En effet, les bateaux pêchent près de 300 000 tonnes de poissons et que la contrepartie financière serait de 17 FCFA par kilogramme soit près de 5milliards FCFA. Le prix du poisson tout venant peut être estimé au minimum à 400 FCFA par conséquent, ils estiment que le manque à gagner au kilogramme est 383 FCFA. Si on applique au tonnage, on aura un manque à gagner total de 115 milliards de FCFA précisent ces acteurs de la pêche. Une panoplie d’équation qui les poussent à se demander ce que représente 5 milliards de FCFA devant la destruction des stocks, la rupture de la chaine alimentaire, la déstabilisation du tissu industriel et artisanal, la disparition du poisson dans le panier de la ménagère, le non rapatriement des 150 milliards de FCFA issues des exportations annuelles et le sort des milliers de sénégalais qui seront en chômage ?
Last but not least, le GAIPES pense que dans ce type d’opération, il est généralement admis que 30% des captures sont réservés à la partie qui obtient les licences de pêche. Par conséquent, 30% du business équivaut à 36 milliards or le schéma classique reteindrait 5 milliards pour le trésor ; Il y’aurait donc un gap de 31 milliards de FCFA. Cette pratique ont-ils fait savoir n’est rien d’autre qu’un bradage, un pillage des ressources halieutiques qui constituent un patrimoine national et de se demander à qui profite ce crime économique.
Marième FAYE pressafrik
Last but not least, le GAIPES pense que dans ce type d’opération, il est généralement admis que 30% des captures sont réservés à la partie qui obtient les licences de pêche. Par conséquent, 30% du business équivaut à 36 milliards or le schéma classique reteindrait 5 milliards pour le trésor ; Il y’aurait donc un gap de 31 milliards de FCFA. Cette pratique ont-ils fait savoir n’est rien d’autre qu’un bradage, un pillage des ressources halieutiques qui constituent un patrimoine national et de se demander à qui profite ce crime économique.
Marième FAYE pressafrik