En effet à examiner de plus prés les actes posés tout au long de sa carrière politique, depuis sa première stratégie de démarcation du PS ou (BDS) consacrée par la création du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) comme Parti (d’opposition masquée) de contribution jusqu’à la dernière, impopulaire et infructueuse, de briguer un troisième mandat, en passant par ses tentatives maintes fois et sous plusieurs formes répétées de changer les symboles de notre nation de même que certains fondamentaux de notre jeune République, on se rend aisément compte que le culte de sa personne, autour de laquelle et par laquelle tout doit se penser et se faire, se construire et se déconstruire, est le principe structurant de la personnalité politique du vieux Pape d’un SOPI dont il le seul capable et habilité à envisager les perspectives et les formes.
Tous les errements, toutes les contradictions ainsi que tous les échecs enregistrés tout au long de sa carrière politique et surtout durant toute sa présidence trouvent leur fondement véritable dans l’égocentrisme du Président Abdoulaye WADE, égocentrisme dont sa sortie monumentale contre le Président Pape DIOP n’est qu’une manifestation.
Même out, le Président Abdoulaye WADE comprend devoir décider du sort de ses camarades et compagnons politiques.
Non content de faire perdre le pouvoir au PDS par sa candidature, somme toute, impossible car finalement rejetée par l’écrasante majorité des Sénégalais au premier comme au second tour de la Présidentielle passée, Me WADE entreprend résolument de maintenir sa mainmise sur les destinées de ce Parti pourtant fort d’un capital humain, idéologique et politique qui déborde largement sa seule intelligence et sa seule Weltanschauung.
C’est bien dans son refus catégorique toujours exprimé de comprendre et d’accepter ses imites, après tout humaines et normales, mais aussi dans sa propension négatrice de tout ce que n’épousent pas sa vision et sa volonté très souvent patrimonialistes qu’il faut comprendre l’acharnement de Me Abdoulaye WADE dirigé contre la personne du Président Pape DIOP dont la réussite sociale et économique qu’on tente de ternir précède de loin dans le temps l’accession tardive au pouvoir du PDS et constitue même un élément déterminant de l’existence et de la survie de ce parti.
C’est bien ce capital incontestable que le Président Pape DIOP et compagnie se croient en devoir de faire survivre à la carrière politique de Abdoulaye WADE et de faire profiter au Sénégal et au continent africain.
La naissance de Benno Bokk Guis Guis s’inscrit dans cette volonté qui a rencontré l’adhésion des camarades les plus avertis et les plus sûrs ainsi que le soutien de tous les Sénégalais ayant déjà compris le sens de notre combat et les raisons de la création de notre courant.
Ces histoires de patronyme sont trop légères pour susciter le doute sur la moralité de quelqu’un au Sénégal où la problématique de l’état civil explique presque tous ces problèmes de patronymie.
Les sorties de Me WADE ne nous ébranlent point et, à la conquête du PDS et du pouvoir nous irons jusqu’au bout, des chances et atouts considérables étant de notre côté, qui se fondent sur l’intelligence politique et l’engagement de plus en plus manifeste des Sénégalais dans l’appréciation objective des hommes et de l’action publique et politique.
El hadji malick DIOP
Deputé-Maire de Tivaouane
Benno Bokk Guis Guis
Tous les errements, toutes les contradictions ainsi que tous les échecs enregistrés tout au long de sa carrière politique et surtout durant toute sa présidence trouvent leur fondement véritable dans l’égocentrisme du Président Abdoulaye WADE, égocentrisme dont sa sortie monumentale contre le Président Pape DIOP n’est qu’une manifestation.
Même out, le Président Abdoulaye WADE comprend devoir décider du sort de ses camarades et compagnons politiques.
Non content de faire perdre le pouvoir au PDS par sa candidature, somme toute, impossible car finalement rejetée par l’écrasante majorité des Sénégalais au premier comme au second tour de la Présidentielle passée, Me WADE entreprend résolument de maintenir sa mainmise sur les destinées de ce Parti pourtant fort d’un capital humain, idéologique et politique qui déborde largement sa seule intelligence et sa seule Weltanschauung.
C’est bien dans son refus catégorique toujours exprimé de comprendre et d’accepter ses imites, après tout humaines et normales, mais aussi dans sa propension négatrice de tout ce que n’épousent pas sa vision et sa volonté très souvent patrimonialistes qu’il faut comprendre l’acharnement de Me Abdoulaye WADE dirigé contre la personne du Président Pape DIOP dont la réussite sociale et économique qu’on tente de ternir précède de loin dans le temps l’accession tardive au pouvoir du PDS et constitue même un élément déterminant de l’existence et de la survie de ce parti.
C’est bien ce capital incontestable que le Président Pape DIOP et compagnie se croient en devoir de faire survivre à la carrière politique de Abdoulaye WADE et de faire profiter au Sénégal et au continent africain.
La naissance de Benno Bokk Guis Guis s’inscrit dans cette volonté qui a rencontré l’adhésion des camarades les plus avertis et les plus sûrs ainsi que le soutien de tous les Sénégalais ayant déjà compris le sens de notre combat et les raisons de la création de notre courant.
Ces histoires de patronyme sont trop légères pour susciter le doute sur la moralité de quelqu’un au Sénégal où la problématique de l’état civil explique presque tous ces problèmes de patronymie.
Les sorties de Me WADE ne nous ébranlent point et, à la conquête du PDS et du pouvoir nous irons jusqu’au bout, des chances et atouts considérables étant de notre côté, qui se fondent sur l’intelligence politique et l’engagement de plus en plus manifeste des Sénégalais dans l’appréciation objective des hommes et de l’action publique et politique.
El hadji malick DIOP
Deputé-Maire de Tivaouane
Benno Bokk Guis Guis