Sous nos cieux, pullulent des Nigérians qui n’ont comme activité que la cybercriminalité. Et Emmanuel Nkazi fait partie de cette nouvelle race de brigands qui peuvent plumer leurs proies à distance. Il a mis sa planque à l’unité 15 des Parcelles Assainies d’où il opérait. Mais la Dic, après des semaines de traque, vient de mettre un terme à ses agissements.
La police judiciaire, la Dpj qui a été alerté par un tiers a activé le Division des investigations criminelles qui a mis en branle la machine à choper les délinquants pour aboutir à l’arrestation d’Imam le mercredi dernier. A en croire le quotidien Libération lue par Leral.net, c’est alors qu’il s’apprêtait à s’engouffrer dans un taxi que le nigérian a été cueilli par les limiers qui l’ont soumis à une fouille minutieuse. Qui a été riche en révélation car ils ont trouvé sur lui un lingot d’or. Les limiers venaient d’entrer dans un labyrinthe puisqu’une perquisition chez le criminel a failli faire perdre la voix à nombre de policiers. Cartes grises de véhicules, certificat de décès, certificat d’inhumation sont les pièces à conviction que les limiers ont trouvé sur les lieux.
Selon Libération, ils ont aussi trouvé dans cette « caverne de faux documents » des ordinateurs que les limiers ont tenté d’interroger. Mais les ordis ne reconnaissent pas les étrangers. Il a suffi que l’un deux soit touché par un élément de la Dic pour qu’il explose avant de transférer ses documents à l’autre ordinateur qui semblait mort, mais qui en réalité est en veille.
Libération nous apprend que les limiers ont poursuivi les fouilles et des vidéos ont été trouvées. Dans ces vidéos, les enquêteurs ont pu lever un coin du voile sur l’activité délictuelle d’Imam qui se faisait passer pour une femme pour escroquer un policier allemand et des Népalais. Ce n’est pas tout puisque renseigne Libération parcourue par Leral.net, avec les fausses cartes grises, Emmanuel Nkazi a pu faire entrer au Sénégal des voitures qui ont dépassé l’âge limite, c’est-à-dire cinq ans pour ensuite les écouter dans la sous-région et en Afrique centrale.
Nkazi alias Imam avait une autre flèche à son arc. En fait, il avait créé une société en ligne du nom de Multinational University of Geophysical qui lui servait de vendre en ligne de l’or jusqu’en Sierra Léone. Il faut savoir qu’Imam n’était pas seul. Un de ses compatriotes du nom d’Ouchona Obouzo lui prêtait main fortes. Mais, il a été lui aussi cueilli par les éléments de la Dic qui les ont présentés devant le procureur. Ils devront répondre des délits de cybercriminalité, association de malfaiteurs et escroquerie en bande organisée.
La police judiciaire, la Dpj qui a été alerté par un tiers a activé le Division des investigations criminelles qui a mis en branle la machine à choper les délinquants pour aboutir à l’arrestation d’Imam le mercredi dernier. A en croire le quotidien Libération lue par Leral.net, c’est alors qu’il s’apprêtait à s’engouffrer dans un taxi que le nigérian a été cueilli par les limiers qui l’ont soumis à une fouille minutieuse. Qui a été riche en révélation car ils ont trouvé sur lui un lingot d’or. Les limiers venaient d’entrer dans un labyrinthe puisqu’une perquisition chez le criminel a failli faire perdre la voix à nombre de policiers. Cartes grises de véhicules, certificat de décès, certificat d’inhumation sont les pièces à conviction que les limiers ont trouvé sur les lieux.
Selon Libération, ils ont aussi trouvé dans cette « caverne de faux documents » des ordinateurs que les limiers ont tenté d’interroger. Mais les ordis ne reconnaissent pas les étrangers. Il a suffi que l’un deux soit touché par un élément de la Dic pour qu’il explose avant de transférer ses documents à l’autre ordinateur qui semblait mort, mais qui en réalité est en veille.
Libération nous apprend que les limiers ont poursuivi les fouilles et des vidéos ont été trouvées. Dans ces vidéos, les enquêteurs ont pu lever un coin du voile sur l’activité délictuelle d’Imam qui se faisait passer pour une femme pour escroquer un policier allemand et des Népalais. Ce n’est pas tout puisque renseigne Libération parcourue par Leral.net, avec les fausses cartes grises, Emmanuel Nkazi a pu faire entrer au Sénégal des voitures qui ont dépassé l’âge limite, c’est-à-dire cinq ans pour ensuite les écouter dans la sous-région et en Afrique centrale.
Nkazi alias Imam avait une autre flèche à son arc. En fait, il avait créé une société en ligne du nom de Multinational University of Geophysical qui lui servait de vendre en ligne de l’or jusqu’en Sierra Léone. Il faut savoir qu’Imam n’était pas seul. Un de ses compatriotes du nom d’Ouchona Obouzo lui prêtait main fortes. Mais, il a été lui aussi cueilli par les éléments de la Dic qui les ont présentés devant le procureur. Ils devront répondre des délits de cybercriminalité, association de malfaiteurs et escroquerie en bande organisée.