''Le président de la République, le ministre de l’Economie et des Finances et le ministre chargé du Budget ont pris les dispositions utiles et nécessaires. […] Tous les moyens sont réunis'', a assuré M. Ndir lors d’une conférence de presse, samedi à Dakar.
''Nous pouvons envisager, avec certitude, que la CENA et ses démembrements au Sénégal et à l’étranger pourront s’acquitter de leur mission de supervision et de contrôle'' des élections, a-t-il soutenu.
A la suite d'''arbitrages budgétaires difficiles'' faits par l'Exécutif, la CENA doit recevoir un milliard 100 millions de francs CFA du gouvernement, a annoncé son président, précisant qu’''une partie de ce montant'' est déjà décaissé pour permettre à l’institution de faire face à ses dépenses, à l'occasion des élections législatives.
''Nous sommes en mesure de faire face à notre mission en dépit des difficultés que nous traversons. […] Globalement, nous sommes en mesure de faire face aux [exigences] de transparence des élections. […] Je vous le garantis. Je vous le certifie'', a insisté Doudou Ndir.
Il souhaite que le gouvernement continue de mettre à la disposition de la CENA les moyens dont elle a besoin pour mener ses activités, même après les élections législatives.
''Nous pensons qu’après les élections, le gouvernement doit combler le déficit financier'' de la CENA, a-t-il affirmé, exhortant les autorités à ''rompre avec cette pratique, qui concerne certaines institutions dont la CENA''.
Cette pratique à abandonner consiste à retarder le financement des institutions, a-t-il précisé. Cela peut avoir des conséquences sur la ''responsabilité institutionnelle'' des services qui en sont victimes, a averti Doudou Ndir.
Dimanche, les Sénégalais élisent 150 députés pour un mandat de cinq ans. Vingt-quatre listes de candidats sont en lice. Parmi elles figure celle de l'ex-parti au pouvoir, le Parti démocratique sénégalais (PDS), qui était majoritaire dans la dernière législature.
La coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY), qui a fait élire Macky Sall au second tour de l'élection présidentielle de février-mars, est aussi en lice.
SOURCE:ESF/BK
''Nous pouvons envisager, avec certitude, que la CENA et ses démembrements au Sénégal et à l’étranger pourront s’acquitter de leur mission de supervision et de contrôle'' des élections, a-t-il soutenu.
A la suite d'''arbitrages budgétaires difficiles'' faits par l'Exécutif, la CENA doit recevoir un milliard 100 millions de francs CFA du gouvernement, a annoncé son président, précisant qu’''une partie de ce montant'' est déjà décaissé pour permettre à l’institution de faire face à ses dépenses, à l'occasion des élections législatives.
''Nous sommes en mesure de faire face à notre mission en dépit des difficultés que nous traversons. […] Globalement, nous sommes en mesure de faire face aux [exigences] de transparence des élections. […] Je vous le garantis. Je vous le certifie'', a insisté Doudou Ndir.
Il souhaite que le gouvernement continue de mettre à la disposition de la CENA les moyens dont elle a besoin pour mener ses activités, même après les élections législatives.
''Nous pensons qu’après les élections, le gouvernement doit combler le déficit financier'' de la CENA, a-t-il affirmé, exhortant les autorités à ''rompre avec cette pratique, qui concerne certaines institutions dont la CENA''.
Cette pratique à abandonner consiste à retarder le financement des institutions, a-t-il précisé. Cela peut avoir des conséquences sur la ''responsabilité institutionnelle'' des services qui en sont victimes, a averti Doudou Ndir.
Dimanche, les Sénégalais élisent 150 députés pour un mandat de cinq ans. Vingt-quatre listes de candidats sont en lice. Parmi elles figure celle de l'ex-parti au pouvoir, le Parti démocratique sénégalais (PDS), qui était majoritaire dans la dernière législature.
La coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY), qui a fait élire Macky Sall au second tour de l'élection présidentielle de février-mars, est aussi en lice.
SOURCE:ESF/BK