Ce mot dont la philologie nous renvoie à des temps lointains décrit une situation psycho sociologique combinant morosité économique, flou politique, déficit de communication de l’Etat, méfiance, voire frilosité entre acteurs de la République. Mais, aussi, et en filigrane, des tendances népotiques et, quelques fois, despotiques.
Dés l’avènement de notre quatrième Président de la République, les relations Etat-Confréries se sont métamorphosées, en perdant des couleurs. La déflation s’est installée, aggravée par une situation où l’Etat se trouve en cessation de paiement. Un retard important dans le paiement des fournisseurs et différents prestataires. Le Trésor étant devenu le nouveau Mur des Lamentations des opérateurs économiques. L’Etat va jusqu’à accumuler plus de deux ans d’arriérés
de loyer.
L’hermétisme est un concept commun aux personnes qui exercent le pouvoir dont les portes ne sont ouvertes qu’aux lutteurs et autres amuseurs publiques.
Tout renvoie à l’idée de « Tongtongisme », mot wolof lié à la gabegie d’un groupe cloîtré. Le symbole de cette situation est la réapparition, après plusieurs années, du billet de 500F. En d’autres termes, une atmosphère de tohu-bohu dans laquelle des média jouent les tristes rôles de guignols. Tellement les plumes sont commanditées, même si elles font dans la non qualité.
Le château de cartes que constitue le BBY va vau-l’eau. Au gré du temps, au gré du vent.
Pourtant un homme travaille en sourdine, réfléchit, fréquente le petit peuple, visite le Sénégal des profondeurs. Bâtisseur de routes, de ponts, d’écoles, d’universités, d’hôpitaux, de ports de ceci ou de cela. Réduit le poids des impôts sur les petits salaires et les privilèges des hauts fonctionnaires. Son action est tellement empreinte de sérieux qu’il devrait, peut-être, ne serait-ce qu’un instant, se rendre à l’école du sourire. J’ai nommé l’El Hadjissime Macky Sall, Président de la République du Sénégal.
Je lui dis, ici, que ses ennemis s’appellent la chienlit, la détérioration du pouvoir d’achat des Sénégalais laissés pour compte. Mais aussi, les mensonges et rapports maquillés provenant de son entourage. Il doit s’en rendre compte avant qu’il ne soit trop tard. Il devra, surtout, éviter les intrigants qui dépeignent tous ceux qu’ils voudraient écarter en rapportant des mensonges au point de transformer son régime en « craintocratie ».
AHMED KHALIFA NIASSE
Dés l’avènement de notre quatrième Président de la République, les relations Etat-Confréries se sont métamorphosées, en perdant des couleurs. La déflation s’est installée, aggravée par une situation où l’Etat se trouve en cessation de paiement. Un retard important dans le paiement des fournisseurs et différents prestataires. Le Trésor étant devenu le nouveau Mur des Lamentations des opérateurs économiques. L’Etat va jusqu’à accumuler plus de deux ans d’arriérés
de loyer.
L’hermétisme est un concept commun aux personnes qui exercent le pouvoir dont les portes ne sont ouvertes qu’aux lutteurs et autres amuseurs publiques.
Tout renvoie à l’idée de « Tongtongisme », mot wolof lié à la gabegie d’un groupe cloîtré. Le symbole de cette situation est la réapparition, après plusieurs années, du billet de 500F. En d’autres termes, une atmosphère de tohu-bohu dans laquelle des média jouent les tristes rôles de guignols. Tellement les plumes sont commanditées, même si elles font dans la non qualité.
Le château de cartes que constitue le BBY va vau-l’eau. Au gré du temps, au gré du vent.
Pourtant un homme travaille en sourdine, réfléchit, fréquente le petit peuple, visite le Sénégal des profondeurs. Bâtisseur de routes, de ponts, d’écoles, d’universités, d’hôpitaux, de ports de ceci ou de cela. Réduit le poids des impôts sur les petits salaires et les privilèges des hauts fonctionnaires. Son action est tellement empreinte de sérieux qu’il devrait, peut-être, ne serait-ce qu’un instant, se rendre à l’école du sourire. J’ai nommé l’El Hadjissime Macky Sall, Président de la République du Sénégal.
Je lui dis, ici, que ses ennemis s’appellent la chienlit, la détérioration du pouvoir d’achat des Sénégalais laissés pour compte. Mais aussi, les mensonges et rapports maquillés provenant de son entourage. Il doit s’en rendre compte avant qu’il ne soit trop tard. Il devra, surtout, éviter les intrigants qui dépeignent tous ceux qu’ils voudraient écarter en rapportant des mensonges au point de transformer son régime en « craintocratie ».
AHMED KHALIFA NIASSE
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