Qui est Idrissa Seck ? Ce nom on ne peut plus clair divise les Sénégalais férus de politique jusqu’à la moelle, disons tous les Sénégalais parce que dans ce bled tout est politique et tout se ramène à la politique. Il désarçonne et clive mettant toutes celles et tous ceux qui le soutiennent dans un embarras total et un suspens sans issue. Avec lui, une impression de se dire, « diantre, où va ce bonhomme ?» Ne sachant plus sur quel pied danser, il ne reste qu’à entonner une parade nuptiale. Finalement la politique a de beaux jours dans notre pays.
Abreuvé de politique, le Sénégalais a la parlotte facile et est moins enclin à l’action. La politique depuis l’époque des grecs a retrouvé ses lettres de noblesse dans ce Sénégal que nous connaissons. Faire de la politique est devenu sous nos cieux un marché très prospère. Cela est bancable et rapporte gros. Le temps de l’éclosion métaphorique ; le politique à l’image du chasseur ne rentre jamais bredouille. Le gibier est toujours à portée de main. Mais allô, nous sommes où là ?
L’ex Premier ministre sous Wade, ayant fait les beaux jours de la primature du temps de sa splendeur et d’après le cancan ambiant cher aux sénégalais a changé de fusil d’épaule confessionnel. Ce qui se dit en tous les cas. Idrissa est devenu un mouride et tant mieux pour lui et pour sa liberté de conscience. Ce que le mollah de la presse sénégalaise répète à qui veut l’entendre. Clin d’œil à ce sacré artiste. Homme véridique qui ne crache que la vérité pour les uns et un pire charlatan narcissique pour les autres toujours à la recherche de son Graal. Sacré pays ! Petit de par sa taille et grand de par ses Hommes qui le façonnent. Décidément la politique rythme la vie de tous les jours.
En effet, Idrissa Seck veut retrouver sa grandeur d’antan et il est prêt à tout, même à monnayer son âme avec le diable, oups ! Ce que dit une certaine presse abonnée au bal des courtisans du palais de l’avenue Léopold Sédar Senghor. Et tout y passe, quolibets et invectives. Même la fameuse épidémie Ebola qu’il affabule à son ennemi juré de président et qui continue de décimer les populations de l’Afrique de l’ouest passe dans les propos de celui qui se voit comme le seul opposant crédible du président Macky Sall. A juste titre, voulant occuper sempiternellement le devant de la scène politique, Idy jette le discrédit sur lui et verse dès fois dans le ridicule. Ceux qui le connaissent savent que la bête politique préfère la lumière à l’ombre. Il ne rendra pas de sitôt son tablier et il s’y accrochera jusqu’à son dernier souffle.
Qu’elle est belle cette politique qui nous tient en haleine quand on en parle ! Toute honte bue ou je ne sais quoi dire, Idrissa Seck peut du jour au lendemain changer de cap sans consulter personne. Ce qui lui a valu des diatribes du peuple sénégalais et cela lui a coûté cher et continue de lui coûter cher. Tout est calcul politique chez cet homme au sourire affable et à l’érudition qui suinte. Fin stratège. Effectivement l’ancien président Wade disait à ses lieutenants que ce dernier est celui qui lui ressemble le plus. Ne nous hâtons pas sur cette assertion et allons voir ailleurs. Le regard est dans le clair-obscur.
En effet, beaucoup de Sénégalais pensent que le président du Conseil départemental de Thiès, est en train de s’enterrer politiquement. Mon œil me dit non. Il lui suffit d’une sortie dans la presse et les langues chauffées à blanc se délient. Il se positionne pour 2017 nonobstant les écueils qui se dresseront sur son chemin. Il n’en a cure. Il trace et advienne que pourra. Faisons de cette phrase une leçon de vie politique, Idrissa Seck de même que Macky Sall pensent à 2017 quand ils se rasent tous les matins.
Admettons que Macky Sall s’est levé de bon pied et aussi de mauvais pied depuis belle lurette pour sa réélection. Un second mandat, avouons que cela sera dur pour le locataire du Palais toujours entouré de sa kyrielle de louangeurs et de troubadours. Ce qui a coûté à Wade risque de coûter cher à Macky Sall. On ne gère pas une République comme on gère une cour. La République ne doit être ni bananière et encore moins une pétaudière. Dirait-on que le roi serait borgne ou aveugle ou serait-il dans une incapacité notoire de gouverner ? Allez demander cela à Mbagnik Ndiaye, ce saltimbanque gaffeur. Cela se susurre mais se dit tout haut dans certains milieux. Pourtant, à scruter Macky Sall, nous avons une impression qu’il a une envie de se retrousser les manches ?
On dirait que Wade avec ses wadaillons sont passés par là. Il a les mains liées voire un prisonnier du système. Et dire qu’Idrissa Seck ne lui facilitera jamais le travail et oui c’est cela le travail de l’opposant. La belle démocratie que nous réclamons tant doit être dotée d’une opposition forte et moins versatile. Toujours dans le feu de l’action et ne pas perdre la bataille du terrain sont les crédos d’une grande bataille électorale qui se jouera à l’horizon. La guerre de Troie aura bel et bien lieu et que dire des autres candidats qui commencent à montrer leur bout de nez. Et que dire de la probable candidature de Karim Wade encore dans le gnouf? Sortira-t-il ou ne sortira-t-il pas ? Qui sait ? Encore une grosse épine dans la semelle de Macky Sall et une équation à deux inconnues pour Idrissa Seck, alias nama Kadior.
