«Globalement, nous en sommes au statut quo en ce qui concerne la presse au Sénégal. Le contexte reste toujours marqué par ce que je peux appeler une animosité entre le pouvoir et la presse en général. Mais j’aimerais différencier deux choses : la liberté de presse en tant que telle et les menaces et intimidations sur la presse d’autre part», a-t-elle indiqué.
Mme Badiane s’exprimait sur les ondes de radio Sénégal (publique) à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse.
«Je pense que globalement, la presse sénégalaise reste quand même une presse libre. Nous avons la possibilité d’écrire ce que nous voulons, nous avons la possibilité de titrer sur ce que nous voulons sans casse quand même, il faut le reconnaître», a t-elle ajouté.
La secrétaire générale du Synpics a soutenu qu’elle «reste persuadée que ce qui se dit au Sénégal, ne peut pas se dire par exemple dans un pays voisin ». Elle en conclut que la presse sénégalaise reste libre.
«Maintenant, c’est sur, il y a à côté, les intimidations, les tentatives de diabolisation de la presse. Je veux dire que ces menaces et intimidations n’ont pas encore un impact décisif, allant dans le sens de contraindre la presse à moins de liberté», a-t-elle indiqué.
Mme Badiane s’exprimait sur les ondes de radio Sénégal (publique) à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse.
«Je pense que globalement, la presse sénégalaise reste quand même une presse libre. Nous avons la possibilité d’écrire ce que nous voulons, nous avons la possibilité de titrer sur ce que nous voulons sans casse quand même, il faut le reconnaître», a t-elle ajouté.
La secrétaire générale du Synpics a soutenu qu’elle «reste persuadée que ce qui se dit au Sénégal, ne peut pas se dire par exemple dans un pays voisin ». Elle en conclut que la presse sénégalaise reste libre.
«Maintenant, c’est sur, il y a à côté, les intimidations, les tentatives de diabolisation de la presse. Je veux dire que ces menaces et intimidations n’ont pas encore un impact décisif, allant dans le sens de contraindre la presse à moins de liberté», a-t-elle indiqué.