C’est la surprise du tournoi olympique de football. L’Espagne, l’un des deux grands favoris avec le Brésil, est déjà éliminée après deux revers en deux matches, le dernier hier contre le Honduras (1-0). Et forcément, dans un pays habitué à tout rafler balle au pied ces dernières années, la presse vit plutôt mal cette défaite retentissante. Mundo Deportivo, Super Deporte, ou encore Sport regrettent cet « Échec olympique » retentissant. Estadio Deportivo y va même de son « Fiasco olympique », le tout en une bien entendu.
El Mundo résume froidement la soirée : « l’Espagne rentre à la maison avant même la fin du premier tour ». Le quotidien généraliste regrette que la Rojita n’ait pas affiché « son véritable visage », produisant « un football dénaturé » et affichant « un niveau physique trop juste ». Marca partage cette immense déception : « Désenchantement olympique ». La publication sportive considère que la formation emmenée par Luis Milla ne peut se cacher derrière les évènements pour expliquer cette désillusion.
« Les deux penalties non sifflés et les trois poteaux ne suffisent pas à justifier la débâcle », peut-on lire. Une position que ne partage pas l’autre journal sportif madrilène As. « Indignés ! », titre-t-il en une, en référence à l’arbitrage limite du Vénézuélien Soto. Mata, Alba, De Gea, Martinez, Muniain, Adrian ou encore Rodrigo, leaders de cette équipe, n’ont pas su répondre aux attentes. Sauront-ils se relever de ce cuisant échec pour aider un jour les A à rester sur les chemins de la gloire ?
Alexis Pereira
El Mundo résume froidement la soirée : « l’Espagne rentre à la maison avant même la fin du premier tour ». Le quotidien généraliste regrette que la Rojita n’ait pas affiché « son véritable visage », produisant « un football dénaturé » et affichant « un niveau physique trop juste ». Marca partage cette immense déception : « Désenchantement olympique ». La publication sportive considère que la formation emmenée par Luis Milla ne peut se cacher derrière les évènements pour expliquer cette désillusion.
« Les deux penalties non sifflés et les trois poteaux ne suffisent pas à justifier la débâcle », peut-on lire. Une position que ne partage pas l’autre journal sportif madrilène As. « Indignés ! », titre-t-il en une, en référence à l’arbitrage limite du Vénézuélien Soto. Mata, Alba, De Gea, Martinez, Muniain, Adrian ou encore Rodrigo, leaders de cette équipe, n’ont pas su répondre aux attentes. Sauront-ils se relever de ce cuisant échec pour aider un jour les A à rester sur les chemins de la gloire ?
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