Invité au sommet de la francophonie, Me Abdoulaye Wade répond par la négation. Il écrit : « Comment voulez-vous que je sois à vos côtés, alors que de votre propre fait mon fils Karim Wade, en même temps que ses amis, ses frères et sœurs de parti, bouclent deux ans d’emprisonnement, surtout que vous avez eu à dire à plusieurs interlocuteurs que n’avez aucune preuve contre lui, qu’il est innocent, qu’on ne vous a présenté aucun dossier sérieux » ?
Nous pouvons retenir que toutes raisons évoquées par Me Wade représentent les interrogations.
Ce qui soutend que la porte n'est pas encore fermée et que ces interrogations nécessites des réponses de la part de la personne indexée : le PR Macky SALL.
Donc les attentes du Président devrait aller plus dans le sens de lever les craintes de son ancien patron.
Karim est il réellement du prisonnier politique ? L'opposition est-elle victime des actes de répression du régime en place ? Toute l'interrogatoire de Me Wade repose sur un non-dit pourtant énoncé.
Ne m'avez-vous pas déclaré la guerre en posant ces actes ? N'avez-vous pas choisi mes anciens adversaires comme alliés à la place de membres de votre famille (des libéraux) ?
Cette invitation n'est pas forcement une main tendue et encore moins une acceptation aux retrouvailles de la famille libérale.
Me Wade a bien compris qu'une réponse positive consisterait certainement à approuver la politique actuellement proposée par le régime. La participation au sommet d'échange et de partage sur les bonnes pratiques en gouvernance et en orientation stratégique des différents états membres de la francophonie, est synonyme d'acceptation des pratiques de gestion de ces états.
Le fait de dénoncer le comportement des états de la CEDEAO suite au refus de sortir du territoire de certains ténors de son parti le PDS. D'ou par rapport au contexte la remise de la balle de jeu aux états francophones de la CEDEAO, pour un justificatif de bon sens de sa négation.
Et enfin 2017, les échéances futures, promet des élections ouvertes et qui seront très ouvertes contrairement aux élections de 2012 et encore moins celle de 2012.
Les esprits ouverts vers cet horizon, poussent le PR, selon la lecture que nous avons de la lettre de retour ( la réponse de Wade), à déstabiliser ces futurs adversaires comme l'évoque la troisième interrogation.
Ainsi, sous des interrogations de Me Wade, une logique de politologue se lit noir sur blanc et dans un sens hiérarchique allant de la démocratie en passant par les libertés pour terminer par la géopolitique.
Suivez bien Me Wade a bien communiqué. Il est allé au delà d'une simple réponse ou d'une déclinaison de invitation. La lettre d'aller (l'invitation) s'est trouvé être un médium ou canal pour annoncer officiellement sa position par à l'itinéraire emprunté par un régime du Président Macky SALL.
Sa déférence reste claire et devient une dénonciation d'états de fait. Sa réaction reste sa réaction et la validation des propos d'Abdou Diouf, dans ses mémoires, le concernant, montre encore une fois qu'il est resté le même avec ou sans, avant ou après le pouvoir.
Wade est Wade et il est un politicien politologue. Il pense politiquement, agit politiquement et réagit politologue-ment.
Modou FALL / Degg moo woor
Nous pouvons retenir que toutes raisons évoquées par Me Wade représentent les interrogations.
Ce qui soutend que la porte n'est pas encore fermée et que ces interrogations nécessites des réponses de la part de la personne indexée : le PR Macky SALL.
Donc les attentes du Président devrait aller plus dans le sens de lever les craintes de son ancien patron.
Karim est il réellement du prisonnier politique ? L'opposition est-elle victime des actes de répression du régime en place ? Toute l'interrogatoire de Me Wade repose sur un non-dit pourtant énoncé.
Ne m'avez-vous pas déclaré la guerre en posant ces actes ? N'avez-vous pas choisi mes anciens adversaires comme alliés à la place de membres de votre famille (des libéraux) ?
Cette invitation n'est pas forcement une main tendue et encore moins une acceptation aux retrouvailles de la famille libérale.
Me Wade a bien compris qu'une réponse positive consisterait certainement à approuver la politique actuellement proposée par le régime. La participation au sommet d'échange et de partage sur les bonnes pratiques en gouvernance et en orientation stratégique des différents états membres de la francophonie, est synonyme d'acceptation des pratiques de gestion de ces états.
Le fait de dénoncer le comportement des états de la CEDEAO suite au refus de sortir du territoire de certains ténors de son parti le PDS. D'ou par rapport au contexte la remise de la balle de jeu aux états francophones de la CEDEAO, pour un justificatif de bon sens de sa négation.
Et enfin 2017, les échéances futures, promet des élections ouvertes et qui seront très ouvertes contrairement aux élections de 2012 et encore moins celle de 2012.
Les esprits ouverts vers cet horizon, poussent le PR, selon la lecture que nous avons de la lettre de retour ( la réponse de Wade), à déstabiliser ces futurs adversaires comme l'évoque la troisième interrogation.
Ainsi, sous des interrogations de Me Wade, une logique de politologue se lit noir sur blanc et dans un sens hiérarchique allant de la démocratie en passant par les libertés pour terminer par la géopolitique.
Suivez bien Me Wade a bien communiqué. Il est allé au delà d'une simple réponse ou d'une déclinaison de invitation. La lettre d'aller (l'invitation) s'est trouvé être un médium ou canal pour annoncer officiellement sa position par à l'itinéraire emprunté par un régime du Président Macky SALL.
Sa déférence reste claire et devient une dénonciation d'états de fait. Sa réaction reste sa réaction et la validation des propos d'Abdou Diouf, dans ses mémoires, le concernant, montre encore une fois qu'il est resté le même avec ou sans, avant ou après le pouvoir.
Wade est Wade et il est un politicien politologue. Il pense politiquement, agit politiquement et réagit politologue-ment.
Modou FALL / Degg moo woor