-qu’en adhérant au M 23, mouvement politique d’opposition,
-qu’en offrant ses locaux, son personnel et ses moyens à ce mouvement d’opposition,
-qu’en prenant en charge l’intégralité des revendications antidémocratiques et surréalistes d’un M 23 en plein désarroi, depuis la manifestation de 3 millions de personnes du 23 Juillet 2011, d’une part, confortée, d’autre part, par l’accueil mémorable de plus d’1 million 500 mille personnes venues répondre à l’appel du Khalife Général des Mourides, le 29 Juillet 2011, dans sa capitale, consolidée enfin, par le succès éclatant des effets annihilants de la visite faite à Touba par la CAP 21, le 07 Août 2011, auprès du même Guide religieux,
-qu’en s’érigeant comme leader de ce mouvement, dont l’ambition est de violer la Constitution, en cherchant à empêcher un citoyen revêtu de tous ses droits civiques de briguer un second mandat électif auquel, il peut, légitimement, prétendre, aux termes de la Constitution sénégalaise, au risque de provoquer des troubles politiques graves, susceptibles de porter atteinte aux institutions de la République, à la paix sociale et à la stabilité du pays,
-qu’en refusant de dénoncer les propos outranciers d’un membre du M 23, qui traite, dédaigneusement, les 5 Sages du Conseil Constitutionnel, de « Yao NDRE » et provoque notre vaillante Armée Nationale, par des accusations inacceptables,
-qu’en se rendant complice des menaces et des manœuvres d’intimidation exercées sur la conscience de Magistrats honnêtes, appartenant à un Corps, universellement respecté, qui a déjà fourni deux Président à la Cour Internationale de Justice de la Haye et près d’une dizaine de Juges dans d’autres institutions prestigieuses du Système des Nations-Unies, de l’UEMOA, ou de la CEDEAO, pour tenter de les empêcher de dire le droit, conformément à leur intime conviction,
-qu’en déclarant, publiquement, sa volonté de lancer un appel à la population, pour qu’elle marche sur le Palais présidentiel,
la RADDHO s’est comportée, dans les faits, comme un parti politique d’opposition et non plus comme une organisation de défense des droits humains neutre, appartenant à la Société civile, soucieuse d’équilibre et de modération, à même de jouer un rôle de régulation entre les différents acteurs politiques, économiques et sociaux du pays, sans en exclure aucune.
Elle a, ce faisant, renoncé à sa mission ; elle a tourné le dos aux idéaux de ses fondateurs chassés de la structure par des intrigues iniques. Elle a opté pour un opportunisme politique, qui lui enlève, désormais, toute crédibilité et révèle au grand jour, qu’Alioune TINE est un opposant politique encagoulé.
C’est pourquoi, la CAP 21, coordonnant près de 70 formations politiques, considère le nouveau parti dénommé RADDHO, comme un adversaire déclaré de la démocratie et de l’Etat de droit, qui a choisi de ne s’intéresser qu’à la défense de certains droits humains seulement.
En conséquence de quoi, la CAP 21 décide de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, toutes ses relations de travail avec ce qu’elle considère comme le nouveau parti politique dénommé RADDHO.
Par ce geste, la CAP 21 condamne cette nouvelle orientation du nouveau parti dénommé RADDHO, ainsi que la ligne politique suivie par Alioune TINE et dénonce son comportement partisan et subversif devant l’opinion nationale et internationale. La Conférence des Leaders de la CAP 21
MOUTH BANE lesenegalais.net
-qu’en offrant ses locaux, son personnel et ses moyens à ce mouvement d’opposition,
-qu’en prenant en charge l’intégralité des revendications antidémocratiques et surréalistes d’un M 23 en plein désarroi, depuis la manifestation de 3 millions de personnes du 23 Juillet 2011, d’une part, confortée, d’autre part, par l’accueil mémorable de plus d’1 million 500 mille personnes venues répondre à l’appel du Khalife Général des Mourides, le 29 Juillet 2011, dans sa capitale, consolidée enfin, par le succès éclatant des effets annihilants de la visite faite à Touba par la CAP 21, le 07 Août 2011, auprès du même Guide religieux,
-qu’en s’érigeant comme leader de ce mouvement, dont l’ambition est de violer la Constitution, en cherchant à empêcher un citoyen revêtu de tous ses droits civiques de briguer un second mandat électif auquel, il peut, légitimement, prétendre, aux termes de la Constitution sénégalaise, au risque de provoquer des troubles politiques graves, susceptibles de porter atteinte aux institutions de la République, à la paix sociale et à la stabilité du pays,
-qu’en refusant de dénoncer les propos outranciers d’un membre du M 23, qui traite, dédaigneusement, les 5 Sages du Conseil Constitutionnel, de « Yao NDRE » et provoque notre vaillante Armée Nationale, par des accusations inacceptables,
-qu’en se rendant complice des menaces et des manœuvres d’intimidation exercées sur la conscience de Magistrats honnêtes, appartenant à un Corps, universellement respecté, qui a déjà fourni deux Président à la Cour Internationale de Justice de la Haye et près d’une dizaine de Juges dans d’autres institutions prestigieuses du Système des Nations-Unies, de l’UEMOA, ou de la CEDEAO, pour tenter de les empêcher de dire le droit, conformément à leur intime conviction,
-qu’en déclarant, publiquement, sa volonté de lancer un appel à la population, pour qu’elle marche sur le Palais présidentiel,
la RADDHO s’est comportée, dans les faits, comme un parti politique d’opposition et non plus comme une organisation de défense des droits humains neutre, appartenant à la Société civile, soucieuse d’équilibre et de modération, à même de jouer un rôle de régulation entre les différents acteurs politiques, économiques et sociaux du pays, sans en exclure aucune.
Elle a, ce faisant, renoncé à sa mission ; elle a tourné le dos aux idéaux de ses fondateurs chassés de la structure par des intrigues iniques. Elle a opté pour un opportunisme politique, qui lui enlève, désormais, toute crédibilité et révèle au grand jour, qu’Alioune TINE est un opposant politique encagoulé.
C’est pourquoi, la CAP 21, coordonnant près de 70 formations politiques, considère le nouveau parti dénommé RADDHO, comme un adversaire déclaré de la démocratie et de l’Etat de droit, qui a choisi de ne s’intéresser qu’à la défense de certains droits humains seulement.
En conséquence de quoi, la CAP 21 décide de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, toutes ses relations de travail avec ce qu’elle considère comme le nouveau parti politique dénommé RADDHO.
Par ce geste, la CAP 21 condamne cette nouvelle orientation du nouveau parti dénommé RADDHO, ainsi que la ligne politique suivie par Alioune TINE et dénonce son comportement partisan et subversif devant l’opinion nationale et internationale. La Conférence des Leaders de la CAP 21
MOUTH BANE lesenegalais.net