L’Asef dirigé par le président lamine Ndiaye, a fait savoir aux journalistes qui voulaient assister à l’entrainement, par le biais de son trésorier, qu’ils étaient indésirables dans l’écurie et ce, jusqu’à nouvel ordre. Et le gars de les intercepter avant qu’ils n’accèdent aux dirigeants de l’écurie pour leur dire : « nous sommes désolés mais désormais, vous ne pouvais plus prendre des photos ou réaliser des interviews avec les lutteurs ».
Et pour quels motifs ? « Il en a été décidé ainsi non pas par les dirigeants de l’écurie ou les lutteurs que vous ne pouvez approcher, mais plus tôt par nous, l’Asef. Nous nous sommes concertés et avons décidé d’exclure la presse de nos séances d’entrainements jusqu’au nouvel ordre. Plus de photo, plus d’interviews. Et l’encadrement technique ne peut pas changer cette décision puisqu’il nous laisse gérer librement », a déclaré le gars qui s’est voulu ferme mais très ferme, selon Sunu Lamb repris par Leral.
Et pour quels motifs ? « Il en a été décidé ainsi non pas par les dirigeants de l’écurie ou les lutteurs que vous ne pouvez approcher, mais plus tôt par nous, l’Asef. Nous nous sommes concertés et avons décidé d’exclure la presse de nos séances d’entrainements jusqu’au nouvel ordre. Plus de photo, plus d’interviews. Et l’encadrement technique ne peut pas changer cette décision puisqu’il nous laisse gérer librement », a déclaré le gars qui s’est voulu ferme mais très ferme, selon Sunu Lamb repris par Leral.