Dans son communiqué, cette organisation islamique est revenue sur les raisons qui ont motivé la décision rendue par la Cour d’appel de Dakar. A savoir des vices de procédures liées à l’absence de flagrance et à l’illégalité de l’heure à laquelle, les neuf homosexuels ont été arrêtés. Pour Jamra, certes la loi a été appliquée, mais elle estime que « cette vice de procédures ayant profité aux prévenus, « n’entamera pas d’un iota la détermination des hommes et des femmes de bonne volonté ayant à cœur la défense de l’équilibre moral et de la santé mentale de la frange la plus fragile de notre société, à savoir la jeunesse ».
« Un vice de forme ne changera en rien aux inébranlables convictions des hommes de foi dans les textes sacrés des religions monothéistes, toutes unanimes à bannir sans équivoque, cette pratique contre-nature », lit-on dans le document.
L’organisation islamique a par ailleurs déploré le « bâclage du dossier ». Avant d’indiquer que « cette affaire constituait une occasion rêvée de faire comprendre aux activistes de la Métropole que le Sénégal n’est pas prêt de se laisser mener au pas, dans le fonctionnement de sa justice souveraine ». Et Jamra de poursuivre sur la même lancée : « c’est bien malheureux que le dénouement obscur de cette non moins sombre affaire puisse donner l’impression que c’est « l’inadmissible ingérence de la France qui aura fait ses effets, particulièrement le trafic d’influence d’un célèbre maire français homosexuel ».
Cependant même si l’organisation dirigée par Imam Massamba Diop considère que notre pays a cédé à la pression, elle pense que les juges ont été intraitables et patriotes avant d’être « piégés ». « Nos vaillants juges n’ont pas disculpé les homos partouzards de Mbao, ils se sont retrouvés les mains liées, du fait de la ténuité des procès-verbaux versés au dossier » soutient Jamra dans son communiqué.
Pour terminer, l’organisation islamique invite tous les Imams, les Oulémas et Prédicateurs du Sénégal à consacrer leurs sermons de vendredi prochain à cette « scandaleuse libération des homos partouzards de Mbao ». Elle exige aussi « une plus grande rigueur de l’Etat dans la protection morale de notre Jeunesse et contre les agressions multiformes dont l’Islam est depuis quelques temps l’objet dans notre pays, fort de ses 95% d’adeptes ».
nettali
« Un vice de forme ne changera en rien aux inébranlables convictions des hommes de foi dans les textes sacrés des religions monothéistes, toutes unanimes à bannir sans équivoque, cette pratique contre-nature », lit-on dans le document.
L’organisation islamique a par ailleurs déploré le « bâclage du dossier ». Avant d’indiquer que « cette affaire constituait une occasion rêvée de faire comprendre aux activistes de la Métropole que le Sénégal n’est pas prêt de se laisser mener au pas, dans le fonctionnement de sa justice souveraine ». Et Jamra de poursuivre sur la même lancée : « c’est bien malheureux que le dénouement obscur de cette non moins sombre affaire puisse donner l’impression que c’est « l’inadmissible ingérence de la France qui aura fait ses effets, particulièrement le trafic d’influence d’un célèbre maire français homosexuel ».
Cependant même si l’organisation dirigée par Imam Massamba Diop considère que notre pays a cédé à la pression, elle pense que les juges ont été intraitables et patriotes avant d’être « piégés ». « Nos vaillants juges n’ont pas disculpé les homos partouzards de Mbao, ils se sont retrouvés les mains liées, du fait de la ténuité des procès-verbaux versés au dossier » soutient Jamra dans son communiqué.
Pour terminer, l’organisation islamique invite tous les Imams, les Oulémas et Prédicateurs du Sénégal à consacrer leurs sermons de vendredi prochain à cette « scandaleuse libération des homos partouzards de Mbao ». Elle exige aussi « une plus grande rigueur de l’Etat dans la protection morale de notre Jeunesse et contre les agressions multiformes dont l’Islam est depuis quelques temps l’objet dans notre pays, fort de ses 95% d’adeptes ».
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