Il y a aujourd'hui un débat entre plusieurs approches morales pour
tenter de définir comment doit être une femme dans son ménage.
Cette notion est donc subjective et n'a pas de définition unique.
Comme souvent, l'idéologie prime et détermine ce qui doit être la
norme de représentation de la femme idéale.
Mais il est étrange que ce soient ces femmes qui ont divorcés mainte
et une fois dans leur vie trouble qui nous donne des conseils et
leçons de couple, de ménage…. Ces même femmes (artiste-chanteur la
plupart du temps) qui changent de marie tout les ans, ou tous les deux
ans qui nous disent comment garder son marie, comment faire pour
sauver son couple, comment être une bonne femme au foyer… On nous
parle de féém, djiguéne Djiongué, mbeuguél nii naa, yow rék làà… alors
qu’elles même ne peuvent garder un homme pendant 12 mois… C’est
contradictoire et sans aucun sens.
Et pourtant, leurs chansons ont autant de sucées auprès des hommes,
comme des femmes qui n’hésitent pas à les paraphraser avec fierté…
Mais alors, c’est tout logique que la quantité des demandes de divorce
inonde la table du procureur, dans la mesure où nous copions l’échec.
Ce qui est encore triste, c’est que ces chanteuses, la majorité, ne
croient même pas à leur beau et joli discourt d’amour, ça s’arrêt au
bout de leurs lèvres. Se serait nul et utopique de croire en leurs
jolis mots qui font chaud au cœur parfois, et qui riment bien au bruit
du tamtam, du piano, et de la guitare.
« Kouy Diiglé Thiangaye, na féék gua séét wéth ! »
J’estime qu’il est urgent et extrêmement important de juger les
effets nuisibles que peut causer un mot. J’ai entendu des maris se
plaindre auprès de leur femme en leur reprochant de ne pas faire ce
que dit la chanteuse dans sa chanson, et ainsi semer dans ce couple
une frustration chez les deux partis, alors que cette chanteuse qui se
dit être Djiongué a été aussi nul que mauvaise dans son mariage qui a
durée à peine une année. Ainsi, l’auditeur se doit de réfléchir,
d’être intelligent et savoir repérer le bien et le mal, le vrai du
faux, l’utile et l’accessoire dans leurs chansons.
Alors, et ce sera ma conclusion, mon seul conseil pour être cette
femme parfaite, idéale… dans son rôle naturel qui est un rôle de
maternité, au sens large du terme, peut agir de manière très vaste, et
mon unique exemple à moi est MAME DIARRA Bousso, un modèle achevé de
la femme parfaite. C’est important d'être beau, dans la vie. Quand on
est beau, tout le monde vous aime. Mais je ne parle pas seulement de
la beauté extérieure, mais aussi de cette beauté du cœur et de l’âme.
Abdoulaye NDAO
abdoulayendao@gmail.com
tenter de définir comment doit être une femme dans son ménage.
Cette notion est donc subjective et n'a pas de définition unique.
Comme souvent, l'idéologie prime et détermine ce qui doit être la
norme de représentation de la femme idéale.
Mais il est étrange que ce soient ces femmes qui ont divorcés mainte
et une fois dans leur vie trouble qui nous donne des conseils et
leçons de couple, de ménage…. Ces même femmes (artiste-chanteur la
plupart du temps) qui changent de marie tout les ans, ou tous les deux
ans qui nous disent comment garder son marie, comment faire pour
sauver son couple, comment être une bonne femme au foyer… On nous
parle de féém, djiguéne Djiongué, mbeuguél nii naa, yow rék làà… alors
qu’elles même ne peuvent garder un homme pendant 12 mois… C’est
contradictoire et sans aucun sens.
Et pourtant, leurs chansons ont autant de sucées auprès des hommes,
comme des femmes qui n’hésitent pas à les paraphraser avec fierté…
Mais alors, c’est tout logique que la quantité des demandes de divorce
inonde la table du procureur, dans la mesure où nous copions l’échec.
Ce qui est encore triste, c’est que ces chanteuses, la majorité, ne
croient même pas à leur beau et joli discourt d’amour, ça s’arrêt au
bout de leurs lèvres. Se serait nul et utopique de croire en leurs
jolis mots qui font chaud au cœur parfois, et qui riment bien au bruit
du tamtam, du piano, et de la guitare.
« Kouy Diiglé Thiangaye, na féék gua séét wéth ! »
J’estime qu’il est urgent et extrêmement important de juger les
effets nuisibles que peut causer un mot. J’ai entendu des maris se
plaindre auprès de leur femme en leur reprochant de ne pas faire ce
que dit la chanteuse dans sa chanson, et ainsi semer dans ce couple
une frustration chez les deux partis, alors que cette chanteuse qui se
dit être Djiongué a été aussi nul que mauvaise dans son mariage qui a
durée à peine une année. Ainsi, l’auditeur se doit de réfléchir,
d’être intelligent et savoir repérer le bien et le mal, le vrai du
faux, l’utile et l’accessoire dans leurs chansons.
Alors, et ce sera ma conclusion, mon seul conseil pour être cette
femme parfaite, idéale… dans son rôle naturel qui est un rôle de
maternité, au sens large du terme, peut agir de manière très vaste, et
mon unique exemple à moi est MAME DIARRA Bousso, un modèle achevé de
la femme parfaite. C’est important d'être beau, dans la vie. Quand on
est beau, tout le monde vous aime. Mais je ne parle pas seulement de
la beauté extérieure, mais aussi de cette beauté du cœur et de l’âme.
Abdoulaye NDAO
abdoulayendao@gmail.com
Il y a aujourd'hui un débat entre plusieurs approches morales pour
tenter de définir comment doit être une femme dans son ménage.
