En effet, l’on se rappelle de « l’appel de Moustapha Niass datant du 16 juin 1999 », rompant les amarres avec le Parti socialiste (Ps). De nos jours, il est difficile de connaître le poids politique de ce parti qui s’est fondu dans la coalition Benno Bokk Yakaar, aux côtés de Macky Sall. Une aspirine jetée dans le verre d'eau de l’Apr.
D’aucuns pensaient déjà aux changements avec une aspiration des uns et des autres, après 40 ans de règne des socialistes. Mais dans un contexte pareil, des experts semblent être d’accord sur le fait que l’Afp ait mis de l’eau dans son vin, avec son idéal de conquête du pouvoir.
De près de 17% lors de la présidentielle de 2000, l’Afp a chuté pour se retrouver à 5% en 2007, avant de se retrouver avec 13% en 2012, sous la coalition Benno Siggil Sénégal. En mars 2014, le bureau politique de l’Afp prononçait sa décision de voter Macky Sall en 2019. Pour d’aucuns, cette démarche « étouffait toute velléité de conquête du pouvoir et de candidature en sein même de ce parti. »
Depuis lors, l’Alliance des forces de progrès a perdu du terrain. Avec un Moustapha Niasse âgé de près de 80 ans, des militants qui ont décidé de suivre leur propre chemin, celui-ci ne peut plus prétendre au fauteuil du Palais. Macky Sall, lui, déclare tous azimuts, que « l’Afp reste un allié de taille». Et pourtant, il fut un parti qui avait cristallisé autant d’espoir dès sa création. Il s’est juste limité à jouer sa partition dans les deux alternances. Une personnalité (Ndlr : Moustapha Niasse) influente bien que le parti n’ait plus la direction des affaires. « Il a joué un rôle dans les assises de l’opposition à l’époque. Et jusqu’en 2012, on peut dire qu’il a cristallisé l’espoir et les aspirations démocratiques », explique Mamadou Sy Albert, analyste politique. A l’en croire, maintenant, la période d’après 2012, Moustapha Niasse et l’Alliance des forces de progrès sont relativement affaiblis par rapport à l’objectif central. « L’Afp voulait aussi le pouvoir, bien qu’il ne l’a pas eu ».
D’après "Rewmi" quotidien, l’Afp reste une force politique, mais les progressistes n’ont plus la direction des affaires politiques, argue-t-il. La question qui est suspendue sur toutes les lèvres, est de savoir « s’il aura le courage de quitter le pouvoir ou de s’acoquiner avec le locataire du palais».
D’aucuns pensaient déjà aux changements avec une aspiration des uns et des autres, après 40 ans de règne des socialistes. Mais dans un contexte pareil, des experts semblent être d’accord sur le fait que l’Afp ait mis de l’eau dans son vin, avec son idéal de conquête du pouvoir.
De près de 17% lors de la présidentielle de 2000, l’Afp a chuté pour se retrouver à 5% en 2007, avant de se retrouver avec 13% en 2012, sous la coalition Benno Siggil Sénégal. En mars 2014, le bureau politique de l’Afp prononçait sa décision de voter Macky Sall en 2019. Pour d’aucuns, cette démarche « étouffait toute velléité de conquête du pouvoir et de candidature en sein même de ce parti. »
Depuis lors, l’Alliance des forces de progrès a perdu du terrain. Avec un Moustapha Niasse âgé de près de 80 ans, des militants qui ont décidé de suivre leur propre chemin, celui-ci ne peut plus prétendre au fauteuil du Palais. Macky Sall, lui, déclare tous azimuts, que « l’Afp reste un allié de taille». Et pourtant, il fut un parti qui avait cristallisé autant d’espoir dès sa création. Il s’est juste limité à jouer sa partition dans les deux alternances. Une personnalité (Ndlr : Moustapha Niasse) influente bien que le parti n’ait plus la direction des affaires. « Il a joué un rôle dans les assises de l’opposition à l’époque. Et jusqu’en 2012, on peut dire qu’il a cristallisé l’espoir et les aspirations démocratiques », explique Mamadou Sy Albert, analyste politique. A l’en croire, maintenant, la période d’après 2012, Moustapha Niasse et l’Alliance des forces de progrès sont relativement affaiblis par rapport à l’objectif central. « L’Afp voulait aussi le pouvoir, bien qu’il ne l’a pas eu ».
D’après "Rewmi" quotidien, l’Afp reste une force politique, mais les progressistes n’ont plus la direction des affaires politiques, argue-t-il. La question qui est suspendue sur toutes les lèvres, est de savoir « s’il aura le courage de quitter le pouvoir ou de s’acoquiner avec le locataire du palais».