La cérémonie d’ouverture a été présidée par Malick Mbaye, Coordonnateur de la Direction générale des Douanes (DGD) du Sénégal, qui a salué l’importance de l’événement dans le cadre de la transformation des administrations douanières.
Selon lui, cette initiative marque un pas important vers la construction d’une « Douane intelligente » capable d’adopter et d’intégrer des technologies avancées pour faciliter le commerce tout en renforçant la sécurité des frontières.
Mme Gordana Vidanovic, représentante de l’OMD, a précisé que l’objectif principal de l’atelier est d’identifier les besoins spécifiques des membres présents, d’évaluer l’adoption des technologies de rupture et de partager des connaissances entre les participants.
Elle a souligné que la mise en œuvre de solutions telles que la blockchain, l’intelligence artificielle et l’Internet des objets (IoT) peut significativement transformer les opérations douanières, rendant les processus plus efficaces et plus résilients face aux enjeux actuels.
L’émergence des technologies de rupture : Des défis et des opportunités
L’atelier se concentre sur des technologies de rupture qui révolutionnent la gestion des flux commerciaux et le contrôle des frontières. « Ces technologies représentent un potentiel considérable pour améliorer la gestion des risques, optimiser les processus et renforcer la prise de décisions grâce à l’analyse des données », a ajouté Mme Vidanovic.
Cependant, des défis demeurent, notamment en matière de cybersécurité, d’interopérabilité des systèmes informatiques et de formation des agents douaniers. Le Coordonnateur de la DGD du Sénégal a rappelé que l’administration des Douanes sénégalaises a déjà entamé un processus de modernisation via l’informatisation de ses procédures.
Toutefois, il reste convaincu qu’il est nécessaire d’aller plus loin en exploitant les technologies émergentes pour maximiser l’efficacité opérationnelle. « Il est crucial d’accélérer l’adoption de ces outils pour répondre aux défis du commerce international, notamment la lutte contre la fraude et la criminalité transnationale », a-t-il précisé.
Une coopération renforcée pour répondre aux défis communs
Le programme de l’atelier prévoit des discussions approfondies sur la façon dont les administrations douanières peuvent surmonter les obstacles juridiques et politiques liés à l’implémentation de ces technologies. Selon Malick Mbaye, la coopération entre les autorités douanières, le secteur privé et les institutions académiques est essentielle pour élaborer des solutions qui répondent aux besoins spécifiques des pays et des régions
Des recommandations stratégies pour l’avenir À l’issue de cette rencontre, des recommandations concrètes seront formulées pour guider les administrations douanières dans l’adoption et l’intégration des technologies de rupture dans leurs procédures. Ces orientations devraient devenir des lignes directrices pour l’avenir des Douanes mondiales, favorisant la mise en œuvre de solutions technologiques adaptées aux défis contemporains.
L’atelier se clôturera demain 11 avril 2025, avec la publication des conclusions et des recommandations pratiques, destinées à servir de boussole technologique pour les administrations douanières des régions représentées.
Avec le quotidien Le Témoin
Selon lui, cette initiative marque un pas important vers la construction d’une « Douane intelligente » capable d’adopter et d’intégrer des technologies avancées pour faciliter le commerce tout en renforçant la sécurité des frontières.
Mme Gordana Vidanovic, représentante de l’OMD, a précisé que l’objectif principal de l’atelier est d’identifier les besoins spécifiques des membres présents, d’évaluer l’adoption des technologies de rupture et de partager des connaissances entre les participants.
Elle a souligné que la mise en œuvre de solutions telles que la blockchain, l’intelligence artificielle et l’Internet des objets (IoT) peut significativement transformer les opérations douanières, rendant les processus plus efficaces et plus résilients face aux enjeux actuels.
L’émergence des technologies de rupture : Des défis et des opportunités
L’atelier se concentre sur des technologies de rupture qui révolutionnent la gestion des flux commerciaux et le contrôle des frontières. « Ces technologies représentent un potentiel considérable pour améliorer la gestion des risques, optimiser les processus et renforcer la prise de décisions grâce à l’analyse des données », a ajouté Mme Vidanovic.
Cependant, des défis demeurent, notamment en matière de cybersécurité, d’interopérabilité des systèmes informatiques et de formation des agents douaniers. Le Coordonnateur de la DGD du Sénégal a rappelé que l’administration des Douanes sénégalaises a déjà entamé un processus de modernisation via l’informatisation de ses procédures.
Toutefois, il reste convaincu qu’il est nécessaire d’aller plus loin en exploitant les technologies émergentes pour maximiser l’efficacité opérationnelle. « Il est crucial d’accélérer l’adoption de ces outils pour répondre aux défis du commerce international, notamment la lutte contre la fraude et la criminalité transnationale », a-t-il précisé.
Une coopération renforcée pour répondre aux défis communs
Le programme de l’atelier prévoit des discussions approfondies sur la façon dont les administrations douanières peuvent surmonter les obstacles juridiques et politiques liés à l’implémentation de ces technologies. Selon Malick Mbaye, la coopération entre les autorités douanières, le secteur privé et les institutions académiques est essentielle pour élaborer des solutions qui répondent aux besoins spécifiques des pays et des régions
Des recommandations stratégies pour l’avenir À l’issue de cette rencontre, des recommandations concrètes seront formulées pour guider les administrations douanières dans l’adoption et l’intégration des technologies de rupture dans leurs procédures. Ces orientations devraient devenir des lignes directrices pour l’avenir des Douanes mondiales, favorisant la mise en œuvre de solutions technologiques adaptées aux défis contemporains.
L’atelier se clôturera demain 11 avril 2025, avec la publication des conclusions et des recommandations pratiques, destinées à servir de boussole technologique pour les administrations douanières des régions représentées.
Avec le quotidien Le Témoin