Selon le Directeur de l’Arm, Mbaye Kébé, une autorisation d’importation de 10 000 T d’oignon est délivrée aux gros importateurs pour mettre fin à la tendance haussière sur le marché relative à ce produit très couru pendant le mois de Ramadan. « Aujourd’hui, l’offre ne peut pas satisfaire la demande. Il y a insuffisance d’oignon sur le marché et le prix a grimpé de telle manière que maintenant nous sommes obligés de présenter ce schéma pour permettre aux Sénégalais d’accéder correctement à cette denrée dont nous consommons près de 18 000 T pendant le Ramadan », explique le Directeur de l’Arm.
Et M. Kébé de préciser qu’aujourd’hui, les stocks disponibles sur le marché n’excèdent pas 160 T pour tout le Sénégal. Ce qui, à l’en croire, est catastrophique. « En tant qu’organe de régulation, nous devons faire en sorte que le marché soit mieux approvisionné en produits vendus à des prix justes. Le prix de l’oignon est à 550, 600 F, alors qu’en principe il ne devait pas dépasser 250 F à la consommation », ajoute M. Kébé.
Sans oublier, précise-t-il, que les nouvelles autorités ont montré leur ferme volonté de faire en sorte que les prix des denrées soient à un niveau acceptable. « Et comme l’oignon n’entre pas dans ce cadre, on est obligé de prendre les mesures correctives », renseigne le Directeur de l’Arm.
Il faut toutefois préciser que cette décision n’agrée pas les producteurs locaux d’oignon installés dans la zone de Potou, dans la région de Louga. Ces derniers menacent de barrer la route nationale N°2 si l’Arm ne sursoit pas à cette décision de lever la suspension de l’importation d’oignon.
Source:NETTALI.NET
Et M. Kébé de préciser qu’aujourd’hui, les stocks disponibles sur le marché n’excèdent pas 160 T pour tout le Sénégal. Ce qui, à l’en croire, est catastrophique. « En tant qu’organe de régulation, nous devons faire en sorte que le marché soit mieux approvisionné en produits vendus à des prix justes. Le prix de l’oignon est à 550, 600 F, alors qu’en principe il ne devait pas dépasser 250 F à la consommation », ajoute M. Kébé.
Sans oublier, précise-t-il, que les nouvelles autorités ont montré leur ferme volonté de faire en sorte que les prix des denrées soient à un niveau acceptable. « Et comme l’oignon n’entre pas dans ce cadre, on est obligé de prendre les mesures correctives », renseigne le Directeur de l’Arm.
Il faut toutefois préciser que cette décision n’agrée pas les producteurs locaux d’oignon installés dans la zone de Potou, dans la région de Louga. Ces derniers menacent de barrer la route nationale N°2 si l’Arm ne sursoit pas à cette décision de lever la suspension de l’importation d’oignon.
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