce à une forte mobilisation des fidèles, les travaux prévus pour trois jours ont été ramenés à deux jours, par des milliers de personnes venues d’horizons divers, entre vendredi et samedi.
Plusieurs dignitaires mourides se rencontrés à Darou Salam pour faire le point de la situation et remercier les talibés qui ont répondu à leur appel.
Au nom de Serigne Cheikh Saliou Mbacké, khalife de Serigne Saliou, le responsable du domaine, Serigne Saliou khelcom, a rappelé les objectifs visés dans l’exploitation du domaine.
''Tout le mil qui est produit dans le périmètre doit être distribué dans les mosquées et servir à appuyer les personnes démunies à travers tout le pays'', a-t-il ecpliqué.
Le chef des travaux, Cheikh Amar, a abondé dans le même sens, soulignant que Serigne Saliou lui avait dit que Khelcom, ''c’est un champ de Serigne Touba''.
''Il m’avait dit que tout ce qu’il cultivait à Khelcom, comme le mil, il le distribuait à la famille de Serigne Touba. Le reste, comme l’arachide, il le vendait et en garder pour ses semences. L’argent tiré de la vente des arachides, il le mettait dans le compte de Serigne Touba'', a raconté Cheikh Amar.
''Il n’a jamais touché un franc de Khelcom. Ce qui explique qu’il a laissé des milliards à la postérité. Ce n’est pas une affaire d’argent. Le marabout voulait montrer que dans la vie, il faut travailler'', a-t-il dit.
APS