Les Thiantacones ce sont ces jeunes déterminés unis par un seul esprit, la solidarité, dans un espace de civisme. Autour de leur Cheikh, formant un bloc avec leurs Diawrignes (lieutenants), ces jeunes se sont mis à l’esprit qu’ils doivent opter pour une démarche humaniste qui fait prendre conscience que tous les hommes appartiennent à la même communauté d'intérêt, raison pour la quelle il est rare de les voir absents lors des travaux d’intérêt commun.
En leur posant la question à savoir qu’est ce qui les anime à suivre cette voie, ils répondent en souriant « Sant rek » (rendre grâce à Dieu).
De même autour du Cheikh, s’activent 500 Diawrignes (lieutenants), en majorité composés de jeunes intellectuels (médecins, professeurs, directeurs, chefs d’entreprises etc…) leur comportement altruiste agit jusque dans leur espace professionnel. De nature calme, studieuse et entreprenante le Diawrigne est l’initiateur et le formateur dans la voie tracée par le Cheikh qui se proclame serviteur du vénéneux Cheikh Saliou Mbacké sous les recommandations de Borom Touba. Nul ne peut plus douter de la largesse et de la générosité de Cheikh Béthio THIOUNE : les milliers de bœufs offerts lors du dernier Magal de Touba illustre encore son statut d’exemple dans les œuvres sociales. En plus quand des milliers de citoyens se rassemblent hebdomadairement ou même quotidiennement pendant deux décennies, pour distribuer de la nourriture en abondance et vivre de la spiritualité en rendant grâce à leur guide spirituel d’avoir sacralisé leur vie et de les avoir arrachés aux pièges et tentations du monde profane, de Satan et de ses auxiliaires, on ne peut que bénir une telle activité.
D’autres jeunes sont encore dans les méandres de la vie profane et de ses pièges : drogue, sexe et délinquance et ne trouvent personne pour les aider à changer de mode de vie, et à leur parler de la miséricorde divine qui embrasse tout être et toute chose.
Il serait plus honnête d’interroger les populations qui bénéficient des bienfaits du « Thiant », et qui viennent de tous les quartiers défavorisés pour manger à leur faim, au moins une fois par semaine et vivre une joie communicative et revivifiante. Force est de reconnaître que la masse de personne qui le suit dans son cheminement est non seulement bien structurée, mais peut servir d’exemple à bon nombre de jeunes déroutés, car Cheikh Béthio THIOUNE rappelle et rééduque tous ceux qui sont en perdition.
On ne peut pas être Thiantacone et se voir mêlé dans des histoires floues, on ne peut non plus voguer dans les sillages du Cheikh et ne pas être animé d’esprit de réussite, d’entraide et de civisme.
L’esprit Thiantacone au début mal compris est maintenant source de d’apprentissage du civisme car un musulman doit toujours avoir bonne opinion de son prochain, et il est souvent utile de pouvoir apporter un conseil, un soutien moral ou spirituel, ou matériel aux gouvernants comme aux populations, pour le bien-être public. C’est pourquoi, il est souvent difficile de comprendre certaines positions quand on les analyse d’un point de vue purement profane car n’ayant rien compris de ces derniers. Ce qui est surtout nécessaire à comprendre, c’est que Cheikh Béthio est investi dans sa fonction par l’Autorité suprême de la voie spirituelle Serigne Saliou Mbacké, qui par lui montre et démontre des aspects inaccessibles à ceux qui refusent d’admettre cette réalité, ou ne sont pas encore parvenu à l’intégrer.
Œuvrer pour Khadimou Rassoul tout en ayant conscience des privilèges que cela procure, et tout en rendant grâce : en offrant les repas et les services à tous sans distinction, est certainement spécifique à Cheikh Béthio qui a entrainé dans cette dynamique des millions de jeunes sans complexe, ni hésitation devant l’incompréhension ou l’adversité de ceux qui n’acceptent ni les enseignements des Soufis, ni la voie spirituelle, ni les Tariqas et encore moins le Mouridisme. Les thiantacones ont à leur actif de multiples réalisations, depuis la construction de mosquées, de daaras, maisons particulières et des participations substantielles dans tous les événements concernant l’Islam comme la Tabaski ou la Korité, ou concernant le Mouridisme comme le Magal et le Gamou. Leur vie est rythmée par l’œuvre et leur existence terrestre n’est qu’une étape initiatique où ils se réalisent spirituellement grâce à leur guide qui les initie au dévouement, à la générosité et à n’envier personne, car ils sont satisfaits et n’espèrent rien de qui que ce soit. Serigne Saliou a sélectionné pour Cheikh Bethio ceux qui feront partie de sa famille spirituelle et ceux qui l’accompagneront dans sa mission, et tout suit son cours inexorablement. Bonne continuation.