Cette notion est donc subjective et n'a pas de définition unique.
Comme souvent, l'idéologie prime et détermine ce qui doit être la
norme de représentation de la femme idéale.
Mais il est étrange que ce soient ces femmes qui ont divorcés mainte
et une fois dans leur vie trouble qui nous donne des conseils et
leçons de couple, de ménage…. Ces même femmes (artiste-chanteur la
plupart du temps) qui changent de marie tout les ans, ou tous les deux
ans qui nous disent comment garder son marie, comment faire pour
sauver son couple, comment être une bonne femme au foyer… On nous
parle de féém, djiguéne Djiongué, mbeuguél nii naa, yow rék làà… alors
qu’elles même ne peuvent garder un homme pendant 12 mois… C’est
contradictoire et sans aucun sens.
Et pourtant, leurs chansons ont autant de sucées auprès des hommes,
comme des femmes qui n’hésitent pas à les paraphraser avec fierté…
Mais alors, c’est tout logique que la quantité des demandes de divorce
inonde la table du procureur, dans la mesure où nous copions l’échec.
Ce qui est encore triste, c’est que ces chanteuses, la majorité, ne
croient même pas à leur beau et joli discourt d’amour, ça s’arrêt au
bout de leurs lèvres. Se serait nul et utopique de croire en leurs
jolis mots qui font chaud au cœur parfois, et qui riment bien au bruit
du tamtam, du piano, et de la guitare.
« Kouy Diiglé Thiangaye, na féék gua séét wéth ! »
J’estime qu’il est urgent et extrêmement important de juger les
effets nuisibles que peut causer un mot. J’ai entendu des maris se
plaindre auprès de leur femme en leur reprochant de ne pas faire ce
que dit la chanteuse dans sa chanson, et ainsi semer dans ce couple
une frustration chez les deux partis, alors que cette chanteuse qui se
dit être Djiongué a été aussi nul que mauvaise dans son mariage qui a
durée à peine une année. Ainsi, l’auditeur se doit de réfléchir,
d’être intelligent et savoir repérer le bien et le mal, le vrai du
faux, l’utile et l’accessoire dans leurs chansons.
Alors, et ce sera ma conclusion, mon seul conseil pour être cette
femme parfaite, idéale… dans son rôle naturel qui est un rôle de
maternité, au sens large du terme, peut agir de manière très vaste, et
mon unique exemple à moi est MAME DIARRA Bousso, un modèle achevé de
la femme parfaite. C’est important d'être beau, dans la vie. Quand on
est beau, tout le monde vous aime. Mais je ne parle pas seulement de
la beauté extérieure, mais aussi de cette beauté du cœur et de l’âme.
Abdoulaye NDAO
abdoulayendao@gmail.com
http://abdoulayendao.over-blog.com
tenter de définir comment doit être une femme dans son ménage.
Cette notion est donc subjective et n'a pas de définition unique.
Comme souvent, l'idéologie prime et détermine ce qui doit être la
norme de représentation de la femme idéale.
Mais il est étrange que ce soient ces femmes qui ont divorcés mainte
et une fois dans leur vie trouble qui nous donne des conseils et
leçons de couple, de ménage…. Ces même femmes (artiste-chanteur la
plupart du temps) qui changent de marie tout les ans, ou tous les deux
ans qui nous disent comment garder son marie, comment faire pour
sauver son couple, comment être une bonne femme au foyer… On nous
parle de féém, djiguéne Djiongué, mbeuguél nii naa, yow rék làà… alors
qu’elles même ne peuvent garder un homme pendant 12 mois… C’est
contradictoire et sans aucun sens.
Et pourtant, leurs chansons ont autant de sucées auprès des hommes,
comme des femmes qui n’hésitent pas à les paraphraser avec fierté…
Mais alors, c’est tout logique que la quantité des demandes de divorce
inonde la table du procureur, dans la mesure où nous copions l’échec.
Ce qui est encore triste, c’est que ces chanteuses, la majorité, ne
croient même pas à leur beau et joli discourt d’amour, ça s’arrêt au
bout de leurs lèvres. Se serait nul et utopique de croire en leurs
jolis mots qui font chaud au cœur parfois, et qui riment bien au bruit
du tamtam, du piano, et de la guitare.
« Kouy Diiglé Thiangaye, na féék gua séét wéth ! »
J’estime qu’il est urgent et extrêmement important de juger les
effets nuisibles que peut causer un mot. J’ai entendu des maris se
plaindre auprès de leur femme en leur reprochant de ne pas faire ce
que dit la chanteuse dans sa chanson, et ainsi semer dans ce couple
une frustration chez les deux partis, alors que cette chanteuse qui se
dit être Djiongué a été aussi nul que mauvaise dans son mariage qui a
durée à peine une année. Ainsi, l’auditeur se doit de réfléchir,
d’être intelligent et savoir repérer le bien et le mal, le vrai du
faux, l’utile et l’accessoire dans leurs chansons.
Alors, et ce sera ma conclusion, mon seul conseil pour être cette
femme parfaite, idéale… dans son rôle naturel qui est un rôle de
maternité, au sens large du terme, peut agir de manière très vaste, et
mon unique exemple à moi est MAME DIARRA Bousso, un modèle achevé de
la femme parfaite. C’est important d'être beau, dans la vie. Quand on
est beau, tout le monde vous aime. Mais je ne parle pas seulement de
la beauté extérieure, mais aussi de cette beauté du cœur et de l’âme.
Abdoulaye NDAO
abdoulayendao@gmail.com
http://abdoulayendao.over-blog.com