Portant un plaidoyer pour la jeunesse, il a reconnu que ceux qui voulaient offrir un Sénégal meilleur et porteur d’espoir aux jeunes sont passés à côté, en atteste la crise de la migration clandestine avec son lot d’illusions et de morts. Dans une politique de deux poids deux mesures, il a aussi reconnu que dans ce pays il y a « un sénégalais à part entière et un Sénégalais entièrement à part. Nous sommes passés à côté »
Dans sa sincérité, loin d’être une langue de bois,Alioune Badara Cissé a délivré un message empreint de sagesse soulignant la nécessité de « Parler aux autorités pour leur dire la vérité. Jeunesse de mon pays n’écoutez ni les uns, ni les autres ! Nous avons le devoir de marquer une pause, de les écouter, au lieu de les terroriser. , a-t-il martelé
Déplorant diplomatiquement la sortie du ministre de l’intérieur Félix Antoine Diome, sur la présence de présumés terroristes au Sénégal, il souligne que ce n’est pas un phénomène nouveau. A Sabadola, en tournée de visu, le Médiateur de la République révèle avoir a vécu des choses qu’on aurait cru au Mali. Pire au Ferlo, il a constaté des hordes de gamins qui errent comme des djihadistes en chantiers.
Saluant la mémoire de ceux qui sont partis sous cette violence aveugle, dont une image lui rappelle la disparition tragique de son fils aux Etats-Unis, Me Alioune Badara Cissé se demande « combien devront encore partir pour qu’on sache qu’on est sur le mauvais chemin ? »
Autant de raison pour qu’il adresse un message au chef de l’Etat. «J’ai frémis à hier la place Val dôme à Paris. La jeunesse est orpheline de votre présence. C’est votre parole que le peuple veut entendre. Redressez la barre. Faites le avant qu’il ne soit trop tard ! » A-t-il entre autres lancé.
Aux populations infiltrées, le Médiateur recommande d’identifier les personnes qui ne sont pas de leur quartier pour prévenir des forfaitures.
Rendant un hommage aux guides religieux, musulmans ou chrétiens, il prône : « Accordons leur le respect qu’on leur doit »
Il a aussi lancé un clin d’œil aux investisseurs et pays étrangers « le Sénégal un pays de charme et porteur d’opportunités, revenez ! »
Enfin un hommage a aussi été décerné à ses collaborateurs en cette période de fin de mandat, pour le Médiateur.
Dans sa sincérité, loin d’être une langue de bois,Alioune Badara Cissé a délivré un message empreint de sagesse soulignant la nécessité de « Parler aux autorités pour leur dire la vérité. Jeunesse de mon pays n’écoutez ni les uns, ni les autres ! Nous avons le devoir de marquer une pause, de les écouter, au lieu de les terroriser. , a-t-il martelé
Déplorant diplomatiquement la sortie du ministre de l’intérieur Félix Antoine Diome, sur la présence de présumés terroristes au Sénégal, il souligne que ce n’est pas un phénomène nouveau. A Sabadola, en tournée de visu, le Médiateur de la République révèle avoir a vécu des choses qu’on aurait cru au Mali. Pire au Ferlo, il a constaté des hordes de gamins qui errent comme des djihadistes en chantiers.
Saluant la mémoire de ceux qui sont partis sous cette violence aveugle, dont une image lui rappelle la disparition tragique de son fils aux Etats-Unis, Me Alioune Badara Cissé se demande « combien devront encore partir pour qu’on sache qu’on est sur le mauvais chemin ? »
Autant de raison pour qu’il adresse un message au chef de l’Etat. «J’ai frémis à hier la place Val dôme à Paris. La jeunesse est orpheline de votre présence. C’est votre parole que le peuple veut entendre. Redressez la barre. Faites le avant qu’il ne soit trop tard ! » A-t-il entre autres lancé.
Aux populations infiltrées, le Médiateur recommande d’identifier les personnes qui ne sont pas de leur quartier pour prévenir des forfaitures.
Rendant un hommage aux guides religieux, musulmans ou chrétiens, il prône : « Accordons leur le respect qu’on leur doit »
Il a aussi lancé un clin d’œil aux investisseurs et pays étrangers « le Sénégal un pays de charme et porteur d’opportunités, revenez ! »
Enfin un hommage a aussi été décerné à ses collaborateurs en cette période de fin de mandat, pour le Médiateur.
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