Le Canada a annoncé avoir envoyé ce lundi 800 flacons d'un vaccin expérimental contre le virus Ebola à l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). "Le Canada souhaite partager sa découverte avec ses partenaires internationaux pour tenter d'endiguer l'épidémie d'Ebola qui touche l'Afrique de l'Ouest", a déclaré samedi la ministre canadienne de la Santé, Rona Ambrose.
Pour ce faire, les autorités sanitaires ont pris des mesures exceptionnelles, les vaccins devant être transportés à basse température. Les flacons, acheminés par voies aériennes de Winnipeg à Genève, sont conditionnés dans trois colis séparés. Ils constituent un sérieux espoir de vaincre une maladie responsable de la mort de plus de 4.500 personnes et sont le fruit de plus de dix ans de recherches de l'agence de Santé publique du Canada.
Résultats en décembre
"Ce vaccin pourrait être un outil décisif dans la lutte contre l'épidémie, se félicitait Gregory Taylor, le Chef du département de la Santé publique canadienne. Nous travaillons en étroite collaboration avec l'OMS pour répondre à certaines questions éthiques et logistiques autour de l'utilisation de ce vaccin expérimental".
Les résultats prometteurs obtenus sur des animaux suscitent un certain enthousiasme. Au point de permettre des essais sur des êtres humains qui doivent se dérouler aux États-Unis. Le Canada, qui a déjà dépensé plus de 40 millions d'euros dans la lutte contre la maladie, a envoyé une vingtaine de flacons pour réaliser ces tests dont les premières analyses sont attendues en décembre.
7sur7.be
Pour ce faire, les autorités sanitaires ont pris des mesures exceptionnelles, les vaccins devant être transportés à basse température. Les flacons, acheminés par voies aériennes de Winnipeg à Genève, sont conditionnés dans trois colis séparés. Ils constituent un sérieux espoir de vaincre une maladie responsable de la mort de plus de 4.500 personnes et sont le fruit de plus de dix ans de recherches de l'agence de Santé publique du Canada.
Résultats en décembre
"Ce vaccin pourrait être un outil décisif dans la lutte contre l'épidémie, se félicitait Gregory Taylor, le Chef du département de la Santé publique canadienne. Nous travaillons en étroite collaboration avec l'OMS pour répondre à certaines questions éthiques et logistiques autour de l'utilisation de ce vaccin expérimental".
Les résultats prometteurs obtenus sur des animaux suscitent un certain enthousiasme. Au point de permettre des essais sur des êtres humains qui doivent se dérouler aux États-Unis. Le Canada, qui a déjà dépensé plus de 40 millions d'euros dans la lutte contre la maladie, a envoyé une vingtaine de flacons pour réaliser ces tests dont les premières analyses sont attendues en décembre.
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