Le félon Moustapha Cissé Lô veut-il donc emprunter le chemin de la dissidence ? Toujours est il qu’il creusera lui-même sa propre tombe pour y être remarquablement enterré ? "Macky a fait une grave erreur en limogeant Moustapha Cissé Lô", fulmine l’éminent grammairien, le Pr Omar Sankharé. Non, nous ne partageons nullement cet avis, même s’il sort de la bouche d’un notable de la place. La logique politique diffère de la rhétorique littéraire. La maîtrise d’une langue est une chose, mais la politique c’en est une autre. Qu’on se le tienne pour dit ! Les deux choses s’opposent. Mais cela ne signifie pas qu’elles sont antinomiques. Le chantage politique ne peut régenter la démocratie dans une république normale. A un moment ou à autre, il y aura forcément un clash, une césure nette. Quand le vase est plein, il déborde. Nous nous mettons en porte à faux avec une telle éloquence, qui n’est qu’une vue de l’esprit. La fonction du président de la république n’autorise point qu’on peut lui manquer de respect publiquement, surtout quand il s’agit de son propre camp.
Décidément, on peut s’interroger légitiment sur l’enjeu du perchoir pour susciter autant de passions, de batailles à mort et à couteaux tirés ici et ailleurs. Le poste fait tourner la tête et attise toutes les convoitises sur fond de haine exacerbée de l’autre côté du jaloux député de Touba ou de Mbacké, en particulier, et avec comme arrière plan, la notoriété, les sinécures de la république que confère une telle charge.
Comme à la rochelle, le même dénominateur commun commande toutes les pulsions névrotiques et les rapines politiques, sauf qu’ici, il n’y a pas de tweet, ni une affaire de coeur, bien que les deux protagonistes n’appartiennent pas à la même moule, se retrouvent ensemble dans la même entité, Bennoo Bokk yakaar pour les législatives de 2012. En politique, tout se tient, les législatives ont la peau dure.
Qui sont ces encagoulés, impénitents, tapis dans l’ombre sous l’acronyme « apr », vilipendent lâchement sous couvert de l’anonymat, les collaborateurs immédiats du président de la République ?
Nous nous interrogeons sur ces snippers, qui semblent être manipulés par l’entregent de celui qui vient d’être éjecté hors du palais pour son comportement indocile sur la question pressante. Vengeances, revanches, coups bas, tout est bon pour s’offrir vulgairement en spectacle.
A l’instar de l’hexagone, il est impératif de mettre sur pied une commission pour la
moralisation de la vie politique, en particulier, ceux qui ne cherchent que leurs propres intérêts et qui trompent leurs propres écuries.
Ceux qui en doutaient, sont maintenant bien servis par la campagne de dénigrements médiatiques, systématiques avec une rivière d’incantations par des flots stériles, affabulations de toutes sortes à tout vent, sans vergogne, sous l’impulsion, sûrement, d’un mauvais perdant, Moustapha Cissé Lô, l’homme du chantage permanent, passé maître en la matière.
Après le rappel à l’ordre du président Macky Sall, sidéré des sorties au vitriol d’un « apériste » du bout des lèvres, commencent, alors, les charrettes intempestives, tonitruantes.
Diabolisations, désinformations, manipulations, intoxications, diverses, voilà ce à quoi excelle le loufoque de la république, converti en affabulateur notoirement public, fait feu de tout bois, au lendemain d’une défenestration fracassante, suite aux propos inacceptables d’un chantage permanent, insoutenable à son mentor, en particulier, ses attaques virulentes à répétitions, déloyales, aux relents gratuitement insultants et choquants contre son prétendu concurrent, en l’occurrence, Moustapha Niasse, qui n’est ni de près ni de loin son alter égo de quelque nature que ce soit, car l’homme de la force tranquille, est un chef d’état à la stature nationale et internationale, aux expériences et aux compétences bien distinguées, qui contrastent parfaitement avec celles d’un énergumène de son rang, concernant la bataille au perchoir sur fond de concurrence particulièrement déloyale par un culot de frénésie.
Dire que l’apr est majoritaire à l’Assemblée Nationale relève de contre vérités fumantes de la part de leurs auteurs, mais cela participe à une insulte flagrante contre la conscience des Sénégalais et des autres partis politiques au sein de Bennoo Bokk yakaar. Nous disons solennellement que les auteurs de tels propos infects sont indignes et comptables de leurs discours par leur étroitesse d’esprit. Sur 150 députés que compte l’Assemblée Nationale, l’APR n’en dispose que de 65.
