L’Afrique va-t-elle enfin être soulagée du Vih/Sida, un fléau qui a déjà décimé des milliers de vies humaines sur le continent ? Le moins ue l’on puisse dire c’est que depuis quelques jours, un vaccin préventif contre cette terrible maladie est mis à l’essai en Afrique du Sud. Un pays situé sur la ligne rouge des zones les plus touchées du continent avec un taux de plus de six millions de personnes affectées. Dans ce pays une cinquantaine de volontaires ont déjà reçu une injection du vaccin élaboré par les chercheurs sud africains, ceux de l’université du Cap (Uct).
Ces essais cliniques, selon des spécialistes, constituent la nouvelle étape d’une expérience menée aux Etats-Unis sur douze personnes, en fin 2008 début 2009 et en Afrique du Sud. Dans ce dernier pays, les tests seront conduits dans les structures sanitaires du Cap et de Soweto. Annoncé par le Conseil sud Africain pour la recherche médicale, le lancement de cette phase I vise à vérifier que les tests ne sont pas dangereux pour l’homme et à mesurer la réponse immunitaire qu’ils provoquent.
Baptisés Saavi Dna-C2 et Saavi Mva-C, les vaccins tests, selon des sources médicales bien informées, ne contiennent aucune souche du Vih et ont été conçus pour s’attaquer au virus de type C. Celui qui est considéré comme le plus courant en Afrique du Sud. Selon toujours des sources médicales, pendant l’essai clinique, les volontaires recevront de manière confidentielle et aléatoire, soit un placébo, soit le cocktail de vaccins expérimentaux.. Tous deux sont issus de la recherche sud-africaine, mais le Mwa a été fabriqué aux Etats-Unis, contrairement au Dna qui a été produit en Afrique du Sud. Les Sud-Africains qui participeront à ces essais sont âgés entre 18 à 45 ans et séronégatifs. Ils ne doivent avoir aucun comportements à risques pouvant les conduir à contracter le virus du sida.
C’est la deuxième fois que l’Afrique du Sud teste un vaccin. Mais la première tentative s’est soldée par un échec. Si la phase I est concluante, elle se poursuivra par les phases II et III qui conduiront, en cas de succès, à l’homologation et à la fabrication d’un vaccin contre le fléau du siècle. Et cette prouesse, on la devra à l’Afrique, accusée d’être à l’origine de la propagation du Vih.
Le vaccin contre cette pandémie, même s’il est très loin d’être découvert, soulagerait le système de santé sud Africain et du continent, menacé d’implosion notamment à cause du Sida. Au Gabon, récemment des statistiques ont révélé que 6 personnes mouraient par jour de cette maladie alors que la population est estimée à seulement plus d’un million. Les populations pour se faire dépister son obligées de débourser des sous. Au Sénégal, les statistiques ont révélé un taux national de 0,7 % de la population touchée, mais l’épidémie est de type concentrée. Une hausse a été constatée dans les régions de Kolda et Ziguinchor dont respectivement leur taux de prévalence est de 2 % et de 1, 2 %.
Sans compter la féminisation de l’épidémie et les multiples cas de séropositifs enregistrés chez les homosexuels. Un rapport rendu public a dévoilé que le taux de prévalence chez les homosexuels est estimé à 21, 8 % et 19,8 % chez les travailleurs de sexe. Ce qui est plus grave c’est que selon toujours ce rapport neuf homosexuels sur dix ont des rapports avec des femmes .
En tout cas avec la découverte pour une première d’une tel vaccin conçu pour le continent, l’Afrique et le monde entier pourront être soulagés de ce virus du Sida.
Ces essais cliniques, selon des spécialistes, constituent la nouvelle étape d’une expérience menée aux Etats-Unis sur douze personnes, en fin 2008 début 2009 et en Afrique du Sud. Dans ce dernier pays, les tests seront conduits dans les structures sanitaires du Cap et de Soweto. Annoncé par le Conseil sud Africain pour la recherche médicale, le lancement de cette phase I vise à vérifier que les tests ne sont pas dangereux pour l’homme et à mesurer la réponse immunitaire qu’ils provoquent.
Baptisés Saavi Dna-C2 et Saavi Mva-C, les vaccins tests, selon des sources médicales bien informées, ne contiennent aucune souche du Vih et ont été conçus pour s’attaquer au virus de type C. Celui qui est considéré comme le plus courant en Afrique du Sud. Selon toujours des sources médicales, pendant l’essai clinique, les volontaires recevront de manière confidentielle et aléatoire, soit un placébo, soit le cocktail de vaccins expérimentaux.. Tous deux sont issus de la recherche sud-africaine, mais le Mwa a été fabriqué aux Etats-Unis, contrairement au Dna qui a été produit en Afrique du Sud. Les Sud-Africains qui participeront à ces essais sont âgés entre 18 à 45 ans et séronégatifs. Ils ne doivent avoir aucun comportements à risques pouvant les conduir à contracter le virus du sida.
C’est la deuxième fois que l’Afrique du Sud teste un vaccin. Mais la première tentative s’est soldée par un échec. Si la phase I est concluante, elle se poursuivra par les phases II et III qui conduiront, en cas de succès, à l’homologation et à la fabrication d’un vaccin contre le fléau du siècle. Et cette prouesse, on la devra à l’Afrique, accusée d’être à l’origine de la propagation du Vih.
Le vaccin contre cette pandémie, même s’il est très loin d’être découvert, soulagerait le système de santé sud Africain et du continent, menacé d’implosion notamment à cause du Sida. Au Gabon, récemment des statistiques ont révélé que 6 personnes mouraient par jour de cette maladie alors que la population est estimée à seulement plus d’un million. Les populations pour se faire dépister son obligées de débourser des sous. Au Sénégal, les statistiques ont révélé un taux national de 0,7 % de la population touchée, mais l’épidémie est de type concentrée. Une hausse a été constatée dans les régions de Kolda et Ziguinchor dont respectivement leur taux de prévalence est de 2 % et de 1, 2 %.
Sans compter la féminisation de l’épidémie et les multiples cas de séropositifs enregistrés chez les homosexuels. Un rapport rendu public a dévoilé que le taux de prévalence chez les homosexuels est estimé à 21, 8 % et 19,8 % chez les travailleurs de sexe. Ce qui est plus grave c’est que selon toujours ce rapport neuf homosexuels sur dix ont des rapports avec des femmes .
En tout cas avec la découverte pour une première d’une tel vaccin conçu pour le continent, l’Afrique et le monde entier pourront être soulagés de ce virus du Sida.