Cette campagne vise à appuyer les actions de l’Etat, en faisant appel aux valeurs culturelles, celles africaines de solidarité et d’entraide entre les citoyens sénégalais. ‘’Aucune date ni de délai ne sont fixés à sa clôture’’, a-t-elle déclaré lors de cette manifestation.
Le ministre de la Famille a en outre fait état du Fonds national de solidarité. Cet instrument créé par l’Etat fonctionne entièrement sur son budget. Toutes ses réalisations se font à partir de ce budget. Cet état de fait limite le fonds dans ses interventions.
Revenant aux principes de la campagne de solidarité destinée à renforcer le fonds national de solidarité, Mme Ndiaye fait appel ‘’à la générosité de chacun, à l’entraide, à la solidarité de chaque Sénégalais’’, sans distinction de moyens, d’origine, de classe sociale ou de grade.
‘’Nous voulons que chaque citoyen se sente concerné par cet effort de solidarité’’, a-t-elle précisé.
Ainsi, pense-t-elle, une solidarité agissante devrait permettre à son département de faire face à des cas d’urgences, de sinistres, des incendies ou autres parce qu’obligé de réagir, d’aller auprès des populations et de leur apporter un appui.
Awa Ndiaye indique que cette pratique est une mission que chaque Sénégalais fait déjà à son niveau propre, en donnant quelque chose à un parent ou un ami, victime d’une urgence, sans que cela ne soit formalisé.
‘’C’est cette formalisation qui nous a fait penser que nous pouvons lancer cette campagne nationale. Par là même, dire notre volonté de transparence totale parce que toutes les souscriptions, quelles qu’elles soient, seront publiées tous les quinze jours par voie de presse’’, selon le ministre de la Solidarité.
A cet effet, elle a annoncé un projet de création du ‘’Journal de la solidarité’’ où, au fur et à mesure que les souscriptions tombent, seront livrés l’état et la liste des citoyens sénégalais et autres donateurs qui auront accepté d’aider le Fonds national de solidarité.
‘’Ce journal permettra également de rappeler et de mettre en exergue toutes les réalisations et les activités qui ont été menées avec cet argent’’, rassure le ministre qui a remis des chèques, en son nom propre, et un chèque de 100 000 FCFA au nom de sa fille.
Le ministre de la Famille a en outre fait état du Fonds national de solidarité. Cet instrument créé par l’Etat fonctionne entièrement sur son budget. Toutes ses réalisations se font à partir de ce budget. Cet état de fait limite le fonds dans ses interventions.
Revenant aux principes de la campagne de solidarité destinée à renforcer le fonds national de solidarité, Mme Ndiaye fait appel ‘’à la générosité de chacun, à l’entraide, à la solidarité de chaque Sénégalais’’, sans distinction de moyens, d’origine, de classe sociale ou de grade.
‘’Nous voulons que chaque citoyen se sente concerné par cet effort de solidarité’’, a-t-elle précisé.
Ainsi, pense-t-elle, une solidarité agissante devrait permettre à son département de faire face à des cas d’urgences, de sinistres, des incendies ou autres parce qu’obligé de réagir, d’aller auprès des populations et de leur apporter un appui.
Awa Ndiaye indique que cette pratique est une mission que chaque Sénégalais fait déjà à son niveau propre, en donnant quelque chose à un parent ou un ami, victime d’une urgence, sans que cela ne soit formalisé.
‘’C’est cette formalisation qui nous a fait penser que nous pouvons lancer cette campagne nationale. Par là même, dire notre volonté de transparence totale parce que toutes les souscriptions, quelles qu’elles soient, seront publiées tous les quinze jours par voie de presse’’, selon le ministre de la Solidarité.
A cet effet, elle a annoncé un projet de création du ‘’Journal de la solidarité’’ où, au fur et à mesure que les souscriptions tombent, seront livrés l’état et la liste des citoyens sénégalais et autres donateurs qui auront accepté d’aider le Fonds national de solidarité.
‘’Ce journal permettra également de rappeler et de mettre en exergue toutes les réalisations et les activités qui ont été menées avec cet argent’’, rassure le ministre qui a remis des chèques, en son nom propre, et un chèque de 100 000 FCFA au nom de sa fille.
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