L’immoralité dégoulinante de telles paroles pestilentielles est en parfaite harmonie avec ses apprentis sorciers gonflés.
Macky Sall doit nécessairement faire le ménage de son écurie et continuer d’extirper la vermine qui gangrène son parti, au risque d’une implosion totale, qui créera les conditions obligatoires de sa sortie programmée à l’horizon 2017. Nous l’y encourageons vivement, sans modération aucune, ni détours, car il n’est pas acceptable qu’un groupuscule notoirement opportuniste s’arroge impunément des inepties aussi purulentes, alors que la république n’en a pas besoin pour avoir l’expérience avec l’ancien régime.
Tenez-vous bien, car d’une part, le corporatisme aux connotations éloquemment sectaires, tire ouvertement à boulets rouges et sans discernement aucun, sur le premier ministre, Abdoul Mbaye, accusé non seulement de n’avoir pas pris sa carte à l’apr, bénéfice des largesses que lui confère son intronisation forcée, nous-dit-on, en plaçant à la pelle ses plus proches amis, mais aussi son staff, ministres et conseillers, entre autres, tous cités nommément pour leur grade, sont copieusement arrosés, considérés comme étant des militants de la vingt cinquième
heure. Ce qui est plus grave et cocasse, c’est que les mêmes incriminés brocardés comme il se doit, passent pour être et les éternelles oreilles et les chaussures du président et de sa femme.
D’autre part, comme si cela ne suffisait pas, pour enfoncer le clou, selon les auteurs des diatribes incongrues, qui n’y vont pas avec le dos de la cuillère, le président de la République pris en otage, est entouré des membres de Bennoo Siggile Sénégaal de Moustapha Niasse, au premier rang desquels l’ex candidat de l’unité et du rassemblement, en l’occurrence, Moustapha Niasse, Abdou Latif Coulibaly, Amath Dansokho, Abdoulaye Bathily confisquent le pouvoir, au détriment du président élu et des membres de l’apr. Voilà en substance l’argumentaire de la pieuvre dangereuse.
Question. Mais le président Macky Sall connaît-il vraiment le visage réel de ces pestiférés qui lui portent faussement une allégeance de façade pour ne servir que des intérêts exclusivement personnels ? Aussi vite que le président se débarrassera de ces parasites affamés, mieux sera pour lui et la république. Autant perdre des énergumènes de la charogne, qui te sourient et te plantent des coups de poignard par presse interposée, plutôt que de perdre son âme. C’est notre intime conviction.
Le combat continue !
Ahmadou Diop
http://www.diop-ahmadou.com
Décidément, on peut s’interroger légitiment sur l’enjeu du perchoir pour susciter autant de passions, de batailles à mort et à couteaux tirés ici et ailleurs. Le poste fait tourner la tête et attise toutes les convoitises sur fond de haine exacerbée de l’autre côté du jaloux député de Touba ou de Mbacké, en particulier, et avec comme arrière plan, la notoriété, les sinécures de la république que confère une telle charge.
Comme à la rochelle, le même dénominateur commun commande toutes les pulsions névrotiques et les rapines politiques, sauf qu’ici, il n’y a pas de tweet, ni une affaire de coeur, bien que les deux protagonistes n’appartiennent pas à la même moule, se retrouvent ensemble dans la même entité, Bennoo Bokk yakaar pour les législatives de 2012. En politique, tout se tient, les législatives ont la peau dure.
Qui sont ces encagoulés, impénitents, tapis dans l’ombre sous l’acronyme « apr », vilipendent lâchement sous couvert de l’anonymat, les collaborateurs immédiats du président de la République ?
Nous nous interrogeons sur ces snippers, qui semblent être manipulés par l’entregent de celui qui vient d’être éjecté hors du palais pour son comportement indocile sur la question pressante. Vengeances, revanches, coups bas, tout est bon pour s’offrir vulgairement en spectacle.
A l’instar de l’hexagone, il est impératif de mettre sur pied une commission pour la
moralisation de la vie politique, en particulier, ceux qui ne cherchent que leurs propres intérêts et qui trompent leurs propres écuries.
