"Notre pays ne devrait pas participer à la réunion d'Istanbul car nous voulons maintenir notre rôle de médiation afin de défendre les droits du peuple syrien", a-t-il dit.
"Et pour réussir dans notre rôle, il faut parfois s'abstenir de se rendre à telle ou telle réunion", a-t-il ajouté.
Cette attitude ainsi que le refus très ferme d'armer la rébellion exprimé par M. Maliki lors du sommet arabe de jeudi à Bagdad, tranche avec celle du Qatar, qui occupait jusqu'à présent la présidence tournante de la Ligue arabe.
Cet émirat avait adopté une position extrêmement hostile au régime de Bachar al-Assad et préconisé avec son allié saoudien l'armement de la rébellion.
Ces deux pays, qui n'avaient envoyé que des délégations de bas niveau au sommet de Bagdad, devraient être mieux représentés à la réunion d'Istanbul.
Les chefs de la diplomatie des Etats-Unis, des principales puissances européennes et de la plupart des pays de la Ligue arabe participeront à cette deuxième conférence des "Amis de la Syrie", où l'opposition syrienne sera représentée par sa principale coalition, le Conseil national syrien (CNS).
En revanche, la Russie et la Chine, principaux soutiens du régime syrien, qui ont bloqué à deux reprises une résolution au Conseil de sécurité de l'ONU condamnant la répression, ont refusé l'invitation.
SOURCE:7sur7.be
"Et pour réussir dans notre rôle, il faut parfois s'abstenir de se rendre à telle ou telle réunion", a-t-il ajouté.
Cette attitude ainsi que le refus très ferme d'armer la rébellion exprimé par M. Maliki lors du sommet arabe de jeudi à Bagdad, tranche avec celle du Qatar, qui occupait jusqu'à présent la présidence tournante de la Ligue arabe.
Cet émirat avait adopté une position extrêmement hostile au régime de Bachar al-Assad et préconisé avec son allié saoudien l'armement de la rébellion.
Ces deux pays, qui n'avaient envoyé que des délégations de bas niveau au sommet de Bagdad, devraient être mieux représentés à la réunion d'Istanbul.
Les chefs de la diplomatie des Etats-Unis, des principales puissances européennes et de la plupart des pays de la Ligue arabe participeront à cette deuxième conférence des "Amis de la Syrie", où l'opposition syrienne sera représentée par sa principale coalition, le Conseil national syrien (CNS).
En revanche, la Russie et la Chine, principaux soutiens du régime syrien, qui ont bloqué à deux reprises une résolution au Conseil de sécurité de l'ONU condamnant la répression, ont refusé l'invitation.
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