La poussière n'est jamais la bienvenue dans un environnement. Non seulement elle le rend impropre, mais en plus, elle peut être vecteur d’allergènes. Voilà de manière imagée, à quoi ressemble l’agitation qui secoue la scène politique nationale. Et vous allez comprendre le pourquoi.
C’est un secret de polichinelle que le Président de la République, Monsieur Macky Sall, est la cible des pires fantasmes d’une certaine opposition incarnée par Abdoulaye Wade et Idrissa Seck. Cela est d’autant plus vrai que dans leurs diatribes, ils l’affublent volontiers et à tort, de tous les pêchés du monde : Népotisme, clanisme, corruption de journalistes pour ne citer que ces exemples.
Cette rhétorique inexpiable utilisée par ses deux pourfendeurs comme moyen de déstabilisation de sa gouvernance, doit être analysée comme une manière de faire en sorte qu’il soit mal vu, mal apprécié des Sénégalais.
Cependant, reconnaissons ici une limite, elle montre une peur indicible qui les presse de le voir réussir à la station présidentielle. Et cela n’est pas faux et se justifie par ses importantes réalisations qui militent pour.
Souvenez- vous que lorsque le Président Macky Sall accédait à la Présidence de la République, c’est un pays exsangue et sans espoir en l’avenir qui lui échut entre les mains. Et en un peu plus de deux années de gestion du pouvoir, le Sénégal s’est remis dans le sens de la marche.
Et n’en déplaise à ses détracteurs, en mal d’arguments car obnubilés par la perte du pouvoir et surtout aussi n’ayant pu être élu 4e Président du Sénégal. Suivez mon regard.
Au plan social, les actions du Président Sall et de son gouvernement ont fortement allégé la souffrance du Peuple, lequel avait foncièrement souffert le martyr de la vie chère pendant douze ans de régime libéral.
L’Action de baisser l’impôt sur les revenus, le coût du loyer et tout dernièrement le prix du pain, sans compter les autres mesures intermédiaires, qui pour bloquer le prix de certaines denrées stratégiques, qui pour augmenter la subvention étatique, fait qu’aujourd’hui les sénégalais vivent bien et mieux.
S’agissant du volet Emploi, 10 000 jeunes volontaires ont rejoint l’Agence Nationale de Sécurité de proximité. Aussi, il y a le recrutement au niveau de la fonction publique, exemple des 9608 nouveaux agents de l’Etat, dont 4017 enseignants. Le secteur Privé, bénéficiant des facilités de l’Etat, joue également sa participation.
Au plan politique, l’entrée en vigueur prochaine de l’acte III de la décentralisation, va constituer une véritable révolution de la gouvernance locale. L’enjeu, une administration locale de proximité, avec comme finalité d’organiser le pays en territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable.
Concernant la crise casamançaise, des mesures pour réinsérer tous les rebelles qui acceptent de déposer les armes restent en application. Plus intéressant, Il y a le projet Pôle de développement de la Casamance, d’un montant de 20 milliards de FCFA pour assurer l’envol économique de cette partie sud du pays longtemps minée par la guerre. L’espoir d’un retour de la paix est plus qu’imminent.
Le monde rural n’est pas oublié, l’action de relever le prix du kilogramme d’arachides de 190 à 200 francs montre l’importance que le Président de la République accorde à cette frange vulnérable de notre société.
La gratuité des soins pour les enfants de zéro à cinq ans dans le cadre de la couverture maladie universelle et celle de la césarienne dans les structures de santé publique sont aussi d’autres actions qui concourent au bien-être des populations.
Au niveau économique, le Plan Sénégal Emergent, qui est une version accélérée de la Stratégie Nationale de Développement Economique et Social est venu à son heure. Il induira en a pas douter les changements économiques et sociaux massifs et durables. D’ailleurs, il est entré dans sa phase active avec la pose, par le Président de la République, de la première pierre du pôle urbain de Diamniadio.
A terme, le Plan Sénégal Emergent portera le taux de croissance qui est d’un peu plus de 4% actuellement à 7% au moins et surtout……..dans la durée.
Parallèlement, le Président poursuit son action dans les efforts de gouvernance et de rationalisation des dépenses publiques. Pour ainsi montrer que le temps de l’action ne se conjugue pas avec la gabegie.
Aussi, de traquer les biens mal acquis, qui, loin d’être une chasse aux sorcières, voire une répression contre les personnes présumées coupables, est un levier de bonne gouvernance.
N’est ce pas là, la preuve que le Président Macky Sall est en phase avec les aspirations des sénégalais ? Alors, parler de rupture avec le peuple, relève simplement d’une vue de l’esprit de son auteur. Au contraire, il faut dire avec force que la popularité du Président Macky Sall est réelle et spontanée.
