de Picc Mi - Le Magazine du Web Sénégalais : Infos, Culture , Decouverte et Divertissements de PiccMi.Com - La Rédaction
S’il y a quelqu’un qui n’avait pas mesuré la portée des actes qu’il posait, notamment en s’engageant à fond dans un combat éminemment politique, c’est bien Alioune Tine qui préside, on ne sait plus depuis combien de «mandats», aux destinées de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l'homme (Raddho). Récusé depuis son implication aux premières heures de la contestation de la validité de la candidature de Me Abdoulaye Wade pour l’élection présidentielle de 2012, ce professeur ayant déserté les amphithéâtres depuis belle lurette est, aujourd’hui, pris dans son propre jeu. Un peu comme le serpent qui se mord la queue. Vilipendé et rejeté par les partisans du Chef de l’Etat regroupés au sein de la Cap 21, il est maintenant dans le collimateur du pouvoir, pardon de l’Etat, qui a le devoir régalien de veiller à ce que les serviettes ne soient pas mélangées aux torchons. En langage plus clair, il nous revient que «les démarches sont en train d’être posées pour bloquer, au niveau de l’Union Européenne, une subvention de 200000 euros qui devaient servir à créer un pool aux fins de superviser les élections présidentielle et législatives de 2012». Pour ce faire, nos jumelles nous signalent que c’est un leader très en vue dans la mouvance présidentielle qui est envoyé au front.
«Les Ong font perdre à l’Etat plus de 100 milliards Fcfa par an»
Et, dans cette affaire qui a l’air d’une véritable traque, la Raddho risque aussi de perdre son fameux statut d’observateur au Conseil économique et social des Nations unies (Ecosoc) à New York, plus précisément au Comité des Ong où, nous dit-on, Alioune Tine sera bientôt entendu. Entre autres griefs de l’Etat du Sénégal, il faut retenir celui de «parti-pris manifeste d’un prétendu superviseur des scrutins dans le jeu électoral où il est un acteur de tout premier plan». En effet, et c’est un secret de polichinelle, la Raddho a fini d’enfiler, en sa qualité de point focal du «Mouvement du 23 juin» (M 23) qui conteste la candidature de Me Wade, la toge d’avocat de l’opposition. Devenue «politique et partisane», la Raddho a soulevé, naturellement, le courroux de la diplomatie sénégalaise qui a concocté un «document explosif» sur Alioune Tine et compagnie qui serait en partance pour les Usa où son sort sera décidé. D’autant plus que, croient savoir nos sources, «la Raddho se comporte comme un parti politique avec, à la clef, des financements occultes». D’ailleurs, on apprend, de sources douanières, que «les Ong font perdre à l’Etat, du fait de leurs multiples exonérations, plus de 100 milliards de francs Cfa par an». Et c’est pour dire le moins. Ecarquillez vos yeux, de gros cafards sortiront des placards !
PAPA SOULEYMANE KANDJI - Source : Le Pays via piccmi.com
S’il y a quelqu’un qui n’avait pas mesuré la portée des actes qu’il posait, notamment en s’engageant à fond dans un combat éminemment politique, c’est bien Alioune Tine qui préside, on ne sait plus depuis combien de «mandats», aux destinées de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l'homme (Raddho). Récusé depuis son implication aux premières heures de la contestation de la validité de la candidature de Me Abdoulaye Wade pour l’élection présidentielle de 2012, ce professeur ayant déserté les amphithéâtres depuis belle lurette est, aujourd’hui, pris dans son propre jeu. Un peu comme le serpent qui se mord la queue. Vilipendé et rejeté par les partisans du Chef de l’Etat regroupés au sein de la Cap 21, il est maintenant dans le collimateur du pouvoir, pardon de l’Etat, qui a le devoir régalien de veiller à ce que les serviettes ne soient pas mélangées aux torchons. En langage plus clair, il nous revient que «les démarches sont en train d’être posées pour bloquer, au niveau de l’Union Européenne, une subvention de 200000 euros qui devaient servir à créer un pool aux fins de superviser les élections présidentielle et législatives de 2012». Pour ce faire, nos jumelles nous signalent que c’est un leader très en vue dans la mouvance présidentielle qui est envoyé au front.
«Les Ong font perdre à l’Etat plus de 100 milliards Fcfa par an»
Et, dans cette affaire qui a l’air d’une véritable traque, la Raddho risque aussi de perdre son fameux statut d’observateur au Conseil économique et social des Nations unies (Ecosoc) à New York, plus précisément au Comité des Ong où, nous dit-on, Alioune Tine sera bientôt entendu. Entre autres griefs de l’Etat du Sénégal, il faut retenir celui de «parti-pris manifeste d’un prétendu superviseur des scrutins dans le jeu électoral où il est un acteur de tout premier plan». En effet, et c’est un secret de polichinelle, la Raddho a fini d’enfiler, en sa qualité de point focal du «Mouvement du 23 juin» (M 23) qui conteste la candidature de Me Wade, la toge d’avocat de l’opposition. Devenue «politique et partisane», la Raddho a soulevé, naturellement, le courroux de la diplomatie sénégalaise qui a concocté un «document explosif» sur Alioune Tine et compagnie qui serait en partance pour les Usa où son sort sera décidé. D’autant plus que, croient savoir nos sources, «la Raddho se comporte comme un parti politique avec, à la clef, des financements occultes». D’ailleurs, on apprend, de sources douanières, que «les Ong font perdre à l’Etat, du fait de leurs multiples exonérations, plus de 100 milliards de francs Cfa par an». Et c’est pour dire le moins. Ecarquillez vos yeux, de gros cafards sortiront des placards !
PAPA SOULEYMANE KANDJI - Source : Le Pays via piccmi.com