POUYE Ibra
Abreuvé de politique, le Sénégalais a la parlotte facile et est moins enclin à l’action. La politique depuis l’époque des grecs a retrouvé ses lettres de noblesse dans ce Sénégal que nous connaissons. Faire de la politique est devenu sous nos cieux un marché très prospère. Cela est bancable et rapporte gros. Le temps de l’éclosion métaphorique ; le politique à l’image du chasseur ne rentre jamais bredouille. Le gibier est toujours à portée de main. Mais allô, nous sommes où là ?
L’ex Premier ministre sous Wade, ayant fait les beaux jours de la primature du temps de sa splendeur et d’après le cancan ambiant cher aux sénégalais a changé de fusil d’épaule confessionnel. Ce qui se dit en tous les cas. Idrissa est devenu un mouride et tant mieux pour lui et pour sa liberté de conscience. Ce que le mollah de la presse sénégalaise répète à qui veut l’entendre. Clin d’œil à ce sacré artiste. Homme véridique qui ne crache que la vérité pour les uns et un pire charlatan narcissique pour les autres toujours à la recherche de son Graal. Sacré pays ! Petit de par sa taille et grand de par ses Hommes qui le façonnent. Décidément la politique rythme la vie de tous les jours.
En effet, Idrissa Seck veut retrouver sa grandeur d’antan et il est prêt à tout, même à monnayer son âme avec le diable, oups ! Ce que dit une certaine presse abonnée au bal des courtisans du palais de l’avenue Léopold Sédar Senghor. Et tout y passe, quolibets et invectives. Même la fameuse épidémie Ebola qu’il affabule à son ennemi juré de président et qui continue de décimer les populations de l’Afrique de l’ouest passe dans les propos de celui qui se voit comme le seul opposant crédible du président Macky Sall. A juste titre, voulant occuper sempiternellement le devant de la scène politique, Idy jette le discrédit sur lui et verse dès fois dans le ridicule. Ceux qui le connaissent savent que la bête politique préfère la lumière à l’ombre. Il ne rendra pas de sitôt son tablier et il s’y accrochera jusqu’à son dernier souffle.
Qu’elle est belle cette politique qui nous tient en haleine quand on en parle ! Toute honte bue ou je ne sais quoi dire, Idrissa Seck peut du jour au lendemain changer de cap sans consulter personne. Ce qui lui a valu des diatribes du peuple sénégalais et cela lui a coûté cher et continue de lui coûter cher. Tout est calcul politique chez cet homme au sourire affable et à l’érudition qui suinte. Fin stratège. Effectivement l’ancien président Wade disait à ses lieutenants que ce dernier est celui qui lui ressemble le plus. Ne nous hâtons pas sur cette assertion et allons voir ailleurs. Le regard est dans le clair-obscur.
En effet, beaucoup de Sénégalais pensent que le président du Conseil départemental de Thiès, est en train de s’enterrer politiquement. Mon œil me dit non. Il lui suffit d’une sortie dans la presse et les langues chauffées à blanc se délient. Il se positionne pour 2017 nonobstant les écueils qui se dresseront sur son chemin. Il n’en a cure. Il trace et advienne que pourra. Faisons de cette phrase une leçon de vie politique, Idrissa Seck de même que Macky Sall pensent à 2017 quand ils se rasent tous les matins.
Admettons que Macky Sall s’est levé de bon pied et aussi de mauvais pied depuis belle lurette pour sa réélection. Un second mandat, avouons que cela sera dur pour le locataire du Palais toujours entouré de sa kyrielle de louangeurs et de troubadours. Ce qui a coûté à Wade risque de coûter cher à Macky Sall. On ne gère pas une République comme on gère une cour. La République ne doit être ni bananière et encore moins une pétaudière. Dirait-on que le roi serait borgne ou aveugle ou serait-il dans une incapacité notoire de gouverner ? Allez demander cela à Mbagnik Ndiaye, ce saltimbanque gaffeur. Cela se susurre mais se dit tout haut dans certains milieux. Pourtant, à scruter Macky Sall, nous avons une impression qu’il a une envie de se retrousser les manches ?
On dirait que Wade avec ses wadaillons sont passés par là. Il a les mains liées voire un prisonnier du système. Et dire qu’Idrissa Seck ne lui facilitera jamais le travail et oui c’est cela le travail de l’opposant. La belle démocratie que nous réclamons tant doit être dotée d’une opposition forte et moins versatile. Toujours dans le feu de l’action et ne pas perdre la bataille du terrain sont les crédos d’une grande bataille électorale qui se jouera à l’horizon. La guerre de Troie aura bel et bien lieu et que dire des autres candidats qui commencent à montrer leur bout de nez. Et que dire de la probable candidature de Karim Wade encore dans le gnouf? Sortira-t-il ou ne sortira-t-il pas ? Qui sait ? Encore une grosse épine dans la semelle de Macky Sall et une équation à deux inconnues pour Idrissa Seck, alias nama Kadior.
POUYE Ibra