Ceux qui en doutaient, sont maintenant bien servis par la campagne de dénigrements médiatiques, systématiques avec une rivière d’incantations par des flots stériles, affabulations de toutes sortes à tout vent, sans vergogne, sous l’impulsion, sûrement, d’un mauvais perdant, Moustapha Cissé Lô, l’homme du chantage permanent, passé maître en la matière.
Après le rappel à l’ordre du président Macky Sall, sidéré des sorties au vitriol d’un « apériste » du bout des lèvres, commencent, alors, les charrettes intempestives, tonitruantes.
Diabolisations, désinformations, manipulations, intoxications, diverses, voilà ce à quoi excelle le loufoque de la république, converti en affabulateur notoirement public, fait feu de tout bois, au lendemain d’une défenestration fracassante, suite aux propos inacceptables d’un chantage permanent, insoutenable à son mentor, en particulier, ses attaques virulentes à répétitions, déloyales, aux relents gratuitement insultants et choquants contre son prétendu concurrent, en l’occurrence, Moustapha Niasse, qui n’est ni de près ni de loin son alter égo de quelque nature que ce soit, car l’homme de la force tranquille, est un chef d’état à la stature nationale et internationale, aux expériences et aux compétences bien distinguées, qui contrastent parfaitement avec celles d’un énergumène de son rang, concernant la bataille au perchoir sur fond de concurrence particulièrement déloyale par un culot de frénésie.
Dire que l’apr est majoritaire à l’Assemblée Nationale relève de contre vérités fumantes de la part de leurs auteurs, mais cela participe à une insulte flagrante contre la conscience des Sénégalais et des autres partis politiques au sein de Bennoo Bokk yakaar. Nous disons solennellement que les auteurs de tels propos infects sont indignes et comptables de leurs discours par leur étroitesse d’esprit. Sur 150 députés que compte l’Assemblée Nationale, l’APR n’en dispose que de 65.
L’immoralité dégoulinante de telles paroles pestilentielles est en parfaite harmonie avec ses apprentis sorciers gonflés.
Macky Sall doit nécessairement faire le ménage de son écurie et continuer d’extirper la vermine qui gangrène son parti, au risque d’une implosion totale, qui créera les conditions obligatoires de sa sortie programmée à l’horizon 2017. Nous l’y encourageons vivement, sans modération aucune, ni détours, car il n’est pas acceptable qu’un groupuscule notoirement opportuniste s’arroge impunément des inepties aussi purulentes, alors que la république n’en a pas besoin pour avoir l’expérience avec l’ancien régime.
Tenez-vous bien, car d’une part, le corporatisme aux connotations éloquemment sectaires, tire ouvertement à boulets rouges et sans discernement aucun, sur le premier ministre, Abdoul Mbaye, accusé non seulement de n’avoir pas pris sa carte à l’apr, bénéfice des largesses que lui confère son intronisation forcée, nous-dit-on, en plaçant à la pelle ses plus proches amis, mais aussi son staff, ministres et conseillers, entre autres, tous cités nommément pour leur grade, sont copieusement arrosés, considérés comme étant des militants de la vingt cinquième
heure. Ce qui est plus grave et cocasse, c’est que les mêmes incriminés brocardés comme il se doit, passent pour être et les éternelles oreilles et les chaussures du président et de sa femme.
D’autre part, comme si cela ne suffisait pas, pour enfoncer le clou, selon les auteurs des diatribes incongrues, qui n’y vont pas avec le dos de la cuillère, le président de la République pris en otage, est entouré des membres de Bennoo Siggile Sénégaal de Moustapha Niasse, au premier rang desquels l’ex candidat de l’unité et du rassemblement, en l’occurrence, Moustapha Niasse, Abdou Latif Coulibaly, Amath Dansokho, Abdoulaye Bathily confisquent le pouvoir, au détriment du président élu et des membres de l’apr. Voilà en substance l’argumentaire de la pieuvre dangereuse.
Question. Mais le président Macky Sall connaît-il vraiment le visage réel de ces pestiférés qui lui portent faussement une allégeance de façade pour ne servir que des intérêts exclusivement personnels ? Aussi vite que le président se débarrassera de ces parasites affamés, mieux sera pour lui et la république. Autant perdre des énergumènes de la charogne, qui te sourient et te plantent des coups de poignard par presse interposée, plutôt que de perdre son âme. C’est notre intime conviction.
Le combat continue !
Ahmadou Diop
http://www.diop-ahmadou.com