Lamine CAMARA Informaticien
En leur posant la question à savoir qu’est ce qui les anime à suivre cette voie, ils répondent en souriant « Sant rek » (rendre grâce à Dieu).
De même autour du Cheikh, s’activent 500 Diawrignes (lieutenants), en majorité composés de jeunes intellectuels (médecins, professeurs, directeurs, chefs d’entreprises etc…) leur comportement altruiste agit jusque dans leur espace professionnel. De nature calme, studieuse et entreprenante le Diawrigne est l’initiateur et le formateur dans la voie tracée par le Cheikh qui se proclame serviteur du vénéneux Cheikh Saliou Mbacké sous les recommandations de Borom Touba. Nul ne peut plus douter de la largesse et de la générosité de Cheikh Béthio THIOUNE : les milliers de bœufs offerts lors du dernier Magal de Touba illustre encore son statut d’exemple dans les œuvres sociales. En plus quand des milliers de citoyens se rassemblent hebdomadairement ou même quotidiennement pendant deux décennies, pour distribuer de la nourriture en abondance et vivre de la spiritualité en rendant grâce à leur guide spirituel d’avoir sacralisé leur vie et de les avoir arrachés aux pièges et tentations du monde profane, de Satan et de ses auxiliaires, on ne peut que bénir une telle activité.
D’autres jeunes sont encore dans les méandres de la vie profane et de ses pièges : drogue, sexe et délinquance et ne trouvent personne pour les aider à changer de mode de vie, et à leur parler de la miséricorde divine qui embrasse tout être et toute chose.
Il serait plus honnête d’interroger les populations qui bénéficient des bienfaits du « Thiant », et qui viennent de tous les quartiers défavorisés pour manger à leur faim, au moins une fois par semaine et vivre une joie communicative et revivifiante. Force est de reconnaître que la masse de personne qui le suit dans son cheminement est non seulement bien structurée, mais peut servir d’exemple à bon nombre de jeunes déroutés, car Cheikh Béthio THIOUNE rappelle et rééduque tous ceux qui sont en perdition.
On ne peut pas être Thiantacone et se voir mêlé dans des histoires floues, on ne peut non plus voguer dans les sillages du Cheikh et ne pas être animé d’esprit de réussite, d’entraide et de civisme.
L’esprit Thiantacone au début mal compris est maintenant source de d’apprentissage du civisme car un musulman doit toujours avoir bonne opinion de son prochain, et il est souvent utile de pouvoir apporter un conseil, un soutien moral ou spirituel, ou matériel aux gouvernants comme aux populations, pour le bien-être public. C’est pourquoi, il est souvent difficile de comprendre certaines positions quand on les analyse d’un point de vue purement profane car n’ayant rien compris de ces derniers. Ce qui est surtout nécessaire à comprendre, c’est que Cheikh Béthio est investi dans sa fonction par l’Autorité suprême de la voie spirituelle Serigne Saliou Mbacké, qui par lui montre et démontre des aspects inaccessibles à ceux qui refusent d’admettre cette réalité, ou ne sont pas encore parvenu à l’intégrer.
Œuvrer pour Khadimou Rassoul tout en ayant conscience des privilèges que cela procure, et tout en rendant grâce : en offrant les repas et les services à tous sans distinction, est certainement spécifique à Cheikh Béthio qui a entrainé dans cette dynamique des millions de jeunes sans complexe, ni hésitation devant l’incompréhension ou l’adversité de ceux qui n’acceptent ni les enseignements des Soufis, ni la voie spirituelle, ni les Tariqas et encore moins le Mouridisme. Les thiantacones ont à leur actif de multiples réalisations, depuis la construction de mosquées, de daaras, maisons particulières et des participations substantielles dans tous les événements concernant l’Islam comme la Tabaski ou la Korité, ou concernant le Mouridisme comme le Magal et le Gamou. Leur vie est rythmée par l’œuvre et leur existence terrestre n’est qu’une étape initiatique où ils se réalisent spirituellement grâce à leur guide qui les initie au dévouement, à la générosité et à n’envier personne, car ils sont satisfaits et n’espèrent rien de qui que ce soit. Serigne Saliou a sélectionné pour Cheikh Bethio ceux qui feront partie de sa famille spirituelle et ceux qui l’accompagneront dans sa mission, et tout suit son cours inexorablement. Bonne continuation.
Lamine CAMARA Informaticien