Depuis Matam où il se trouve, Ali Haïdar, a estimé que le Front Siggil Senegaal, devrait trouver un leader derrière qui, tout le monde sera aligné. Selon lui : "le parti socialiste compte plus de monde, donc, on doit le mettre en avant". Ce qui veut sans doute dire, qu’Ousmane Tanor Dieng devrait en être le leader, si on interprète bien les propos d’Ali Haïdar, leader du mouvement écologiste. Abdoulaye,Bathily, leader de la LD/MPT estime pour sa part que l’enjeu est ailleurs : "ce n’est pas à l’ordre du jour, et il n y a pas d’urgence".
Le Front Siggil Senegaal est considéré comme la branche la plus "significative" de l’opposition, non représentée à l’Assemblée nationale sénégalaise, pour cause de boycott des élections législatives. Il a eu à initier quelques actions contre le gouvernement de Wade, mais n’arrive toujours pas à se faire ressentir comme une "vraie opposition". Ses détracteurs déclarent même qu’il n’y aurait pas d’opposition au Sénégal.
La remarque d’Ali Aïdar semble mal venu au moment, où le Front Siggil Senegal se cherche puisqu’il n’arrive pas à trouver une vraie stratégie d’opposition. Mais, cette question a malgré tout, le mérite d’être posée. En effet, les apparitions médiatiques dispersées des différents leaders du Front Siggil Senegaal, semblent donner raison à Ali Aîdar, chacun d’entre eux, cherchant à se faire remarquer, lors des événements politiques marquants, ce qui crée une cacophonie de fait. Le Ps et l’AFP qui semblent être les partis les plus en vue, du point de vue du poids politique, ne se feront certainement de fleurs, lorsqu’il s’agira de désigner un leader pour le Front Siggil Senegaal.
Sur un autre plan, la dernière trouvaille de l’opposition, les Assises Nationales, semblent être une belle opportunité pour l’opposition de contraindre Wade à mieux reconsidérer ses positions politiques, par une prise en compte de leurs idées.
Les prochaines élections locales, enjeu politique majeur pour Wade, semblent aussi être une bonne occasion pour l’opposition de former un bloc et d’affirmer son poids politique. La tendance actuelle de l’opposition, qui semblerait être l’option de la radicalisation, afin de contraindre Wade à organiser des élections locales transparentes, est aussi un bon prétexte pour l’opposition de rebondir et de gagner en crédibilité, en même temps qu’elles constituent un tournant politique important pour lui et pour le pays. Wade chercherait à mettre en orbite son fils, selon en tout cas, une volonté qu’on lui prête de se faire remplacer par ce dernier. C’est même un dernier virage pour cette opposition.
source nettali
Le Front Siggil Senegaal est considéré comme la branche la plus "significative" de l’opposition, non représentée à l’Assemblée nationale sénégalaise, pour cause de boycott des élections législatives. Il a eu à initier quelques actions contre le gouvernement de Wade, mais n’arrive toujours pas à se faire ressentir comme une "vraie opposition". Ses détracteurs déclarent même qu’il n’y aurait pas d’opposition au Sénégal.
La remarque d’Ali Aïdar semble mal venu au moment, où le Front Siggil Senegal se cherche puisqu’il n’arrive pas à trouver une vraie stratégie d’opposition. Mais, cette question a malgré tout, le mérite d’être posée. En effet, les apparitions médiatiques dispersées des différents leaders du Front Siggil Senegaal, semblent donner raison à Ali Aîdar, chacun d’entre eux, cherchant à se faire remarquer, lors des événements politiques marquants, ce qui crée une cacophonie de fait. Le Ps et l’AFP qui semblent être les partis les plus en vue, du point de vue du poids politique, ne se feront certainement de fleurs, lorsqu’il s’agira de désigner un leader pour le Front Siggil Senegaal.
Sur un autre plan, la dernière trouvaille de l’opposition, les Assises Nationales, semblent être une belle opportunité pour l’opposition de contraindre Wade à mieux reconsidérer ses positions politiques, par une prise en compte de leurs idées.
Les prochaines élections locales, enjeu politique majeur pour Wade, semblent aussi être une bonne occasion pour l’opposition de former un bloc et d’affirmer son poids politique. La tendance actuelle de l’opposition, qui semblerait être l’option de la radicalisation, afin de contraindre Wade à organiser des élections locales transparentes, est aussi un bon prétexte pour l’opposition de rebondir et de gagner en crédibilité, en même temps qu’elles constituent un tournant politique important pour lui et pour le pays. Wade chercherait à mettre en orbite son fils, selon en tout cas, une volonté qu’on lui prête de se faire remplacer par ce dernier. C’est même un dernier virage pour cette opposition.
source nettali
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