Le combat prévu dimanche entre Modou Lo et Lac de Guiers 2, deux mastodontes de la lutte sénégalaise, doit servir à relancer cette discipline qui a connu des moments difficiles au cours de la saison dernière.
En 2016-2017, les amateurs de lutte n’ont pas eu droit à de grandes affiches.
La fermeture du stade Demba-Diop à la suite d’un drame survenu le 15 juillet dernier, lors de la finale de la Coupe de la Ligue de football, avec huit personnes tuées, a précipité la clôture de la saison de lutte 2016-2017.
Bien avant ce drame, les organisateurs des combats de lutte tardaient à mobiliser les annonceurs indispensables au montage des grandes affiches.
En se faisant ouvrir le stade Léopold-Sédar-Senghor, l’unique stade dakarois répondant aux normes internationales, mais aussi la plus grande enceinte sportive du pays, la lutte avec frappe est assurée d’être à la fête dimanche.
Il ne s’agira pas pour les deux lutteurs, Modou Lo et Lac de Guiers 2, d’être seulement vus des milliers de supporters et téléspectateurs. Ils devront aussi donner une belle image de cette discipline qu’il faut relancer. Pour ce faire, ils doivent faire preuve de fair-play, de sportivité.
Les amateurs suivront avec beaucoup d’intérêt ce combat de lutte, une discipline dont l’image a souvent été souillée par les écarts de conduite d’énergumènes se regroupant autour de "fans clubs", des comités de supporters.
Modou Lô, un grand champion, est certainement l’un des lutteurs les plus adulés du pays. Il aura intérêt à procurer de la satisfaction à ses supporters, dont certains le voient déjà sur le trône de la lutte avec frappe.
Certains observateurs de la discipline voyaient sa taille et son poids comme un handicap, mais Modou Lö a réussi à se faire une place au soleil.
Malgré quelques revers, il est revenu pour s’installer dans l’antichambre des meilleurs, après ses victoires nettes et sans bavure, respectivement contre Eumeu Sène, en janvier 2014, et Gris Bordeaux, en 2016.
Lac de Guiers 2 n’a pas la popularité du "Roc des Parcelles Assainies". Mais il fait partie des rares lutteurs sénégalais à avoir fait mordre la poussière au roi Yekini, preuve s’il en est de son savoir-faire dans ce sport.
Les deux adversaires seront des partenaires pour la belle image de la lutte avec frappe.
APS
En 2016-2017, les amateurs de lutte n’ont pas eu droit à de grandes affiches.
La fermeture du stade Demba-Diop à la suite d’un drame survenu le 15 juillet dernier, lors de la finale de la Coupe de la Ligue de football, avec huit personnes tuées, a précipité la clôture de la saison de lutte 2016-2017.
Bien avant ce drame, les organisateurs des combats de lutte tardaient à mobiliser les annonceurs indispensables au montage des grandes affiches.
En se faisant ouvrir le stade Léopold-Sédar-Senghor, l’unique stade dakarois répondant aux normes internationales, mais aussi la plus grande enceinte sportive du pays, la lutte avec frappe est assurée d’être à la fête dimanche.
Il ne s’agira pas pour les deux lutteurs, Modou Lo et Lac de Guiers 2, d’être seulement vus des milliers de supporters et téléspectateurs. Ils devront aussi donner une belle image de cette discipline qu’il faut relancer. Pour ce faire, ils doivent faire preuve de fair-play, de sportivité.
Les amateurs suivront avec beaucoup d’intérêt ce combat de lutte, une discipline dont l’image a souvent été souillée par les écarts de conduite d’énergumènes se regroupant autour de "fans clubs", des comités de supporters.
Modou Lô, un grand champion, est certainement l’un des lutteurs les plus adulés du pays. Il aura intérêt à procurer de la satisfaction à ses supporters, dont certains le voient déjà sur le trône de la lutte avec frappe.
Certains observateurs de la discipline voyaient sa taille et son poids comme un handicap, mais Modou Lö a réussi à se faire une place au soleil.
Malgré quelques revers, il est revenu pour s’installer dans l’antichambre des meilleurs, après ses victoires nettes et sans bavure, respectivement contre Eumeu Sène, en janvier 2014, et Gris Bordeaux, en 2016.
Lac de Guiers 2 n’a pas la popularité du "Roc des Parcelles Assainies". Mais il fait partie des rares lutteurs sénégalais à avoir fait mordre la poussière au roi Yekini, preuve s’il en est de son savoir-faire dans ce sport.
Les deux adversaires seront des partenaires pour la belle image de la lutte avec frappe.
APS