In finé, l’Action, c’est donc la réponse intelligente et efficace que le Président de la République apporte aux agitations dénudées de sens de ses adversaires politiques, qui, à la manière de la poussière, fine particule solide dispersée ou en suspension dans l'air, vont s’envoler.
badaraniangjunior@gmail.com
C’est un secret de polichinelle que le Président de la République, Monsieur Macky Sall, est la cible des pires fantasmes d’une certaine opposition incarnée par Abdoulaye Wade et Idrissa Seck. Cela est d’autant plus vrai que dans leurs diatribes, ils l’affublent volontiers et à tort, de tous les pêchés du monde : Népotisme, clanisme, corruption de journalistes pour ne citer que ces exemples.
Cette rhétorique inexpiable utilisée par ses deux pourfendeurs comme moyen de déstabilisation de sa gouvernance, doit être analysée comme une manière de faire en sorte qu’il soit mal vu, mal apprécié des Sénégalais.
Cependant, reconnaissons ici une limite, elle montre une peur indicible qui les presse de le voir réussir à la station présidentielle. Et cela n’est pas faux et se justifie par ses importantes réalisations qui militent pour.
Souvenez- vous que lorsque le Président Macky Sall accédait à la Présidence de la République, c’est un pays exsangue et sans espoir en l’avenir qui lui échut entre les mains. Et en un peu plus de deux années de gestion du pouvoir, le Sénégal s’est remis dans le sens de la marche.
Et n’en déplaise à ses détracteurs, en mal d’arguments car obnubilés par la perte du pouvoir et surtout aussi n’ayant pu être élu 4e Président du Sénégal. Suivez mon regard.
Au plan social, les actions du Président Sall et de son gouvernement ont fortement allégé la souffrance du Peuple, lequel avait foncièrement souffert le martyr de la vie chère pendant douze ans de régime libéral.
L’Action de baisser l’impôt sur les revenus, le coût du loyer et tout dernièrement le prix du pain, sans compter les autres mesures intermédiaires, qui pour bloquer le prix de certaines denrées stratégiques, qui pour augmenter la subvention étatique, fait qu’aujourd’hui les sénégalais vivent bien et mieux.
S’agissant du volet Emploi, 10 000 jeunes volontaires ont rejoint l’Agence Nationale de Sécurité de proximité. Aussi, il y a le recrutement au niveau de la fonction publique, exemple des 9608 nouveaux agents de l’Etat, dont 4017 enseignants. Le secteur Privé, bénéficiant des facilités de l’Etat, joue également sa participation.
Au plan politique, l’entrée en vigueur prochaine de l’acte III de la décentralisation, va constituer une véritable révolution de la gouvernance locale. L’enjeu, une administration locale de proximité, avec comme finalité d’organiser le pays en territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable.
Concernant la crise casamançaise, des mesures pour réinsérer tous les rebelles qui acceptent de déposer les armes restent en application. Plus intéressant, Il y a le projet Pôle de développement de la Casamance, d’un montant de 20 milliards de FCFA pour assurer l’envol économique de cette partie sud du pays longtemps minée par la guerre. L’espoir d’un retour de la paix est plus qu’imminent.
Le monde rural n’est pas oublié, l’action de relever le prix du kilogramme d’arachides de 190 à 200 francs montre l’importance que le Président de la République accorde à cette frange vulnérable de notre société.
La gratuité des soins pour les enfants de zéro à cinq ans dans le cadre de la couverture maladie universelle et celle de la césarienne dans les structures de santé publique sont aussi d’autres actions qui concourent au bien-être des populations.
Au niveau économique, le Plan Sénégal Emergent, qui est une version accélérée de la Stratégie Nationale de Développement Economique et Social est venu à son heure. Il induira en a pas douter les changements économiques et sociaux massifs et durables. D’ailleurs, il est entré dans sa phase active avec la pose, par le Président de la République, de la première pierre du pôle urbain de Diamniadio.
A terme, le Plan Sénégal Emergent portera le taux de croissance qui est d’un peu plus de 4% actuellement à 7% au moins et surtout……..dans la durée.
Parallèlement, le Président poursuit son action dans les efforts de gouvernance et de rationalisation des dépenses publiques. Pour ainsi montrer que le temps de l’action ne se conjugue pas avec la gabegie.
Aussi, de traquer les biens mal acquis, qui, loin d’être une chasse aux sorcières, voire une répression contre les personnes présumées coupables, est un levier de bonne gouvernance.
N’est ce pas là, la preuve que le Président Macky Sall est en phase avec les aspirations des sénégalais ? Alors, parler de rupture avec le peuple, relève simplement d’une vue de l’esprit de son auteur. Au contraire, il faut dire avec force que la popularité du Président Macky Sall est réelle et spontanée.
In finé, l’Action, c’est donc la réponse intelligente et efficace que le Président de la République apporte aux agitations dénudées de sens de ses adversaires politiques, qui, à la manière de la poussière, fine particule solide dispersée ou en suspension dans l'air, vont s’envoler.
badaraniangjunior@gmail.com