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LA CAMPAGNE DE CES DAMES : A quel sein se vouer ?

Dans le jeu de dames, chaque pion avancé porte en lui-même la ruse. Oh pour cela, rien de vraiment barbant. Il n’y a qu’à se fier au sourire du maître en traquenard. Son doigt est la terminaison de son intelligence du mouvement des pions. Il est dans le jeu. Les raclées plus retentissantes ont cours sous l’arbre à palabres. Avec le sourire et quelques mots salaces en guise de défi. Un autre jeu met en scène des dames ? Disons, c’est le jeu de ces dames, Diouma Dieng Diakhaté et Amsatou Sow Sidibé. La première a embaumé sa profession de foi à l’encens de sa réputation de tailleuse de silhouettes. Y compris sous les lambris du pouvoir ! Les mauvaises langues cherchent la source de sa caution quelque part, dans son carnet d’adresse très présidentiel. J’aurais pu dire « sélect » pour ne pas en rajouter. Elle est une soliste dans cette campagne, s’entourant seulement de la présence de ses sœurs. Quelquefois, c’est dans leurs mots que le peuple des dames répond à leur si touchant appel ! Un tour dans son Rufisque et la presse la donne malheureuse à cause d’un concert de huées. Un autre au Marché au poisson de Pikine et les responsables la privent de tête-à-tête avec les bonnes dames qui, chaque jour, accompagnent, de leur pas, les premières lueurs du jour. Rien à faire ! Elle trouve refuge, de la manière la plus légale, dans le studio de la RTS.


Rédigé par leral.net le Lundi 13 Février 2012 à 03:11 | | 3 commentaire(s)|

LA CAMPAGNE DE CES DAMES : A quel sein se vouer ?
L’enregistrement ressemble à un compte-rendu du bain de foule manqué de Rufisque. Diouma Dieng Diakhaté a déjà gagné une élection. L’exercice d’écoute de sa campagne devient une délectation devant ses tuniques. Que les yeux y aillent si les oreilles sifflent sous la musique d’une réparatrice d’apparence tombée en politique ! Elle n’est pas, exclusivement, la candidate des dames. Bien sûr, elle a embrayé sur la compassion au premier jour de sa campagne, en rendant visite aux employées de maison… sans emploi et aux chômeurs. Elle a la pensée d’une mère pour ses enfants. Elle assume son âge et en finit avec la boutade sur ses 32 ans éternels. Maintenant, elle a l’âge d’une dame qui pouponne de larges franges de la population (les jeunes) et veut servir de mur de lamentations à ses sœurs. Elle fréquente le M23 sans prendre le souper, tous les soirs, avec cette association d’intérêt politique à responsabilité brinquebalante.

Sa sœur jumelle en politique, désormais, s’appelle Amsatou Sow Sidibé. Elle n’est pas la candidate des femmes. Elle est le porte-voix de tous les Sénégalais. Hélas, elle n’échappe pas au destin de la voix émotive à l’heure d’aborder la question sociale. Elle fait mine de trembloter comme une feuille sous la bourrasque. Elle n’est pas connue du grand public auprès duquel elle cherche quelques applaudissements. Et elle se présente : « Je suis Mme Amsatou Sow Sidibé… » Elle se veut bonne sénégalaise en oubliant qu’il y a un maître à la maison, qui a accepté qu’elle veuille incarner l’autorité suprême au Sénégal. Ses étudiants devront s’accommoder de cette nouvelle chaire quotidienne. Cinq minutes tous les jours ! Elle est aussi dans l’échappée solitaire. Bennoo Siggil Senegaal n’a jamais été le chapiteau politique sous lequel il attend le premier jour d’une nouvelle alternance. Elle a trouvé refuge dans la dissidence conceptuelle et idéologique : Bennoo Alternative 2012. Sans avoir pris part à l’échauffement pré-électoral, Abdou Latif Coulibaly raflera la mise, au dernier tour de piste. Il rend une bonne copie au comité de sélection. Amsatou Sow Sidibé choisit d’y aller quand même ! La suite lui donne raison car, désargenté, Latif Coulibaly dépose armes et bagages chez Niasse. Elle sifflote l’air du temps, l’hymne au départ de Wade, sans faire du M23 le seul viatique de son action publique. Elle emprunte les sentiers de l’émancipation politique non sans dire que les urgences sont dans les inondations, le coût de la vie, le chômage des jeunes, la condition féminine…

Le Pays


( Les News )


1.Posté par Jacqueline Seye le 13/02/2012 06:07 | Alerter
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TU ES VRAIMENT NULLE. ça ne vaut même pas la peine de lire cet article, tellement il manque d'arguments importants pour parler de candidatures aussi importantes que par exemple celle de la présidente Amsatou Sow Sidibe. Il faut réfléchir avant d’écrire et non pour le plaisir d’écrire. Wa salam

2.Posté par baol le 13/02/2012 09:01 | Alerter
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IL Y A QUELQUE CHOSE IRREEL DANS CETTE CANDIDATURE !
JE CONTINUE A L'IGNORER !

3.Posté par Sankara le 14/02/2012 12:47 | Alerter
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Diouma c qui veut trahir les chomeurs o contraire,tout le monde sait qu'elle est du coté du vieux.ET valider sa candidature sans celle du GRAND YOUSSOU NDOUR suscite un grand débat.

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