S’il est désormais inscrit dans l’ordre « naturelle » des choses depuis la caution du Conseil constitutionnel et la promulgation quasi automatique par le chef de l’Etat des lois « Sada Ndiaye », le départ du perchoir de l’Assemblée nationale de Macky Sall, tarde encore.
Sa survenue épouse un rythme qui semble contrarier jusqu’ici la majorité libérale désireuse de le voir retourner à ses pénates. Jusqu’à hier, lundi 3 novembre, le projet de résolution qui a été certainement préféré à une simple pétition n’avait pas encore été déposé sur la table de la conférence des présidents qui devrait statuer sur sa recevabilité avant de l’envoyer à la commission des lois pour études si, comme on peut s’y attendre, elle la trouve conforme.
Pourtant au journal parlé de la Rts du samedi 1er novembre, le président du groupe parlementaire Libéral et démocratique (Ld) signifiait que dès le lendemain, (dimanche 2 novembre) « sa résolution » serait déposée. Il avait certainement oublié, dans sa hâte de « liquider » du Macky, que le « jour du Seigneur » n’était pas ouvrable et que le secrétariat serait par conséquent aux abonnés absents pour cause de congé dominical. Qu’à cela ne tienne ? hier lundi, il peaufinait assurément la résolution qui, confient des parlementaires de son bord interrogés au téléphone, « a vu la signature de plus d’une centaine de nos collègues.
C’est dire donc que nous avons obtenu plus des 38 signataires nécessaires. C’en est donc fini pour Macky et il le sait. La preuve, il ne vient même plus ». Selon ces députés libéraux, « dès demain, (aujourd’hui mardi 4 novembre) nous allons déposer la résolution sur le bureau de l’Assemblée nationale. La conférence des présidents statuera et transmettra le dossier à la commission des lois pour étude avant que la plénière ne s’en saisisse et la vote ».
Soit, mais le désormais ex-président de l’Assemblée nationale, si on en croit son président de groupe parlementaire, Doudou Wade, continue de se prévaloir de son titre, comme si de rien n’était. Hier encore, son chargé de communication a signé un communiqué transmis aux rédactions, s’offusquant de la création d’un site internet qui porterait son nom sans son aval.
Ça coince sans doute quelque part.
source sud quotidien
Sa survenue épouse un rythme qui semble contrarier jusqu’ici la majorité libérale désireuse de le voir retourner à ses pénates. Jusqu’à hier, lundi 3 novembre, le projet de résolution qui a été certainement préféré à une simple pétition n’avait pas encore été déposé sur la table de la conférence des présidents qui devrait statuer sur sa recevabilité avant de l’envoyer à la commission des lois pour études si, comme on peut s’y attendre, elle la trouve conforme.
Pourtant au journal parlé de la Rts du samedi 1er novembre, le président du groupe parlementaire Libéral et démocratique (Ld) signifiait que dès le lendemain, (dimanche 2 novembre) « sa résolution » serait déposée. Il avait certainement oublié, dans sa hâte de « liquider » du Macky, que le « jour du Seigneur » n’était pas ouvrable et que le secrétariat serait par conséquent aux abonnés absents pour cause de congé dominical. Qu’à cela ne tienne ? hier lundi, il peaufinait assurément la résolution qui, confient des parlementaires de son bord interrogés au téléphone, « a vu la signature de plus d’une centaine de nos collègues.
C’est dire donc que nous avons obtenu plus des 38 signataires nécessaires. C’en est donc fini pour Macky et il le sait. La preuve, il ne vient même plus ». Selon ces députés libéraux, « dès demain, (aujourd’hui mardi 4 novembre) nous allons déposer la résolution sur le bureau de l’Assemblée nationale. La conférence des présidents statuera et transmettra le dossier à la commission des lois pour étude avant que la plénière ne s’en saisisse et la vote ».
Soit, mais le désormais ex-président de l’Assemblée nationale, si on en croit son président de groupe parlementaire, Doudou Wade, continue de se prévaloir de son titre, comme si de rien n’était. Hier encore, son chargé de communication a signé un communiqué transmis aux rédactions, s’offusquant de la création d’un site internet qui porterait son nom sans son aval.
Ça coince sans doute quelque part.
source sud quotidien