Depuis mardi, le nombre de visiteurs a augmenté. L’affluence est visible aussi bien à l’intérieur du CICES qu’à la sortie. Les embouteillages se sont multipliés sur la Voie de dégagement nord (VDN), jouxtant la foire.
Amadou Diop, un visiteur lambda, est venu acheter des objets ou autres effets à moindre coût. A l’ouverture de la foire, dit-il, les salaires de fin de mois n’étaient pas encore payés, justifiant l’absence de ‘’véritable rush’’.
‘’Le Sénégalais est tellement fier qu’il ne va pas se permettre de visiter la foire sans argent, d’autant plus que la plus part y va en famille. Ce qui n’est pas possible avant le virement des salaires’’, ajoute-t-il.
Entrepreneur, Diègane Ndiaye, soutient que la foire est une occasion de faire des affaires avec les entreprises étrangères spécialisées dans le Bâtiment et travaux publics (BTP).
Depuis 1980, il n’a jamais raté une édition. ‘’C’est un moment propice pour découvrir de nouvelles trouvailles, mais aussi de nouer des contacts avec les exposants dans l’expectative de ses déplacements d’affaires hors du pays’’.
Son cas est différent d’autres qui sont obligés d’attendre d’avoir de l’argent pour, ponctuellement, acheter, soit des denrées de consommation ou des objets à caractère ménagers.
L’affluence des visiteurs à la FIDAK, est également l’affaire des élèves, collégiens et des étudiants qui viennent soit en groupe soit en visites organisées par les établissements scolaires.
‘’Lorsqu’on a su, par la télévision, qu’il y avait une maison de la presse à la foire, nous nous sommes dit que c’est une occasion pour nous d’avoir des informations’’, dit élève en classe de 1-ère au Collège Madièye Sall, Rachel Diop.
‘’Nous avons un projet pour la création d’un bulletin pour notre école et nous nous sommes dit que nous aurions des informations ici. C’est pourquoi nous sommes venus rencontrer les journalistes qui, par ailleurs, nous ont bien accueillis et informés’’, signale Rachel.
Pour ces élèves du collège Madièye Sall, la visite de la foire est motivée par un but spécifique. Par contre, Malick Faye, enseignant du primaire à Cambérène, est venu uniquement faire découvrir la foire à ses élèves.
‘’La foire constitue des moments de détente et de découverte intenses pour les élèves qui en font un sujet de conversations’’, note l’enseignant qui précise que cette visite peut être un sujet de rédaction en classe.
Dans ce lot de visiteurs remplissant les stands de la foire, les commerçants, vendeurs d’occasions, rabatteurs et autres gargotiers font des affaires avec de ces 12 jours.
En 7 jours de foire, 40.000 entrées avaient été enregistrées, engendrant des recettes de plus de 15 millions de FCFA, selon le Directeur général du Centre international du commerce extérieur du Sénégal (CICES), Baïdy Souleymane Ndiaye.
LTF/SAB
Amadou Diop, un visiteur lambda, est venu acheter des objets ou autres effets à moindre coût. A l’ouverture de la foire, dit-il, les salaires de fin de mois n’étaient pas encore payés, justifiant l’absence de ‘’véritable rush’’.
‘’Le Sénégalais est tellement fier qu’il ne va pas se permettre de visiter la foire sans argent, d’autant plus que la plus part y va en famille. Ce qui n’est pas possible avant le virement des salaires’’, ajoute-t-il.
Entrepreneur, Diègane Ndiaye, soutient que la foire est une occasion de faire des affaires avec les entreprises étrangères spécialisées dans le Bâtiment et travaux publics (BTP).
Depuis 1980, il n’a jamais raté une édition. ‘’C’est un moment propice pour découvrir de nouvelles trouvailles, mais aussi de nouer des contacts avec les exposants dans l’expectative de ses déplacements d’affaires hors du pays’’.
Son cas est différent d’autres qui sont obligés d’attendre d’avoir de l’argent pour, ponctuellement, acheter, soit des denrées de consommation ou des objets à caractère ménagers.
L’affluence des visiteurs à la FIDAK, est également l’affaire des élèves, collégiens et des étudiants qui viennent soit en groupe soit en visites organisées par les établissements scolaires.
‘’Lorsqu’on a su, par la télévision, qu’il y avait une maison de la presse à la foire, nous nous sommes dit que c’est une occasion pour nous d’avoir des informations’’, dit élève en classe de 1-ère au Collège Madièye Sall, Rachel Diop.
‘’Nous avons un projet pour la création d’un bulletin pour notre école et nous nous sommes dit que nous aurions des informations ici. C’est pourquoi nous sommes venus rencontrer les journalistes qui, par ailleurs, nous ont bien accueillis et informés’’, signale Rachel.
Pour ces élèves du collège Madièye Sall, la visite de la foire est motivée par un but spécifique. Par contre, Malick Faye, enseignant du primaire à Cambérène, est venu uniquement faire découvrir la foire à ses élèves.
‘’La foire constitue des moments de détente et de découverte intenses pour les élèves qui en font un sujet de conversations’’, note l’enseignant qui précise que cette visite peut être un sujet de rédaction en classe.
Dans ce lot de visiteurs remplissant les stands de la foire, les commerçants, vendeurs d’occasions, rabatteurs et autres gargotiers font des affaires avec de ces 12 jours.
En 7 jours de foire, 40.000 entrées avaient été enregistrées, engendrant des recettes de plus de 15 millions de FCFA, selon le Directeur général du Centre international du commerce extérieur du Sénégal (CICES), Baïdy Souleymane Ndiaye.
LTF/SAB